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 Yuki Shimitsu || Let's put a smile on dat face

AnonymousInvitéInvité
Yuki Shimitsu ||  Let's put a smile on dat face  Empty
MessageSujet: Yuki Shimitsu || Let's put a smile on dat face    Yuki Shimitsu ||  Let's put a smile on dat face  Empty14.02.14 18:06
Yuki + Shimitsu

Nom : Shimitsu.
Prénom : Yuki Bara Etsuko.
Age : 18 ans.

Nationalité : Japonais.
Orientation sexuelle : Homosexuel.

Groupe : Why So Serious.

Classe : 3ème année de lycée.
Club : Théatre.
Situation financière : Riche héritier.
Baito / Fonction : /
Logement : Pensionnaire.

Personnage de l'avatar ? Fuuchouin Kazuki – Get Backers.

Keep a secret ? Son secret, la chose la plus lourde à porter, c’est qu’il est à l’origine de la mort de sa petite sœur.

En apparence je suis ...
Pas comme il devrait être. Lorsque l’on parle de jeune homme, on n’imagine pas une seule seconde quelqu’un comme Yuki. Car Yuki, est un homme. Pas de poitrine, un kit trois pièces fournis avec le nourrisson à la naissance. Il a grandi depuis, certes –enfin, si le terme grandir est bien approprié, parce que du haut de son mètre soixante-deux…- et en grandissant, il est devenu fort belle. A défaut d’être fort viril. De très longs cheveux châtains, deux grands yeux bleus qu’il tient de son arrière-grand-mère, française d’origine, qui trônent au-dessus de larges cernes qu’il s’évertue, tous les matins, à camoufler sous du maquillage, un petit nez légèrement retroussé, des lèvres qui ne sourient jamais… Son visage est sans cesse habité par cette expression songeuse, toujours ailleurs. Mais pas un ailleurs rempli de licornes… enfin ça, c’est une autre histoire.
Créature frêle, mince, fragile, on pourrait avoir peur de le briser en posant seulement notre regard sur lui. Il porte toute sorte de vêtements, souvent féminins car c’est ce qui lui sied le mieux. En revanche, jamais vous ne verrez ses avants bras dénudés. Soit il porte des hauts à manches longues, soit des bandages, soit des accessoires pour cacher ses cicatrices infligées par lui-même. Et si vous prêtiez vraiment attention à ses doigts, minces, aux ongles parfaitement manucurés, peut être pourriez-vous remarquer les traces de piqûres, de plus en plus rares, mais toujours un peu présentes, entre ses doigts…

Et à l'intérieur ...
Jadis un garçon souriant et plein de joie de vivre. Aujourd'hui, un jeune homme amer, et peut être un peu fade, insipide. Asocial au possible. Il a peur des autres. Mais pas peur de ce qu'ils pourraient lui faire. Non. Il a peur de ce que lui, pourrait être amené à leur faire. Yuki... est tel une rose. Il se protège avec ses épines. Mais si quelqu'un s'accroche assez pour passer au delà de cela, il découvrira un jeune homme fragile... et instable. Éternel amoureux, priez pour qu'il ne jette pas son dévolu sur vous. La jalousie est un vilain défaut. Yuki en est la personnalisation. Possessif, aussi. Je ne pense pas que vous soyez capable d'imaginer ce qu'il pourrait être amener à faire par "amour".

Doublez tout cela d'une fâcheuse addiction aux produits illicites, pour "oublier" ses cauchemars, et vous obtenez un jeune homme quelque peu froid, et légèrement bipolaire sur les bords. Il peut devenir violent, si l'on le contrarie... et bien qu'il ne possède pas de force physique, il est assez intelligent pour vous persécuter et vous pourrir la vie jusqu'à ce qu'il se lasse. Où qu'il vous envoie à l'hôpital.

Dernier petit point, qui peut valoir son pesant d'or... Yuki n'aime pas les femmes. Mais vraiment pas... Mais il sait très bien cacher cette aversion.

Once upon a time ...
La quiétude et le calme habituel de la demeure traditionnelle, située en périphérie de la capitale, des Shimitsu, avait laissé place à l’agitation.

De l’extérieur, l’on pouvait entendre s’élever les voix des propriétaires, au-dessus des murs d’enceinte. Puis soudain, la porte du garage s’est ouverte, et la Mercedes Berline noire du ministre Hiro Shimitsu a surgit, prenant la direction de l’hôpital le plus proche.

C’était le jour-j, le jour de l’arrivée de la petite Yuki.

De longues heures se sont écoulées, mêlant douleur et joie, pleurs et rires, larmes et sourires, avant que le cri final ne se fasse entendre.

« Félicitations ! C’est un beau petit garçon en parfaite santé ! »

Il était là, derrière la vitre, dans sa couveuse. Si petit, si frêle, si mignon. Pourtant, Hiro et Akiko, dans son fauteuil roulant, n’arrivaient pas à retrouver le sourire.

« Déçus ? »

Le mot était laché. Une infirmière qui passait par là a remarqué leurs regards tristes.

« Oui… »

Ils ne cherchaient à mentir à personne. Ni à cette femme, que la curiosité a poussé à parler, ni à eux-mêmes. Ils étaient déçus que les écographies leur ai donné de faux espoirs. Ils comprenaient très bien que le sexe du nourrisson n’avait pas été visible à cause de sa position, simplement… Ils auraient tant voulu une petite fille. Parce que Hiro avait déjà trois fils d’un premier mariage. Trois fils qu’il voyait une fois par an, et cela semblait amplement suffisant. Cependant, le couple ne pouvait en vouloir à l’enfant. Il n’était pas fautif, et quoi qu’il en soit, il restait leur fils. Et un lien se formait, malgré tout.

Le soir, Hiro rentra chez lui, pour annoncer la nouvelle à la famille. Un petit garçon. Mais un petit garçon avec des prénoms de filles.

Voici donc la venue au monde de Yuki Bara Etsuko Shimitsu.

Le temps passait, petit à petit, et Yuki grandissait. Chaque jour, il devenait de plus en plus beau, de plus en plus gracieux, de plus en plus doux. Et chaque jour, il devenait de plus en plus féminin. Sa famille était protectrice. Il était l’enfant chéri de ses parents, qui l’aimaient plus que tout. Il était l’héritier de la fusion de leur empire immobilier, fusion de deux groupes, unis par un mariage d’amour… et d’affaire.

Petit être sans cesse au milieu de l’attention, il s’est aisément habitué à cela. A ce que l’on s’occupe de lui, d’être le favoris de tous, que tout le monde le trouve parfait. Jusqu’à ce qu’un jour, à ses six ans, n’arrive une petite sœur. Une fille, une petite Ririkio Shimitsu. Au début, les quatre premières années, cela allait. Yuki était bien conscient que si ses parents s’occupaient plus d’elle, c’était tout simplement parce qu’un bébé ne peut pas faire seul tout ce que lui pouvait faire. Et qui commença à prendre toute l’attention qui lui était donné auparavant. Mais à partir de ses quatre ans, c’était une autre histoire. Et c’est à ce moment-là que la jalousie a commencé à le ronger. La possessivité aussi. Au début, c’était inconsciemment qu’il agissait. Ses résultats scolaire ont chutés, lui qui était bon élève. Il a commencé à se blesser pendant les cours de sport. Au début, c’était simplement des chutes bêtes, causant des égratignures. Puis c’est devenu des foulures à la cheville. Pour finir avec un bras dans le plâtre suite à une mauvaise chute lors d’un saut au cheval d’arçon.

Finalement, il fut suspendu de cours de gymnastique. Et l’attention que lui fournissait ses parents n’était que temporaire. Il a commencé à devenir violent avec les petites filles de son école, celles-ci lui rappelant que sa sœur lui volait tout ce qu’il désirait. Il espérait secrètement attirer l’attention de ses parents, une fois encore, de la sorte. Mais eux, n’en avait toujours plus que pour la petite Ririkio qui grandissait. Dire que cette histoire l’obsédait, c’est bien peu. Cela le rongeait, comme la gangrène vous ronge la chair. Cette jalousie, cette possessivité vis-à-vis de tout ce qui lui appartenait, tout cela, cela le bouffait. C’était à lui. Et il était hors de question que cette créature immonde, répugnante, ne lui vole quoi que ce soit. Il commençait à faire des crises à ses parents, mais ceux-ci n’ont jamais voulu entendre la réalité. Ils ne voulaient pas admettre que leur fils était dérangé à ce point.

Alors à treize ans, il a mis en pratique ce qui lui trottait dans le crâne. Il a fait sa première tentative. Il en entendait parler, à l’école. Des camarades de classe qui racontaient des histoires morbides, pour se faire frissonner, ou se rendre intéressants. Des histoires comme quoi ils connaissaient quelqu’un dont l’ami de son frère connaissait quelqu’un dont la sœur connaissait quelqu’un […] qui avait fait une tentative. En les entendant parler, cela semblait si simple. Prendre une lame de rasoir, et se trancher les veines. Alors dans son bain, il a essayé. Il se souvient encore de la douleur. Et ses parents se souviennent encore du cri qu’il a poussé, et qui les a fait rappliquer illico presto. Ils ont eu les bons réflexes. Compresser avec la main pour tenter de stopper l’hémorragie, bander le tout bien serré. Puis emmener Yuki voir un psy.

Il est resté bien plus d’une heure, seul dans cette pièce avec cet homme. Et lorsqu’enfin la porte s’est rouverte, le docteur était complètement livide. Il a demandé à parler seul aux parents, leur expliquant que leur fils avait besoin d’un suivit, qu’il était rongé par la jalousie, qu’il en devenait violent. Il leur expliqua la relation entre sa petite sœur, ses divers accidents, ses bagarres passées, et sa tentative de suicide, alors qu’il est bien trop jeune. Mais ses parents, une fois encore, ont fait l’autruche. Le psychologue les a mis en garde. Que Yuki était comme une bombe à retardement, et qu’il risquait, tôt ou tard d’exploser. Rien à faire…

Après cet épisode, Yuki a continué sa descente aux enfers, camouflant tout cela sous quelques sourires, et un calme hors du commun. Mais il restait froid, et solitaire. Surtout à l’école. Les filles ne l’approchaient plus, rares étaient les garçons à tenter de s’approcher de lui. Et lorsqu’un jeune homme avait le malheur de tenter de le connaître, il le regrettait aussitôt. Yuki se l’appropriait immédiatement, finissant par étouffer totalement sa proie, qui finissait inexorablement par le repousser. Et Yuki finissait inexorablement par en souffrir. C’était un cercle vicieux. Dépression, violence, souffrance. Les cicatrices se faisaient de plus en plus nombreuses sur ses poignets, qu’il cachait sous toute sorte de chose. Maquillage, bandage, accessoire… tout. Les années continuaient de passer, jusqu’à ses quinze ans. La petite Ririkio en avait dix. Année fatale. Pour son anniversaire, Yuki lui avait offert un chiot. De la gentillesse ? Hmm. Oui et non. Yuki n’est pas une créature simple à suivre.

Le fait est que ce chiot préférait clairement le grand frère à la petite sœur. Mais celle-ci n’en avait cure. Elle adorait courir après toutou, qui lui, adorait aller sauter sur Yuki. Et ce jour-là… Yuki rentrait de l’école, Ririkio était déjà là, en train de jouer avec le chien, qui dès qu’il a vu son maître, a foncé vers lui. Et Ririkio à ses trousses. Sauf que l’enfant est moins rapide que le chien, pour traverser la route. Et ne fait pas le poids face à un camion…

Spoiler:

Tout cela sous le regard du jeune garçon. Certes il la haïssait, et oui, il souhaitait s’en débarrasser. Mais il ne s’était jamais imaginé… cela. Et ce n’est pas sans séquelles qu’il s’en est sorti. A la fois heureux d’être enfin débarrassé de la gêneuse, et en même temps, complètement choqué par ce qu’il venait de se passer devant ses yeux. Ses parents, eux, ont enfin compris que cela n’allait pas, avec Ririkio. Oui. Ils ont compris, et lui ont tout mis sur le dos.

« Tu la détestais donc au point de la tuer ? Monstre… »

Mais lui… non, ce n’est pas ce qu’il avait souhaité. Loin de là. A partir de là, le sentiment de culpabilité est venu s’ajouter à tout ce qu’il avait déjà en lui. Et une fois encore, il n’était pas aidé par ses parents qui ne lui facilitaient pas la tâche, et qui en plus de cela, l’on placé en pensionnat. Pour enfant riche certes. Mais loin d’eux... Il s’est enfoncé dans la dépression. Super pour sa première année de lycée. Il s’est mis à sécher les cours, fuyant encore plus les contacts. Il ne voulait pas souffrir, ne voulait pas non plus faire souffrir, et savait que s’il laissait qui que ce soit s’approcher, cela dégénèrerait. Mais un jeune homme a insisté. Il s’appelait Naraku. Il lui a promis qu’il resterait avec lui, qu’il en prendrait soin. Il lui a promis de le faire se sentir bien, de lui faire oublier.  C’est lui qui l’a initié aux doux plaisirs des drogues. C’est lui qui l’a entrainé, encore plus profondément dans les abymes. Avant de l’abandonner. En deuxième année. Il s’est fait transférer dans une autre école. A l’étranger, paraît-il.

Cette troisième année, il la débute toujours dans le même état. Tentant désespérément de cacher ce qui ne va pas, du moins physiquement. Mais à l’intérieur, c’est toujours aussi sombre. La gangrène s’étend, au moins autant que le nombre de cicatrices sur ses poignets. Il devient de plus en plus amer, et à la fois de plus en plus fragile… Après tout, l’être humain, aussi laid soit-il, a toujours eu besoin de compagnie… Et Yuki ne fait pas exception à la règle.

Réussira-t-il, cette année, à s’améliorer, se contenir, se lier avec quelqu’un, et retrouver le sourire, enfin… ?


Le joueur
Prénom / Pseudo : Mao.
Age : 20ans. (j’ai failli écrire 19… ralala l’habitude quand tu nous tiens.)
Ancien ou nouveau ? Nouveau nouveau.
Comment avez-vous connu le forum ?Grâce à un membre : Liha Mei. Du coup ci ma marraine ♥


Dernière édition par Yuki Shimitsu le 17.02.14 20:18, édité 1 fois
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AnonymousInvitéInvité
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MessageSujet: Re: Yuki Shimitsu || Let's put a smile on dat face    Yuki Shimitsu ||  Let's put a smile on dat face  Empty17.02.14 16:00
Hellow ~

Je n'ai rien a dire sur ta fiche, elle est complète, j'ai apprécier la lire et j'ai vraiment été embarquée dans ton histoire. Ton perso a bien sa place dans les dépressifs du lycée, tu es donc validé !!!

Je t'ai donc ajouté a la classe de troisième année qui est déjà bien remplie, et au club de théâtre. Tu sera dans la chambre 22, seul pour le moment mais tu auras rapidement un colloc Wink

N'oublie pas de générer ta carte ID et de mettre un lien vers ta fiche dans ton profil.

Au plaisir de te revoir sur la CB et de te croiser en RP !

Amuse toi o/
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Fujiyori NakamuraFujiyori NakamuraDirecteur de Seika no Gakuen
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MessageSujet: Re: Yuki Shimitsu || Let's put a smile on dat face    Yuki Shimitsu ||  Let's put a smile on dat face  Empty17.02.14 16:54
Bienvenue et amuse toi bien avec nous !

J'aime tellement ton avatar ... Tellement ... RP AVEC MOI ;w; !
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AnonymousInvitéInvité
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MessageSujet: Re: Yuki Shimitsu || Let's put a smile on dat face    Yuki Shimitsu ||  Let's put a smile on dat face  Empty17.02.14 20:21
Keiko Kiyoshi a écrit:
Bienvenue et amuse toi bien avec nous !

J'aime tellement ton avatar ... Tellement ... RP AVEC MOI ;w; !

Hanw c'est gentil ! x3

Ben... écoutes... oui ? Pourquoi pas, oui ? XD *personne facile pour rp*



Et merci Lisa ! :3
Yay, je vais pouvoir aller me taillader les veines inrp ♥ //PAN//
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MessageSujet: Re: Yuki Shimitsu || Let's put a smile on dat face    Yuki Shimitsu ||  Let's put a smile on dat face  Empty
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Yuki Shimitsu || Let's put a smile on dat face
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