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 Nowaki Gensen - Nous portons chacun une pièce de folie

AnonymousInvitéInvité
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MessageSujet: Nowaki Gensen - Nous portons chacun une pièce de folie    Nowaki Gensen - Nous portons chacun une pièce de folie  Empty24.11.13 14:19
Nowaki Gensen

  Nom :Gensen
  Prénom :Nowaki
 Age :18 ans

 Nationalité : Japonnaise à 99%.
 Orientation sexuelle : Bisexuelle

 Groupe : The smart ones

 Classe : 3ème année
 Club : Karaté, même si on se demande ce que fait un intello comme lui fait dans ce club de sport de contact.
 Situation financière : Venant d'une famille très aisée, sa situation est on ne peut plus correcte.
 Baito / Fonction : Aucun pour l'instant.
Logement : Il habite au pensionnat.

Personnage de l'avatar ? Kougami Shinya  de PSYCHO-PASS

Keep a secret ? Nowaki aime un homme, un garçon à qui il n'a jamais parlé de son existence, Toru. Il est plus jeune que lui et l'épie quand il a un peu de temps libre. Oui c'est un stalker, un vrai de vrai, celui qui prend des photos et tout le tintouin. Dur à imaginer avec ce visage mature hein ?

En apparence je suis ...
Tu te levas de ton lit, sortant de ta torpeur aux cliquetis incessants de ton réveil. Tu étais plutôt grand pour un Japonais, ton corps svelte, mince et peu marqué par les muscles rappelaient tes origines. Même si tu faisais du bodybuilding, il semblait difficile que tu ressembles un jour à une masse de muscles. Ta grande main éteignis le réveil et tu partis te doucher. L'eau coulait sur ton visage ovale, ruisselant sur ton long cou et s'échouant sur ton épaule. Tu avais une peau blanche, sans bronzage, celle que l'on s'attendrait d'un homme qui sortait peu de chez soi. Mais ce n'était pas suffisant, même le liquide glacial ne le sortait pas de ton esprit.

Tu te séchas rapidement et tu pris un temps minutieux à te coiffer. Tu étais légèrement maniaque sur les bords, même s'il était impossible d'apprivoiser cette tignasse sombre, tu voulais au moins qu'elle épouse les épis que tu décidais. Tu passas tes doigts sur tes cernes qui soulignaient tes pupilles argentées. Cela se voyait tant que ça que tu dormais peu ? Tu touchais tes lèvres fines pour t'assurer aucune coupure ne les avait abimé et il fallu t'habiller. Tu enfilas l'uniforme sans un mot, nouant la cravate d'un geste simple et précis. Cela ne changeait pas beaucoup des tenues habituels. Tu ne jugerais presque que part le costume noir, comme si tu étais un employé de bureau. A vrai dire, tu ne te rappelais pas avoir porté les vêtements de ton âge, enfin pas depuis la dernière fois que tu avais suivi Toru dans la rue. Il n'y avait rien de plus suspect qu'un homme en costard épiant un lycéen.

Un dernier regard vers le miroir et le même constat se fit sentir. Tu ressemblais à un adulte dans tes postures, dans ton allure dans ton regard. Il semblait difficile que tu n'aies que 18 ans avec ses yeux en amande, cet air sérieux et cette sobriété presque dérangeant. Tu t'allumas une cigarette pour jaunir davantage des dents et tu partis pour préparer tes cahiers pour aller en cours. En réalité, tu voulais être encore un enfant, on t'avait fait adulte trop rapidement avec cet solitude . C'était pour cela que tu voulais croiser son regard encore une fois. Car dans ses pupilles, tu croyais voir cette jeunesse que tu avais laissé filer.

Et à l'intérieur ...
« Dites, vous pensez pas que Gensen-san est ...un peu solitaire?
-Il doit surement prendre tout le monde de haut avec des notes pareils...
-Je ne sais pas, même s'il ne parle pas beaucoup, il n'a pas l'air d'être méchant. L'autre fois, il m'a aidé en maths quand je galérai en maths... et puis il est assez mignon quand même... »

Ce n'était que l'un des nombreux débats sur Nowaki. Certains étaient plus négatifs que cela, mais une chose était certain sur le lycée, ce fut qu'il n'était pas le plus grand bavard de la planète. L'homme parlait peu avec les autres, d'ailleurs il était probable qu'il n'aimait pas le propre son de sa voix. Il était le fils d'un politique, il savait très bien le pouvoir des mots quand il était bien utilisé. Alors peut-être par une rébellion inconsciente il n'avait jamais exploité la parole, à moins simplement qu'il n'était pas à l'aise pour communiquer avec autrui. Pourtant ce n'était pas parce qu'il était silencieux qu'il ne vous regardait pas. Même si sa présence semblait disparaître en plein milieu d'une salle, il vous épiait, sans un son, avec une attention que lui seule était capable. Dans un autre temps, peut-être aurait-il pu être un excellent ninja avec cette étrange capacité à se fondre dans la masse.

Mais ce lycéen était aussi une tête. Intelligent, il l'était, ou plutôt, il faisait en sorte de l'être. Nowaki travaillait beaucoup en plus de certaines facilités et il appréciait partager ce savoir qui permet de consolider ses connaissances. De manière général, il avait toujours été quelqu'un de serviable. Si on lui demandait un service, il ne dirait jamais non à moins de trouver une véritable raison pour refuser. Il vouait un respect noble à ses aînés, peut-être un peu trop. Son éducation stricte lui valait quelques rigidités sur son comportement, comme pour le rangement. Chaque objet avait sa place et aucune autre. Il lui arrivait très souvent de replacer son crayon sur sa table au risque d'enrager mentalement. De toute façon Nowaki ne brillait pas pour transmettre ses sentiments. Certains penseront surement que tu ne ressentais bien et c'était ce qu'il espérait que les autres croient.

En réalité, il était sensible comme n'importe qui d'autre, mais la lassitude avait souvent était la plus forte. Nowaki était un pessimiste de nature, alors il se retrouvait souvent sur des conflits d'intérêt monstre quand il se retrouvait à appréciait quelqu'un. Les sentiments étaient ce qui détruisait le quotidien, l'honneur et les ambitions, c'était les mots que son père lui avait transmis, mais à ne rien paraître on réagissait de manière violente à de simple sentiments. Un simple intérêt devenait une obsession, une simple devenait un rempart que l'on ne pouvait dépasser. C'était cela la faille de Nowaki, il était un homme de passion, il aimait plus que n'importe qui, il détestait plus que n'importe qui alors qu'il avait toujours renié cet aspect de lui-même. C'était pour cela que Nowaki était tordu.

Nowaki était un stalker, même s'il avait tout fait pour sortir de cette galère. Il fliquait chaque mouvement de la personne aimée, il savait ses horaires, ses habitudes, ce qu'il mangeait le matin. Il prenait des photos furtivement qu'il mettait dans un carnet caché dans ses affaires. Tout cela pour une personne à qui il n'avait jamais parlé. Il y pensait le jour, la nuit, il n'existait pas un seul moment où il n'y pensait pas, à part peut-être quand il travaillait. Il savait qu'il ne faisait que fantasmer, que ce n'était sans doute pas la réalité de cette personne, mais c'était plus fort que lui. Peut-être qu'à l'instant où il lui parlerait tout s'effondrerait, peut-être que cela continuerait encore plus intensément, avec cette jalousie maladive qu'il possédait au fond de son cœur. Cette frustration de ne pas pouvoir être l'homme de vertu qu'il voulait être le détruisait, il tentait d'anesthésier cela avec la cigarette, sans grand succès. Il voulait que cela s'arrête, qu'il redevienne un homme normal.

Mais pour cela, il devait accepter qu'il n'était pas parfait. Ce n'était pas encore le temps, encore l'heure. Alors, il lui faudrait encore être un monstre de perversité.

Once upon a time ...
Tu haïssais ton existence comme un chat détestait l'eau. Tu étais le premier né dans une famille riche, il semblait difficile de manquer de quelques choses dans ses conditions. Ton père était un politicien assez influent, il avait marié ta mère, une ambassadrice quelques années auparavant, mais il avait toujours manqué quelque chose entre eux, cette flamme qui brillait entre deux âmes qui s'aimaient passionnément. Voici ce qui manquait chez toi, de l'amour. Pendant les premières années de ton existence, tu voyais plus les gouvernantes que tes parents. Ton père revenait rarement le soir, alors que ta mère était une éternelle absente du foyer. Pourtant, tu n'étais jamais seule, il y avait les nourrices qui s'occupaient de toi, les servantes qui t'offraient un sourire quand tu leur parlais. Mais il y avait quelques choses de faux dans ces interactions, c'était du moins que tes yeux d'enfants de quatre ans ressentait. Tu pleurais souvent appelant ton père, cette femme sans visage qu'était ta mère. Le personnel te prenait souvent dans tes bras, tu les entendais quelque fois critiquer tes géniteurs de laisser un enfant si jeune seul.

Il n'y avait jamais eu de famille unis, et il n'y en aurait jamais.

Tu entras en primaire, et le malaise ne put que grandir. Les autres enfants parlaient des sorties avec leurs parents, des magnifiques fêtes d'anniversaire en leur compagnie ou même simplement de leur présence lors des repas. Toi, tu ne te souvenais plus de la dernière fois que tu avais mangé avec ton père. Quand tu y sept ans, il n'avait laissé qu'une lettre avec une auto miniature en guise de cadeau. Le gâteau, c'était les servantes qui te le servaient, elle chantait aussi fort qu'elle pouvait pour masquer tes pleurs. Tu haïssais les autres enfants pour leurs histoires de famille heureuse. Cela ne pouvait être vrai un père qui embrasse son enfant avant de se coucher, une mère qui revient le soir en vous demandant comment s'était passé la journée. C'était peut-être pour ça que tu étais en retrait, que tu étais un enfant silencieux et peu sociable. Pourtant, il y avait toujours des camarades qui venait vers toi, peut-être à cause de ta fortune, peut-être parce que ce visage inerte faisait de toi quelqu'un d’intéressant. Alors tu jouais comme les autres, tu riais aussi comme les autres,tu avais des amis, mais bien moins facilement.

Tu restais un enfant, même si tu n'avais pas l'amour des parents les servantes t'avait donné de quoi apprécier l'existence. Même si l'amour n'existait pas, même si la compassion n'était pas, la joie existait quelque part dans ton cœur d'enfant. Mais plus les années passaient, plus ton éducation devenait stricte. Tu venais d'une grande famille, en plus des cours, tu avais un tuteur acariâtre qui faisait tout pour que tu sois premier de ta classe. Tu ne t'étais jamais rebellé contre cet enseignement, tu n'y avais jamais songé un seul instant. Parce qu'il était normal de répondre à l'attente de ses parents, tu étais leur produit et l'honneur de la famille reposait sur ton avenir.

A douze ans, ton père était revenu à la maison. Le parti dans lequel il appartenait le soupçonnait de corruption. A vrai dire, cela ne te surprenait pas vraiment, c'était un homme d'affaire qui n'avait comme seul intérêt l'argent et la popularité de son parti aux sondages. C'était peut-être vrai, peut-être faux, à vrai dire, cela ne t'embêtait pas plus que cela. Mais le temps que l'affaire se calme, ton père se retrouva au chômage technique. Lui qui n'était jamais là, il te collait maintenant au basque avec tes résultats scolaires. Avant, si un camarade de classe t'invitait, tu pouvais y aller sans aucun soucis, maintenant ton père refusait systématiquement que tu sortes. Que cherchait-il à faire ? A récupérer ses années qu'il avait perdus à ne pas t'élever ? Surement pas, il était plus probable qu'il s'assurait que tu ne tâches pas le blason de la famille comme il l'avait fait. En tout cas, il te connaissait vraiment mal. Même si tu haïssais ton univers, il était celui où tu vivais. Tu répondrais à ses attentes, à ses critiques, tu étais son produit, c'était pour cela que tu étais né. Car la liberté n'existait pas.

C'était du moins ce que tu croyais avant de le rencontrer.

Les enfants de politique avait le devoir de trouver un stage par leur propre moyen, enfin rien qu'à leur nom on pouvait s'assurer qu'ils étaient des hommes qui donnerait une belle image à l'entreprise. C'était comme ça que tu obtenis un stage dans une grande entreprise d'édition à la fin du collège. C'était une bonne opportunité de découvrir la vie active et ton père avait pensé qu'il n'était pas encore temps qu'il t'emmène dans son cabinet. En tout cas ton maître de stage t'adorait, tu étais ponctuelle, poli, intelligent, efficace dans les tâches qu'on te donnait. Bon, tu manquais peut-être un peu de présence et d'humour, mais on t'appréciait bien pour faire les tâches ingrates comme dans toute bonne entreprise.  Ce fut dans le détour d'un couloir que tu rencontras les deux enfants. C'était une fille et un garçon qui discutait tranquillement dans un des bureaux.

Sans un avertissement, le monde changea.

Tu n'avais jamais connu l'amour de ses parents, ni celui qui liait les véritables amis, pourtant, dans ces mots trop vulgaires, dans cette désinvolture, tu ressentis cette liberté que tu n'avais jamais eu, ces ailes qui permettaient de s'envoler. Tu tombas amoureux à cet instant précis... De ce garçon qui n'était pas encore un homme ! Tu ne compris pas, tu étais incapable de détacher de ton regard des courbes de sa nuque, tu t'extasiais sur sa voix encore enfantine. Comment ? Pourquoi ? Alors, ils se tournèrent vers toi et tu t'enfuis d'un pas rapide.

Quand tu rentras chez toi tu te séquestras dans ta chambre, encore déboussolé par cette rencontre. Il ne quittait plus tes pensées. Qui était-il ? Que faisait-il là ? Pourquoi ton cœur s'était-il serré quand il riait avec cette gamine ? C'était impossible, tu n'avais jamais été atteint de la passion, ton monde se résumait une suite de dégradé de gris, alors pourquoi il avait fallut que tu aimes ? Un homme en plus ! Mais il n'y avait rien à faire, même si tu rejetais encore et encore le constat devenait de plus en plus clair. Une obsession était née dans ton cœur, et c'était ce garçon.

Le lendemain, il arriva à grappiller quelques informations sur les deux enfants auprès de ces collègues. Le garçon s'appelait Toru, il était le fils d'une des employés de l'entreprise. Il avait cru comprendre qu'il n'habitait pas avec elle et qu'il venait probablement en douce la voir L'autre était la fille de patron une certaine Nagisa, mais à vrai dire, elle ne t'intéressait que parce qu'elle s'entendait avec lui. Au final tu n'étais pas plus avancé, mais peu à peu, tu inventas des stratagèmes pour le voir. Tu connaissais les horaires où il venait, tu connaissais le meilleur angle pour le voir sans qu'il soupçonne ta présence, tu en étais même venu à discuter avec sa mère innocemment pour en savoir davantage. Tu étais malade Nowaki, malade d'amour. Cette peste aux cheveux roses étaient toujours là, à lui parler comme si rien n'était, alors qu'il était évident que Toru l'aimait. Tu la haïssais parce qu'elle ne voyait rien, tu la haïssais parce que le garçon à la casquette s'éprenait d'elle. C'était la première fois que tu goûtais à la jalousie pour quelqu'un à qui tu n'avais jamais parlé. De toute façon que pourrais-tu lui dire ? Pourrais-tu au moins lui parler sans trembler ? Et puis, s'il venait à savoir que tu l'aimais, il te détesterait. Tu étais un homme, pas une femme, cela ne pouvait que le dégoûter.

Le stage se finissait sans aucun dialogue et tu te promis d'oublier. Tu rentras dans le lycée Seika comme le désirait ton père. Tu n'avais pas à te soucier, tu serais le meilleur, tu n'avais pas d'autre alternative. C'était le seul moyen pour que tu ne cherches pas à traîner dans son quartier, que tu arrêtes de le suivre après  qu'il sorte des cours. Si tu étais loin, si tu ne pensais plus qu'à ton travail, l’obsession disparaitrait. Mais tu n'avais pas prévu qu'il vienne dans le même établissement, ni même que la gamine Nagisa serait là aussi. Alors tu reprendrais tes agissements, tu l'épierais encore, tu le traquerais de nouveau, tu prendrais des photos en cachette que tu mettrais dans ce carnet, preuve de ton vice.

Pourtant, tu voulais être normal, continuer à être le premier de la classe sans aucun défaut apparent. Tu étais un monstre que l'on ne pouvait plus arrêter, il fallait que tu te fasses à cette idée. Il faudrait continuer à être cet élève peu bavard pour que the Watcher ne te remarque pas. C'était avec l'honneur de ton nom que tu jouais, mais c'était plus fort que toi.

Pourrais-tu oublier ?

Le joueur
Prénom / Pseudo : Summy
Age : 19 ans
Ancien ou nouveau ? Nouveau ~
Comment avez-vous connu le forum ? Ma chère Nagisa ( comme ça elle pourra passer dans les positifs 8D)


Dernière édition par Nowaki Gensen le 24.11.13 18:32, édité 1 fois
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