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 Saitô Hibiki, la légende

Saitô HibikiSaitô HibikiGougnafier
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Age: 26
Classe / Job: Prof de sport / Athlète pro / Vendeur
Logement: Garage Shibuya
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MessageSujet: Saitô Hibiki, la légende   Saitô Hibiki, la légende Empty09.09.13 15:43
Saitô Hibiki

Nom : Hibiki
Prénom : Saitô
Age : 21

Nationalité : 100% japonais, mais on ne dirait pas
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle

Groupe : I am a hero !

Classe : 1ère année de Prépa
Club : Karaté (capitaine - manager - enseignant)
Situation financière : Aussi musclé que riche.
Baito / Fonction : Vendeur de voiture de luxe à Shibuya
Logement : Chez lui à Shibuya.

Keep a secret ?
Après ses années dans la rue, Saitô a conservé de nombreux contacts avec la mafia. Il est très connu dans le quartier de Shibuya, et pas forcément pour les bonnes raisons. Il est chef d'un gang nommé les Heaven's Crows, dont l'emblème est le corbeau que lui et ses meilleurs amis ont tatoué sur l'omoplate gauche.
Mais si tout cela est du domaine du publique, bien qu'il évite d'en parler, ce qui est moins connu est le fait qu'il s'est déjà isolé en montagne, seul, pendant plusieurs mois, afin de perfectionner son Karaté.

En apparence je suis ...

Saitô est plutôt grand et bien bâti malgré ses origines nippones. Il doit son physique à sa pratique courante du sport et à sa taille, héritée de son père : plus d’un mètre quatre-vingt-cinq. Musclé, élancé, il s’habille toujours avec classe, sans toutefois s’imposer de style prédéfini. Pantalon vert militaire, jean et chemise de marque, T-shirt de sports… Il porte tout avec aisance et ne se laisse jamais enfermer dans une catégorie vestimentaire définie. Saitô met parfois quelques bijoux, colliers ou bracelets en tout genre. Les seuls objets récurrents qu’il porte sont ses boucles d’oreilles, nombreuses, et ses lunettes de soleil, qu’il refuse de quitter, quel que soit la situation. De fait, il est presque impossible de le voir sans. Il s’agit d’une sorte de privilège.
Il arbore toujours une coiffure en bataille. Ses cheveux sont blonds, sans doute légèrement décoloré, mais sans quelconque vulgarité. Ses yeux sont dans une gamme de couleur située entre le vert et le marron. Il a en outre un tatouage sur l’omoplate gauche.
Pour ce qui est des marques distinctives, sachez qu’il n’a aucune cicatrice véritablement visible sur le visage. Un œil averti verrait peut-être une marque sous un sourcil, mais par chance ou par miracle, il a su préserver son visage avenant, qui lui sert à approcher la gente féminine sans problèmes.
Sur le torse toutefois, c’est une autre histoire. Il en a plusieurs, dont certaines résultent manifestement d’un coup de couteau, jamais dans des endroits vitaux.
Sa véritable marque distinctive est plutôt sa quantité de muscle, forgée par la pratique du Karaté, à devoir encaisser les coups les uns après les autres.


Et à l'intérieur ...
Saitô est un beau parleur, est franc et ne manque pas une occasion d’exprimer son point de vue. Sûr de lui, il ne craint pas l’affrontement. Il accepte de reconnaître s’il a tort, même si cela lui en coute. Il déteste parler de lui, et déteste aussi entendre les gens parler de lui. Les histoires des autres n’intéressent que sa curiosité. S’il n’est pas le plus intelligent, il est tout de même logique et perspicace grâce à sa formation sur le tas de commercial et sa vie de désœuvré dernièrement.
Sa vision du monde est semi manichéenne. D’abord il y a lui, puis les personnes qui comptent pour lui. Ensuite viennent les « neutres » : des personnes qu’il aurait pu croiser, dont l’importance dans sa vie est nulle. Et enfin viennent les « autres ». S’il ne leur donne aucune amitié ni inimitié, il en garde toujours mémoires. Les « autres » peuvent virer à tout moment dans les neutres, les amis, ou en ennemis.
Saitô considère l’amitié comme quelque chose de sacré. Il défend ses amis (ce qui ne constitue pas une tache ardue, vu leur nombre restreint), les amis de ses amis, les amis de ceux-ci…
Habitué des soirées, Saitô éponge particulièrement bien l’alcool, notamment la Tequila. Il est aussi un incorrigible dragueur, aidé par son charisme, sa tchatche naturelle et l’argent qu’il dépense sans compter. Saitô ne manque toutefois jamais de respect aux filles, qu’ils les allongent ou non. S’il n’a pas fait que des actions légales dans sa vie, Il n’est pas un délinquant pour autant. Il a un profond sens de la justice et ne supporte pas les mauvais comportements. Cela ne l’empêche pas de faire des excès de vitesses, de se battre en boite ou de menacer des personnes qu’il aurait rangé dans la catégorie « autres »
Sa confiance inébranlable lui permet d’aborder facilement les gens, mais ne collectionne pas les amis. Sa nature solitaire et son comportement global le fait plus paraitre comme un solitaire, fidèle à ceux qu’il apprécie, qu’à un ami récurrent dans un groupe. Son air solitaire cache toutefois une grande fidélité à ceux qui comptent pour lui.


Once upon a time ...

Une fois n’est pas coutume, le mieux est de commencer par le résumé final. Il ne s’agit pas de gâcher le suspense, mais de brosser le portrait de celui qui s’est élevé lui-même à Shibuya.

Les gens me demandent souvent si je connais Saitô. Bien sûr que je connais Saitô. Je l’ai rencontré par hasard, au détour d’une sortie en boite. J’avais bu, sans toutefois me rendre ivre, mais je cru pourtant l’être, lorsque le type plus jeune que moi, que j’avais vu boire verre sur verre au bar, étala trois mecs au milieu de la piste de dance. Ce qu’il y avait de beau, me dis-je alors, c’est qu’il n’y eut presque aucun mouvement de foule, ni que personne ne vint s’en prendre à lui. Les videurs se contentèrent de finir ce qu’il avait commencé, alors qu’il repartait boire.
Lorsqu’il m’aborda à la sortie, je n’en menais pas large. Je savais me battre, et à 22 ans, je n’étais pas encore un vieux. Mais je le sentais pas ce coup-là. Il m’a demandé une clope, et est parti.
Je l’ai recroisé, souvent. Et je l’ai regardé créer sa bande, son gang, son espace privé, qui sur les cartes s’appelait Shibuya. Le jour il vendait des voitures de luxe. La nuit, il tchatchait des nanas toujours différentes. Parfois il parait en vacance. Jamais inactif, et toujours plus impressionnant, c’était ça Saitô. Quand il a dit qu’après avoir mis ses études en pauses, il voulait reprendre, on a tous souri. Jusqu’à ce qu’on se souvienne qu’il était toujours sérieux. Et quand les gens, voyant l’insigne de corbeau sur ma voiture, me demandent si je connais Saitô, ce n’est pas peu fier que je peux dire « Ouais, c’est un bon pote. »

Arana Teppei

Un jour, on était posé tranquillement chez moi, à boire quelques canons, quand j’ai demandé à Saitô pourquoi on n’était pas en boite à enchainer les canons. Il m’a réponde que « Demain, c’est compet’, donc pas de picole ! ».
Alors, nous nous sommes rendu compte qu’on le connaissait peu. Et au fil de la soirée, nous en avons appris bien plus que pendant plusieurs années.

Ses origines, si elles ne sont pas obscures, restent toutefois un sujet peu abordé. Son père vend des voitures de luxe et de collection.
De fait, Saitô ne manque pas d’argent – son père a toujours subvenu à ses besoins, et de fil en aiguille, l’enfant a su hérité des dons de commerçants de son paternel. Par le passé, il a déjà vendu en lieu et place de son père, et a même envisagé de tenir lui-même un garage. De l’argent, de belles voitures, un physique ravageur… C’était une vie rêvée pour beaucoup de jeunes. Saitô a refusé tout ça. S’il affiche sans complexe, ni même y penser, qu’il a de l’argent, il ne parle pas de sa famille, ni encore moins de son passé.
Il ne profite pas de l’argent de sa famille comme d’autres le feraient. Si les dépenses courantes sont totalement assurées par Mr Hibiki, Saitô travaille, à sa façon, pour assurer des dépenses annexes. Son côté débrouillard quant-à ce genre d’activités lui vint de ses activités post-diplôme.
Sa scolarité fut tout ce qu’il y eut de plus normal. En voyages durant les vacances, accompagnant son père, Saitô a toujours mené la vie qu’il voulait. Club de sports, jeux, sorties, rien ne lui était refusé, et dans le cas contraire, il savait toujours s’arranger.
Saitô s’est donc retrouvé de lui-même un fier-à-bras moderne. Il est en outre habitué au mode de vie à l’occidentale, et parle couramment anglais.
Arrivé au lycée, Saitô a toutefois été confronté aux problèmes de l’adolescence les plus courants : ostracisme et exclusion. Seul, sportif, riche et quelque peu antipathique, il s’est fait très peu d’ami. Heureusement pour lui, son comportement solitaire et asocial était protégé par une pratique intensive du Kyokushin. Les années lycées furent difficiles, et il apprit sur le tas beaucoup de choses, dont principalement le combat à plusieurs contre lui. Il finit par quitter le lycée, diplômé dans la moyenne, et bien plus habile avec ses poings qu’avant son entrée.
Ses histoires de lycées ne lui laissèrent que peu de bons souvenirs. Il y a découvert le gout des filles, de la boisson et des soirées.
Le lycée lui ayant passé le gout des études, Saitô pris parti de mener une existence de débauche tant qu’il en avait l’occasion, et abandonna les études. Ne souhaitant pas vivre exclusivement de l’argent de son père, le jeune homme divisa son emploi du temps : un tiers était consacré au travail et à la vente de voiture, un autre tiers consacré aux sports qu’il a toujours affectionnés, et le dernier tiers (et non le moindre) fut consacré au sortie dans des clubs plus ou moins branchés, plus ou moins bien fréquentés.
Ces années là permirent à Saitô de créer des contacts intéressants dans plusieurs milieux. Touche à tout, Saitô a tenté de se faire un nom dans plusieurs domaines : les compétitions de Karaté (mais les règles et l’encadrement suffirent à le décourager, car il avait perdu l’habitude de ce genre de règles), le jeu vidéo (son seul tournoi fut un échec où seuls ses poings parlèrent), voir même la musique (dont il ne restera toujours juste qu’un grand amateur).

Finalement, Saitô décida de lui-même de retourner à ses études. Après tout, si au lycée il avait pris des coups, il y avait peu de chances qu’il en reprenne à son âge… Et même si cela devait arriver… Il n’était pas le plus mauvais.

Koji Teriyaki




CE QUE L’ON SAIT DE LUI FACILEMENT


Saitô… Originaire de Tokyo, il n’a jamais été bavard quant-à ses origines. Son père est vendeur de voiture de luxe, généralement importée des Etats-Unis ou d’Europe. Il a quelques fois voyagé avec ce dernier, mais ne fais guère mention de ces détails de sa vie.
Il ne manque pas d’argent, et le fait savoir involontairement. Il ne se pose simplement pas la question. S’il décide de payer pour une nuit dans un hôtel de luxe, il le fait. Il est pour le reste généreux et dépensier.
Une pause dans les études après le lycée, quelques années passées à travailler et à faire la fête, Saitô n’a pas sa langue dans sa poche (il approche de l’archétype du commercial dragueur) et ne se laisse jamais marcher sur les pieds. Sa confiance en lui est innée, et est secondée, en cas de problème, par une expérience du combat forgée au lycée, en club et dans la rue. Il arrive à Seika après avoir décidé de reprendre les études, afin de s’assurer de ne jamais changé de train de vie.






Le joueur
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Ancien ou nouveau ? I dunno lol !
Comment avez-vous connu le forum ? En bossant pour le créer


Dernière édition par Saitô Hibiki le 27.07.15 14:12, édité 3 fois
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Saitô HibikiSaitô HibikiGougnafier
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MessageSujet: Re: Saitô Hibiki, la légende   Saitô Hibiki, la légende Empty13.09.13 11:08
PREMIÈRE PARTIE : LA CHEVROLET ET LE COUTEAU
Spoiler:

DEUXIÈME PARTIE : LE COMMERCE ET LA TEQUILA


Spoiler:


TROISIÈME PARTIE : L'INJUSTICE ET LA RUE

Spoiler:

QUATRIÈME PARTIE : L'ESPRIT DU NUMÉRO 1

Spoiler:

CINQUIÈME PARTIE : LA FACE CACHÉE

Spoiler:

SIXIÈME PARTIE : LE KODAN-GUMI

Spoiler:

SEPTIÈME PARTIE : UNE DETTE QU'IL SOUHAITERAIT NE JAMAIS VOIR REMBOURSÉE
Coming soon...
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