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| Sujet: Rin Maeda ~~ 27.11.13 23:30 | | Rin Maeda Nom : Maeda Prénom : Rin Age : 16 ans Nationalité : Japonaise Orientation sexuelle : Hétéro Groupe : Super Heroes !! Classe : 1ère année Club : Cuisine Situation financière : Boursier (pauvre) Baito / Fonction : Caissière Logement : Pensionnaire Personnage de l'avatar ? Afuro Terumi - Inazuma Eleven (merci à Naoya \o/) Keep a secret ? Tendance à boire. Quand je commence, j'arrive rarement à m'arrêter. Que ce soit en soirée, ou bien même en journée. Quand j'ai soif, je bois. Je cherche rarement plus loin. On dit que l'alcool ne donne pas de réponses mais aide à oublier la question. J'ai besoin d'oublier souvent finalement. En apparence je suis ...Je suis blonde ! Et j'essaie de faire en sorte à ce que ce ne soit pas qu'une couleur de cheveux, mais aussi un état d'esprit ! Parce que logiquement (et d'après la légende), les blondes sont des êtres dénués d'intelligence ou même de réflexion. Et bien, eh bien... Moi, j'dis, elles ont la belle vie ! Ne dit-on pas « heureux les simples d'esprit » ? Croyez-le ou non, mais si je me teins aussi souvent la tignasse, c'est uniquement pour que ça déteigne sur mon pois chiche. Pas logique ? Je vous merde. Sinon, je suis pas particulièrement épaisse. Sans être filiforme (style bout de branche) pour autant. Je n'ai pas vraiment le physique d'une athlète bien que j'en sois une. Des abdos peut être. Mais sinon, nada dans les bras ! Toutefois, dans le sport que je pratique, je dois dire que les bras (mis à part pour filer des manchettes), on s'en sert pas beaucoup. Alors, j'essaye de faire en sorte de me muscler les cuisses et les mollets. Je cours, je marche. Mais rien n'y fais. Crevette je suis, crevette je resterais. Sinon, niveau... « Poitrail » comme disais mon infecte grand-mère, ça ne se développe pas énormément. Gamine, on m'avait promis monts et merveilles. Mais les monts sont restés aux abonnés absents et du coup, pas vraiment de merveilles à promettre aux garçons. Et pour ma taille... Là encore, c'est un des drames de mon existence. Je suis petite... Non, je citerais pas ma taille. Parce que je boude les gens qui veulent me mesurer. Ou alors, je les mords. Disons aux alentours de un mètre cinquante cinq. Voilà ! Je l'ai dis ! T'es pas jouasse ?!!! Tu veux que j'te foute une taloche ! Namého... Et à l'intérieur ...J'ai deux moi en fait. L'une s'appelle Monique et l'autre Mireille (nan, nan, je déconne). Mais moi, je le vois comme ça. Je suis la fille qu'en règle général, tout le monde apprécie. Du genre bout en train. Qui fait marrer son monde mais qu'au final, tout le monde se fout de connaître vraiment. Je me laisse pas abattre mais c'est vrai que parfois, si j'y pense trop (les blondes ne pensent pas, les chanceuses!), ça me rend un peu triste de me dire que personne ne souhaite vraiment me connaître. Comme si la façade que je suis et que je présente presque machinalement suffisait. Donc d'un côté, je parais forte, drôle, attachante et complètement barrée et de l'autre, je me vois comme quelqu'un de faible, qui a peur de demander de l'aide et qui au final, ne fait pas confiance aux gens. Mais en même temps, je ne montre jamais ces aspects de ma personnalité. Pourquoi ? Bah merde alors ! Le prince charmant ou ma future meilleure amie (style âme sœur avec qui je partagerais tout) auront qu'à prendre une foutue pelle pour venir déterrer la faiblarde qui se cache en moi ! J'vais pas leur mâcher le boulot non plus ! Moi, j'suis une pépite. Pour me trouver, faut creuser, bordel ! Once upon a time ...Je suis fille unique. Et je me dis, souvent même, que j'aurais bien aimé avoir un frère ou une sœur. Pas plus jeune que moi, hein. Non, un grand frère ou une grande sœur. Même si j'ai une préférence pour le grand frère. Souvent, j'imagine à quel point ça aurait été plus facile d'avoir quelqu'un pour tout encaisser à ma place. N'allez pas me faire dire ce que je n'ai pas dis ! Jamais mes parents n'ont levés la main sur moi. Même si j'avoue que j'aurais préféré. Depuis toute petite je crois, je suis tombée amoureuse du ballon rond. On peut pas appeler ça autrement que de l'amour. Parce que ça me rend heureuse, parce que j'anticipe chaque moment où je vais pouvoir frapper la balle. Parce que ça me donne envie de vivre en fait. Le football, c'est pas vraiment un sport de filles. Du moins, ça commence à peine à rentrer dans les mœurs que les femmes puissent frapper un ballon. Je me souviens pas quand j'ai commencé à jouer. Sûrement dans un parc ou un autre truc du genre. Mais ça ne m'a jamais quitté. Et puis, il faut dire que quand les choses ne se passent pas bien à la maison, ça fait du bien de pouvoir se défouler. D'autres que moi auraient choisi la boxe, le karaté ou encore la délinquance, qu'en sais-je ? Mais pour moi, ça a toujours été le ballon rond. C'est au collège que j'ai rejoins le club de football. J'étais la seule fille et pourtant, je m'en laissais pas compter. Au début, quand j'ai rejoins l'équipe, beaucoup se sont moqués, ont criés au scandale. Mais bizarrement, après le premier match, y en avait plus un seul pour l'ouvrir. Au contraire même. Ceux qui avant m'ignoraient se sont mis à m'apprécier. Et au final, je suis devenue un peu la mascotte de l'équipe. « La muraille », ils m'appelaient (je joue en défense). Mais bon... Au final, j'ai jamais vraiment eu d'amis. Je veux dire... Ami, ami quoi ! De tout façon, j'aurais jamais pu inviter qui que ce soit chez moi. A la maison, ça criait pas souvent en fait. Mais ça parlait poliment, froidement. Là où il y aurait dû avoir de l'amour, il n'y avait que rancœur et amertume. Faut dire que mes parents n'ont pas vraiment décidé leur mariage. Venant tout deux de deux familles plutôt conservatrices, ils ont été promis l'un à l'autre sans même avoir leur mot à dire. Eh oui, ça existe encore ce genre de chose. Mon père boit depuis toujours je crois. Et ma mère, elle fait le ménage, les courses... Elle joue à la parfaite femme d'intérieur en fait. Je sais que mon père la déteste. Ce que je n'arrive pas à comprendre, c'est pourquoi il me déteste moi qui suis l'exacte opposée d'elle. Quand je me suis teinte en blonde, il m'a traité de « sale gaijin puante ». Quand je ramenais de bonnes notes à la maison (sans toutefois être première), il me traitait de « fainéante, tout juste bonne à jacasser comme une pie ». Quand je lui ai dis que je voulais faire du football mon métier, il m'a dit qu'à partir du moment où j'entreprendrais des démarches pour faire en sorte que cela arrive, « je serais morte à ses yeux ». J'ai eu (je le reconnais), une petite période noire. Sans parler de graves délits, il m'est arrivé à plusieurs reprises (je ne citerais pas le nombre) de voler dans les magasins. Je prenais toujours la même chose cependant. Du saké. Celui là même que buvais mon père. Je n'irais pas jusqu'à dire que j'ai sombré dans l’alcoolisme et tout et tout, hein ! Mais je crois que c'est génétique. Et j'aime bien l'alcool. Comme mon ivrogne de père en fait. Mais ça ne pouvait pas durer tout ça. Alors, je me suis bougée. Étonnamment, ma mère m'a soutenu quand j'ai fais de demande une demande de bourse pour entrer au lycée Seika. Mais je crois que si elle a fait ça, c'était juste pour le plaisir de s'opposer à mon père, sans le faire de front. Grâce à mon niveau sportif, j'ai pu obtenir cette bourse. Ce qui m'a conforté dans mon idée de continuer dans cette voie. Je comptais attendre mes 17 ans pour aller au lycée Seika. Mais l'ambiance à la maison... Disons que je me suis dis que je ne tiendrais pas plusieurs mois à me faire rabaisser en permanence. Alors, autant signer mon arrêt de mort (aux yeux de mon père) le plus rapidement possible. Le joueur Prénom / Pseudo : Micheline Age : 69 (nombre coquin ultime !) Ancien ou nouveau ? Nouvelle Comment avez-vous connu le forum ? Mon incroyable chance ! (et les tops sites) (Juste pour le plaisir des yeux et pour dire que j'me suis pas fais **** pour rien XD) - Spoiler:
MAEDA - Rin" J'ai des copains dans ma tête \o/ " Personnage
|- Nom : Maeda |- Prénom : Rin |- Âge : 16 ans
|- Orientation sexuelle : Hétéro |- Groupe : Super Heroes !! |- Club : Cuisine
Joueur |- Situation financière : Boursier (pauvre) |- Baito : Caissière |- Logement : Pensionnaire |- Avatar : Me souviens plus ._. |- Keep a secret ? : Tendance à boire
"En apparence"je suis...Je suis blonde ! Et j'essaie de faire en sorte à ce que ce ne soit pas qu'une couleur de cheveux, mais aussi un état d'esprit ! Parce que logiquement (et d'après la légende), les blondes sont des êtres dénués d'intelligence ou même de réflexion. Et bien, eh bien... Moi, j'dis, elles ont la belle vie ! Ne dit-on pas « heureux les simples d'esprit » ? Croyez-le ou non, mais si je me teins aussi souvent la tignasse, c'est uniquement pour que ça déteigne sur mon pois chiche. Pas logique ? Je vous merde. Sinon, je suis pas particulièrement épaisse. Sans être filiforme (style bout de branche) pour autant. Je n'ai pas vraiment le physique d'une athlète bien que j'en sois une. Des abdos peut être. Mais sinon, nada dans les bras ! Toutefois, dans le sport que je pratique, je dois dire que les bras (mis à part pour filer des manchettes), on s'en sert pas beaucoup. Alors, j'essaye de faire en sorte de me muscler les cuisses et les mollets. Je cours, je marche. Mais rien n'y fais. Crevette je suis, crevette je resterais. Sinon, niveau... « Poitrail » comme disais mon infecte grand-mère, ça ne se développe pas énormément. Gamine, on m'avait promis monts et merveilles. Mais les monts sont restés aux abonnés absents et du coup, pas vraiment de merveilles à promettre aux garçons. Et pour ma taille... Là encore, c'est un des drames de mon existence. Je suis petite... Non, je citerais pas ma taille. Parce que je boude les gens qui veulent me mesurer. Ou alors, je les mords. Disons aux alentours de un mètre cinquante cinq. Voilà ! Je l'ai dis ! T'es pas jouasse ?!!! Tu veux que j'te foute une taloche ! Namého..."Et"à l'intérieur...J'ai deux moi en fait. L'une s'appelle Monique et l'autre Mireille (nan, nan, je déconne). Mais moi, je le vois comme ça. Je suis la fille qu'en règle général, tout le monde apprécie. Du genre bout en train. Qui fait marrer son monde mais qu'au final, tout le monde se fout de connaître vraiment. Je me laisse pas abattre mais c'est vrai que parfois, si j'y pense trop (les blondes ne pensent pas, les chanceuses!), ça me rend un peu triste de me dire que personne ne souhaite vraiment me connaître. Comme si la façade que je suis et que je présente presque machinalement suffisait. Donc d'un côté, je parais forte, drôle, attachante et complètement barrée et de l'autre, je me vois comme quelqu'un de faible, qui a peur de demander de l'aide et qui au final, ne fait pas confiance aux gens. Mais en même temps, je ne montre jamais ces aspects de ma personnalité. Pourquoi ? Bah merde alors ! Le prince charmant ou ma future meilleure amie (style âme sœur avec qui je partagerais tout) auront qu'à prendre une foutue pelle pour venir déterrer la faiblarde qui se cache en moi ! J'vais pas leur mâcher le boulot non plus ! Moi, j'suis une pépite. Pour me trouver, faut creuser, bordel ! "Once upon"a time...Je suis fille unique. Et je me dis, souvent même, que j'aurais bien aimé avoir un frère ou une sœur. Pas plus jeune que moi, hein. Non, un grand frère ou une grande sœur. Même si j'ai une préférence pour le grand frère. Souvent, j'imagine à quel point ça aurait été plus facile d'avoir quelqu'un pour tout encaisser à ma place. N'allez pas me faire dire ce que je n'ai pas dis ! Jamais mes parents n'ont levés la main sur moi. Même si j'avoue que j'aurais préféré. Depuis toute petite je crois, je suis tombée amoureuse du ballon rond. On peut pas appeler ça autrement que de l'amour. Parce que ça me rend heureuse, parce que j'anticipe chaque moment où je vais pouvoir frapper la balle. Parce que ça me donne envie de vivre en fait. Le football, c'est pas vraiment un sport de filles. Du moins, ça commence à peine à rentrer dans les mœurs que les femmes puissent frapper un ballon. Je me souviens pas quand j'ai commencé à jouer. Sûrement dans un parc ou un autre truc du genre. Mais ça ne m'a jamais quitté. Et puis, il faut dire que quand les choses ne se passent pas bien à la maison, ça fait du bien de pouvoir se défouler. D'autres que moi auraient choisi la boxe, le karaté ou encore la délinquance, qu'en sais-je ? Mais pour moi, ça a toujours été le ballon rond.
C'est au collège que j'ai rejoins le club de football. J'étais la seule fille et pourtant, je m'en laissais pas compter. Au début, quand j'ai rejoins l'équipe, beaucoup se sont moqués, ont criés au scandale. Mais bizarrement, après le premier match, y en avait plus un seul pour l'ouvrir. Au contraire même. Ceux qui avant m'ignoraient se sont mis à m'apprécier. Et au final, je suis devenue un peu la mascotte de l'équipe. « La muraille », ils m'appelaient (je joue en défense). Mais bon... Au final, j'ai jamais vraiment eu d'amis. Je veux dire... Ami, ami quoi ! De tout façon, j'aurais jamais pu inviter qui que ce soit chez moi.
A la maison, ça criait pas souvent en fait. Mais ça parlait poliment, froidement. Là où il y aurait dû avoir de l'amour, il n'y avait que rancœur et amertume. Faut dire que mes parents n'ont pas vraiment décidés leur mariage. Venant tout deux de familles plutôt conservatrices, ils ont été promis l'un à l'autre sans même avoir leur mot à dire. Eh oui, ça existe encore ce genre de chose. Mon père boit depuis toujours je crois. Et ma mère, elle fait le ménage, les courses... Elle joue à la parfaite femme d'intérieur en fait. Je sais que mon père la déteste. Ce que je n'arrive pas à comprendre, c'est pourquoi il me déteste moi qui suis l'exacte opposée d'elle. Quand je me suis teinte en blonde, il m'a traité de « sale gaijin puante ». Quand je ramenais de bonnes notes à la maison (sans toutefois être première), il me traitait de « fainéante, tout juste bonne à jacasser comme une pie ». Quand je lui ai dis que je voulais faire du football mon métier, il m'a dit qu'à partir du moment où j'entreprendrais des démarches pour faire en sorte que cela arrive, « je serais morte à ses yeux ».
J'ai eu (je le reconnais), une petite période noire. Sans parler de graves délits, il m'est arrivé à plusieurs reprises (je ne citerais pas le nombre) de voler dans les magasins. Je prenais toujours la même chose cependant. Du saké. Celui là même que buvais mon père. Je n'irais pas jusqu'à dire que j'ai sombré dans l’alcoolisme et tout et tout, hein ! Mais je crois que c'est génétique. Et j'aime bien l'alcool. Comme mon ivrogne de père en fait. Mais ça ne pouvait pas durer tout ça. Alors, je me suis bougée.
Étonnamment, ma mère m'a soutenu quand j'ai fais de demande une demande de bourse pour entrer au lycée Seika. Mais je crois que si elle a fait ça, c'était juste pour le plaisir de s'opposer à mon père, sans le faire de front.
Je comptais attendre mes 17 ans pour aller au lycée Seika. Mais l'ambiance à la maison... Disons que je me suis dis que je ne tiendrais pas plusieurs mois à me faire rabaisser en permanence. Alors, autant signer mon arrêt de mort (aux yeux de mon père) le plus rapidement possible. © Never-Utopia
Dernière édition par Rin Maeda le 29.11.13 21:31, édité 3 fois |
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