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 Akito Narimiya - Cours, que je te rattrape !

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Akito Narimiya   - Cours, que je te rattrape ! Empty
MessageSujet: Akito Narimiya - Cours, que je te rattrape !   Akito Narimiya   - Cours, que je te rattrape ! Empty15.03.15 17:04
Akito Narimiya
 
Nom : Narimiya (成宮)
 Prénom : Akito ( 暁人)
 Age : 16 ans

 Nationalité : Japanese
 Orientation sexuelle : Pansexuelle. Ce n'est pas l'emballage qui compte, mais ce qu'il contient.

 Groupe : Super Heroes ‼

 Classe : 1 ère année
 Club : Basket Ball
 Situation financière : Boursière
 Baito / Fonction : Vendeuse dans un magasin d'équipements sportifs/ déléguée ?
Logement : Dortoir et Domicile familial (week-end)

Personnage de l'avatar ? Kikuchi Makoto (THE iDOLM@STER)

Keep a secret ? Ce n'est pas à proprement parler un secret, mais il sera rare de l'entendre aborder le sujet d'elle même.
Le grand-frère avec lequel elle était le plus proche s'est donné la mort trois ans auparavant, et c'est elle qui a découvert son corps.
Elle garde d'ailleurs toujours, quelque par dans ses affaires, sa lettre d'Adieu.

En apparence je suis ...
De taille moyenne, voir plutôt grande pour une japonaise pure souche, Akito ne mesure pas moins d'un mètre soixante-cinq pour un poids tout à fait correct (son IMC ne dépassant pas 21), son corps étant en grande partie constitué de muscle et non d'un surplus de masse graisseuse, contrairement à la plupart de ses camarades de classe.
S'il était vrai que, comme toutes femmes normalement constituées, son corps était plus riche en tissu adipeux que celui d'un homme, il n'en restait pas moins que ses heures passées à la gymnastique, au basket et, surtout, à l'athlétisme, avait fait d'elle une jeune femme aux jambes athlétiques, bras légèrement musclés et ventre plat. Tout comme ses seins d'ailleurs, pas bien développés, comme la plupart des sportives...
Elle n'était pas excessivement musclée, loin de là, même, mais simplement que, même sans être visible, on voyait à ses membres et à son torse, ainsi qu'à son agilité naturellement, que la jeune femme n'était pas du genre à rester assise devant la télé des heures durant à se goinfrer de gâteaux au chocolat.
Elle prenait soin de son corps, et ça se voyait !
Ses cheveux d'un noir de jais étaient coupés courts de manière à ne pas trop la déranger lorsqu'elle courait ou pratiquait quelques figures en gymnastique, et ses yeux charbonneux semblaient sempiternellement illuminés par un brin de malice et de fourberie. Comme si jamais la flamme qui les consumait ne pouvait se tarir.
Assez garçon manqué, diront certains, elle privilégiera les pantalons et les shorts, en été, aux jupes et aux robes, bien qu'il lui arrive tout de même d'en porter pour les occasions spéciales, ou que toutes ses autres fringues sont à laver...
Pareil pour les talons et les décolleter, ou autres vêtements légèrement aguicheurs, ce n'était décidément pas sa tasse de thé.

Et à l'intérieur ...
La moindre des choses que l'on puisse dire sur le caractère d'Akito est que, justement, elle en a, du caractère...
Pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, sans pour autant marcher sur ceux des autres, elle sera toujours là pour vous dire vos quatre vérités sans forcément penser à prendre des gants.
Elle est franche, parfois un peu bourrue lorsque l'exaspération la gagne, mais toujours la plus rationnelle possible.
Si elle vient vous faire la morale, c'est qu'elle le juge nécessaire, pas simplement qu'elle cherche quelqu'un à engueuler pour passer ses nerfs et son temps.
Sanguine par moment, lunatique même, elle est du genre à pouvoir passer du rire aux larmes sans aucune transition, traumatisant parfois certains de ses petits camarades ne s'attendant pas à de telles sautes d'humeur de la part de leur amie, bien qu'il soit plus fréquent de la voir rire que pleurer.
Bonne vivante, elle sait profiter des plaisirs simples de la vie, sans forcément courir après ceux trop coûteux pour que ses parents puissent les lui procurer. Pas de crise de nerfs, de « Mais pourquoi je suis née dans une famille pas même capable de m'offrir la sac trucnuche que je rêverais d'avoir ! », non, simplement des « Merci » pour les quelques cadeaux qu'elle recevait, sans prétention.
Pas pédante pour un sous (qu'elle n'avait de toute façon pas), il lui arrive néanmoins parfois de paraître hautaine aux yeux des gens ; non pas du fait de la richesse familiale (par ailleurs inexistante, bien que personne n'était là pour le vérifier), mais plutôt de sa tendance inconsciente à toujours vouloir être sur le devant de la scène à chacune des activités scolaire ou extra-scolaire.
Ce n'était pas vraiment de la frime, ni rien de ce genre, mais simplement qu'elle aimait à participer à la moindre activité ludique et sportive et que, additionné à son naturel joyeu et bruyant, beaucoup pensaient qu'elle aimait juste se mettre en avant et être le centre de l'attention.
Pourtant, lorsqu'on la connaissait bien, on remarquait qu'à l'inverse, si elle criait beaucoup et était du genre sociale, rare étaient les personnes connaissant réellement sa vie, dans l'intimité.

Once upon a time ...
Akito est la petite dernière d'une famille de quatre enfants dont elle est l'unique représentante féminine, si l'on omet sa mère.
Le plus grand de ses frères, Takayuki, de 6 ans son aîné, était déjà scolarisé lorsque leurs mère la mis au monde. Le second, Kizuki, de 4 ans plus âgé qu'elle, était celui qui, en la voyant dans son berceau, avait proposer à ses parents de la prénommer Akito. Enfin, Shinji, alors âgé de 3 ans, était à peine conscient qu'une nouvelle tête venait de rejoindre leur famille déjà nombreuse (tout du moins, comparativement à d'autres familles japonaises).
C'était donc dans une atmosphère principalement masculine que la jeune fille grandit, partageant la chambre de ses frères durant les premières années de sa vie, et ce jusqu'à sa puberté (où ses parents consentir enfin à aménager le bureau pour lui permettre de faire une chambre), il n'y avait donc rien d'étonnant à ce qu'elle prennent certains de leurs tics, chahutant et jurant comme, selon la bienséance, une fille ne devrait le faire. Mais Akito n'en avait que faire de la bienséance, surtout quand ses frangins venaient lui chercher des noises, elle répliquait !
Ayant commencé le sport à l'âge de 5 ans, après que ses parents aient jugé que leur fille était bien trop survoltée pour rester en place plus de quelques minutes si elle ne se défoulait pas avant, et que de taper sur ses aînés n'était pas le meilleur moyen de lui permettre d'évacuer son trop-plein d'énergie, ils firent donc ce que tout parent censé auraient fait pour leur fille : ils l'inscrire à la gym.
Pourquoi la gym ? Parce que, non-content d'être un sport adaptable à tout type d'âge, ses géniteurs nourrissaient l'espoir que, en pratiquant un sport souvent considéré comme « pour les filles », leur cadette se détacherait enfin de l'influence virile de ses frères. Mais c'était peine perdu.
Bien que l'enfant trouvât un certain équilibre dans la pratique de ce sport, et se montrât même plutôt douée, il s'avéra rapidement que ce dernier n'était pas suffisant pour lui permettre de se défouler comme son corps le réclamait, et elle changea bientôt pour une activité un peu plus intense : l'athlétisme.
Courir à perdre haleine, sauter le plus haut possible, le plus loin de son point de départ, voilà ce qui lui plaisait réellement. Cette douleur lancinante dans ses jambes, cette fatigue bénéfique, cette impression d'avoir pleinement remplie sa journée lorsqu'elle se laissait tomber, lasse, sur l'herbe fraiche. Tout ça et bien plus encore étaient les preuves que c'était ce sport qui lui convenait le mieux, qui lui permettait de réellement s'épanouir. S'épuiser pour mieux profiter de ses instants de répit, souffrir pour sentir l'adrénaline inonder son cerveau jusqu'à ne plus sentir qu'un plaisir brut et sauvage.
C'est à 8 ans que, pour la première fois de sa vie, la jeune fille se sentit enfin « complète », en accord avec son esprit et son corps.
Auprès d'elle, observant chacun de ses tournois et de ses entraînements, Kizuki. Il était le frère dont elle était la plus proche, son confident et son plus grand fan, plus grand encore que ses parents.
Elle se souvenait encore parfaitement de ses mots d'encouragement lorsque, terrasser par la fatigue, elle s'effondrait sur son lit, à la suite de ses premiers cours. Il l'avait toujours épaulé, soutenu, motivé, et était celui de ses trois frères qui était le moins bourru, plus porter sur les études que sur une quelconque histoire de domination fraternelle.
Il était calme, posé, adepte d'un humour plus ou moins compris par les autres, et, surtout, extrêmement intelligent.
Parfois, lorsqu'ils le voyaient concentré sur ses devoirs, Takayuki et Shinji aimaient à le traiter de « grosse tête », se moquant de son sérieux et de son manque de réactivité face à leurs boutades, mais ce dernier n'en avait cure. Il savait qu'au fond d'eux ils étaient juste jaloux de ses notes, sans jamais avoir la motivation de travailler autant que lui.
Akito aimait tous ses frères, bien sûr, Taka était marrant et têtu, ce qu'elle admirait, bien qu'elle ne le lui aurait jamais dit en face sous peine de le voir prendre la grosse tête, et Shinji était le plus débrouillard des trois (fourbe, diraient certains, mais le résultat était là : il arrivait toujours à ses fins), ce que la fillette admirait également. Néanmoins, et malgré le temps passé à se bagarrer avec eux, c'était Kizuki son préféré. C'était dans son lit que, après avoir fait un cauchemar, l'enfant venait se réfugier. C'était lui qu'elle allait voir lorsque, abattu par une mauvaise note, elle voulait comprendre un cours. Et c'était chez lui que, lorsque son moral d'enfant était au plus bas, pour une raison valable ou non, elle venait combler son besoin d'affection et pleurer de tout son soûl.
Il avait toujours été là pour elle, jusqu'au jour où, justement, il ne le fut plus.
Avec du recul, elle aurait pu prévoir les événements qui s'étaient enchaînés, comprendre les pensées de son frère avant qu'il ne les mette en pratique, mais elle ne l'avait pas fait. Elle lui racontait tout, se confiant à lui comme à personne d'autre, mais force était de croire que cette confiance n'était pas réciproque... Tout du moins, c'est ce que la jeune fille avait longtemps pensé, amère, avant de réaliser que toute cette histoire était bien plus compliquée que ça, comme il l'avait si bien dit dans sa lettre...
Elle venait d'avoir 13 ans, lui 17, lorsqu'elle le retrouva, en rentrant des cours, allongé la tête sur son bureau et les mains croisées devant son torse. Elle avait d'abord pensé qu'il s'était assoupi en révisant ses cours, comme ça lui arrivait parfois, avant de s'approcher pour le réveiller et remarquer qu'il ne réagissait à aucune de ses secousses. L'appelant, un peu plus fort au fils des secondes qui passaient, ce ne fut qu'à cet instant qu'elle remarqua que ses chaussettes étaient poisseuses, et baissa son regard vers le sol.
Là, sous ses pieds, inondant le sol en bois terne de leur chambre à coucher, une tache de sang se rependait tout autour du corps de son frère. Un sang noir, visqueux, aux effluves agressant subitement ses narines sitôt la tâche identifiée. Un sang coagulé, sûrement séché depuis plusieurs longues minutes, voir plusieurs heures.
Portant une main à sa bouche, elle secoua de plus belle son frère inanimé, criant d'une voix suraiguë dans ses oreilles désormais sourdes au moindre son. Elle sentit les larmes la gagner, mais les retint du mieux qu'elle le pouvait, ne voulait pas succomber au désespoir avant d'être sûr que son frère n'était plus.
Les mains tremblantes, elle sortit son téléphone portable de sa poche et appela le samu. Sa propre voix lui paraissait lointaine, très lointaine, comme si ce n'était pas elle qui parlait mais une personne inconnue, située à plusieurs mètres de distances...
Une fois raccrochée, elle retourna auprès de son frère et, prenant délicatement ses bras dans ses mains, tentant d'ignorer sa révulsion face au sang toujours collé à ses chaussettes, observa ses poignets meurtris. Ils étaient entaillés dans le sens de la longueur, des deux cotés, mais plus régulièrement du côté gauche, néanmoins ; ce qui laissait à penser que c'était le premier qu'il avait mutilé, avant d'être déconcentré par les accès de douleurs lorsqu'il s'occupait du second.
Même là, le sang paraissait noir et pâteux, complètement durci par endroit. Elle ne savait pas combien de temps s'était écoulé depuis qu'il avait fait ça, mais elle priait intérieurement pour que ce dernier ne soit pas suffisant pour que son appel s'avère inutile.
Il était dans les vapes, simplement dans les vapes, se répétait-elle dans son for intérieur, n'ayant pas le courage de prendre son pou pour confirmer ses doutes. Il ne pouvait pas mourir, il ne DEVAIT pas mourir. Pas lui, pas l'un de ses frères, mais surtout pas lui.
Tendant de bander ses poignets avec ce qui lui passait sous la main, à savoir de vieux vêtements, elle n'avait même pas la force d'appeler ses parents pour les prévenir, pas avant de savoir. Elle savait que ce qu'elle venait de faire était inutile, que le sang avait depuis longtemps cessé de couler et que couvrir les plaies ne servait plus à rien, mais elle savait également que si elle restait là sans rien faire en attendant l'arriver des secours, elle serait morte d'inquiétude avant même de les voir débarquer.
C'est a ce moment précis qu'elle la remarqua : une petite enveloppe dépassant de sous le visage pâle de Kizuki, à moitié cachée par ce dernier. Une enveloppe toute simple, blanche, avec pour seul contraste deux mots écrits à l'encre noir, calligraphiés : For Akito.
L'écriture de son frère, elle la reconnaîtrait entre milles. Même en lettres romaines, il était doué, sachant mieux écrire l'anglais que certains natifs, elle en était certaine.
Akito la prit, mais ne la lit pas, la rangeant dans sa poche avant de retourner secouer son frère.
Finalement, le samu arrive environs un quart d'heure après son appel, embarquant le corps de son frère sur une civière, juste après lui avoir demandé où étaient leurs parents afin de pouvoir leur parler. L'adolescente leur avait répondu qu'ils étaient au travail, et ils lui avaient demandé leurs numéros de téléphone mobile, souriant d'un air suintant l'hypocrisie, éludant ses questions.
Aucun des trois hommes ayant emporté son frère n'osèrent lui dire que c'était fini, que Kizuki n'était plus. Sûrement avaient-ils peur que l'enfant ne comprenne pas, se mettrait à pleurer et à leur crier dessus pour calmer sa peine, et qu'elle deviendrait ingérable pour des gens qui, comme eux, étaient chargés de travail. On sous-estimait souvent, à tort, les réactions des plus jeunes, ne le pensant pas capable d'entendre la vérité, alors qu'ils l'étaient parfaitement.
S'en suivit des pleurs, des cris et des questionnements qui demeureraient à jamais sans réponse. Personne ne comprenait ce qui avait bien pu passer par la tête de ce jeune homme en fleur de l'âge pour mettre ainsi fin à ses jours, de manière aussi brutale. Pour ça famille, ce fut un véritable choc.
Aucune explication, ni pré ni post-mortem, aucun mot, aucune lettre, rien. Tout du moins, c'est ce qu'ils pensaient, Akito ayant gardé pour elle l'existence de cette lettre destinée à elle seule, qu'elle n'avait par ailleurs toujours pas ouvert lorsque, trois jours plus tard, il enterrèrent le défunt.
Elle ne l'ouvrit d'ailleurs que près d'un an plus tard, après avoir cessé d'en vouloir à son frère pour les avoir laissé tomber, et décidé qu'elle était prête à lire ses derniers mots pour elle, maintenant qu'il n'était plus qu'un squelette blanchi et rongé par les vers...
C'est dans le mois qui suivit le décès de son frère que, bien décidé à ne pas se laisser gâcher la vie par ses sombres pensées, Akito décida d'augmenter encore un peu plus sa pratique du sport. En plus de l'athlétisme, qu'elle pratiquait toujours, elle s'inscrit au basket, son premier sport en équipe. Être entouré de monde, courir à perdre haleine jusqu'au panier, dribbler, éviter ses adversaires, feinter... Tous dans ce sport était bien plus éprouvant que ce que pensaient les badauds... Ce n'était pas qu'une question savoir tirer, loin de là, cette partie n'était même qu'un détail. Si l'on savait assurer ses arrières, prendre la balle des mains de son adversaire et l'empêcher de tirer, c'est là que le jeu devenait réellement intéressant.
Après tout, les grands matches sont souvent reconnus lorsque le jeu est long et que le nombre de points ne dépasse que rarement dix. Ce sont les amateurs qui, sans bon défenseur, parvenaient à marqué des chiffres astronomiques !
Lundi, mercredi et vendredi : Athlétisme. Mardi, jeudi et samedi : Basket. Et le dimanche, jour de repos ou d'entraînement personnel...
Le sport était devenu plus qu'une passion, il était devenu une drogue ! Lorsqu'elle courait, elle parvenait à en oublier tous ses tracas du quotidien, à oublier son frère, et lorsqu'elle rentrait, lessivée de ses cours, elle n'avait plus la force pour pleurer...
Une véritable délivrance.
Aujourd'hui, soit trois années après l'incident, Akito n'est toujours pas parvenu à diminuer la dose. Parvenu quatrième au championnat national junior, c'est grâce à ce titre qu'elle a pu obtenir une bourse permettant à ses parents de récolter les moyens nécessaires pour lui payer ses études dans un lycée aussi réputé de Seika, à quelques kilomètres de chez elle seulement.
S'il était vrai que la jeune fille n'était pas aussi intelligente que le fut son défunt frère, il l'était au moins tout autant qu'elle était loin d'être stupide, contrairement à bon nombre de clichés sur les sportifs...
Non, même si elle ne finirait sûrement jamais première aux classements, elle était suffisamment sérieuse pour envisager des études dans un lycée et une faculté autre que ceux/celles de quartier.
C'est ainsi qu'elle arrive à Seika, pour sa première année.
Le joueur
Prénom / Pseudo : Appelez moi Giro, c'est la grande Keiko-sama qui l'a décidé 8D
Age : Toujours 19 ans, bien que je me rapproche doucement mais sûrement de ma deuxième décennie ToT
Ancien ou nouveau ? Ancien (enfin, tout est relatif, mais j'ai déjà un compte ici quoi x), DC de Watanabe Hiroki
Comment avez-vous connu le forum ? J'sais plus, j'ai du l'écrire sur mon premier compte x)
As tu bien lu le règlement ? ok ok Amore!


Dernière édition par Akito Narimiya le 22.04.15 9:57, édité 1 fois
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Sky LeeSky LeeMa sorcière bien ratée
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MessageSujet: Re: Akito Narimiya - Cours, que je te rattrape !   Akito Narimiya   - Cours, que je te rattrape ! Empty15.03.15 18:02

Re-bienvenue ma marmotte! <3
Tout est parfait, je me suis remis de ton histoire toujours très...intense à lire. Tu es donc validée !

- groupe des super heroes! Congrats, le bleu Tardis est sii beau! *.*
- chambre 13 avec Akane Maeda, une belle musicienne
- tu es ajoutée au club de Basket. Welcoooome *o* on va s'éclater! /o/
- 1ère année pour ma petite Akito.

Comme d'habitude, carte ID et lien de la fiche mon chou, ça change pas <3

Bon jeu! :Sky:



Dernière édition par Sky Lee le 16.03.15 0:15, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Akito Narimiya - Cours, que je te rattrape !   Akito Narimiya   - Cours, que je te rattrape ! Empty15.03.15 22:10
GIRO ! Re-bienvenue :p
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Saitô HibikiSaitô HibikiGougnafier
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MessageSujet: Re: Akito Narimiya - Cours, que je te rattrape !   Akito Narimiya   - Cours, que je te rattrape ! Empty15.03.15 23:03
Bienvenue Smile
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MessageSujet: Re: Akito Narimiya - Cours, que je te rattrape !   Akito Narimiya   - Cours, que je te rattrape ! Empty16.03.15 7:52
Merci ! O/ \O \O/
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MessageSujet: Re: Akito Narimiya - Cours, que je te rattrape !   Akito Narimiya   - Cours, que je te rattrape ! Empty
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Akito Narimiya - Cours, que je te rattrape !
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