SAKURAKO FEI
Nom : Fei
Prénom : Sakurako
Age : 20 ans
Nationalité : Sino-Japonaise
Orientation sexuelle : Pas encore trouvé chaussure à son pied
Groupe : Me Myself and I
Classe : Etudiante de première année en journalisme cursus TV dans le but de devenir présentatrice ou animatrice télé
Club : Bureau des étudiants et/ou club de cuisine
Situation financière : Un Sugar Daddy.......Non juste des parents extrêmement riches et généreux
Baito / Fonction : Mannequin à l'occasion
Logement : Sur le campus si disponible sinon aux alentours de Seika
Personnage de l'avatar ? Fanart d'Ariana Grande gribouillé par moi
Keep a secret ?
S'est fait refaire le visage afin de correspondre à son « idéal » de la femme parfaite
Si on te dit "TheWatcher" tu réponds?
A fuir comme la peste. Hors de question de s'approcher d'un tel fouineur
En apparence je suis ...
Nadeshiko = Terme évoquant l'idéalisation de la femme Japonaise. La Nadeshiko est dotée, d'une pureté, d'une grâce et d'une beauté à couper le souffle.
Des cheveux noirs soyeux, soigneusement entretenus cela va s'en dire, viennent encadrer un visage à l’ovale parfait. Un charmant sourire, qui ne monte pas jusqu'à ses yeux marrons en amande, semble vissé sur sa frimousse. Sakurako bénéficie d'une peau de bébé n'ayant besoin d'aucun renfort de maquillage. Des mensurations parfaites s''ajoutent au portrait de cette moderne Nadeshiko.
La jeune femme au physique de rêve, peut se vanter de son mètre 70 . Cela fait d'elle un mannequin très convoité. Un style branché mais classe accompagne sa démarche altière. N'allez pas croire qu'elle a pour autant l'air hautain, bien au contraire. Son apparente innocence lui confère un air candide absolument délicieux.
Mais tout cela ne manquerait-il pas un peu de naturel ? Certainement pas. Tout a été scrupuleusement calculé pour que le rendu harmonieux laisse penser que la demoiselle a gagné le gros lot à la loterie génétique.
Et à l'intérieur ...
Aux yeux des autres, la jeune femme est un modèle d'altruisme et de générosité. Vous venez de vous laver les mains et vous avez oublié votre mouchoir ? Sakurako se fera un plaisir de vous prêter un des siens- qu'elle a elle même brodé cela s'entend.
Parfaitement studieuse, elle compte parmi les premiers de sa section. Vous n'avez malencontreusement pas pu prendre de notes pendant un cours ? La jeune femme vous tendra gentiment les siennes parfaitement claires et soignées.
Jamais un mot plus haut que l'autre, elle est tantôt médiatrice, une oreille attentive ou une conseillère passionnée.
Allez donc faire un tour du coté du fan club lycéen de Sakurako, si vous n’êtes toujours pas convaincus.
Au lycée la jeune femme était respectée et admirée pour son humilité. Vous ne l'auriez jamais entendue se vanter publiquement de ses nombreux mérites. Présidente du conseil des élèves, bénévole à la soupe populaire, membre non officiel de plusieurs clubs comme celui destiné au soutien scolaire et j'en passe.
Vous l'aurez compris, la demoiselle est tout bonnement parfaite en toutes circonstances. N'espérez pas la rencontrer un samedi matin toute décoiffée et affublée d'un jogging informe. On est pas dans Switch Girl. Les cheveux et les tenues de Sakurako sont toujours impeccables, de même que son comportement. Et oui, il n'existe point de repos pour une parfaite Nadeshiko.
Vous vous dites sûrement que quelqu'un d'aussi parfait ne peux pas exister. Et vous avez bien raison.
En réalité, Sakurako est bien loin d’être aussi parfaite qu'elle laisse paraître. Seul ses parents et amis d'enfance connaissent tout de son coté égoïste et capricieux. Bien qu'il auraient presque tendance à l'oublier devant cette parfaite mascarade publique. Pourtant, la belle se laisse parfois aller à sa vrai nature en compagnie du peu de personne au courant histoire de ne pas exploser par accident en société.
Pour une fille de base sans filtre c'est assez difficile de se corriger et jouer un rôle en permanence. Imaginez à quel point c'est fatiguant de commander une vingtaine de mouchoirs brodés à une couturière émérite vivant à l'autre bout de la ville ! Pensez un peu à tout l'argent que Sakurako a perdu en prêtant ses notes plutôt que de les vendre. Et ne parlons même pas de toutes ses heures perdues en bénévolats alors qu'elle rêvait de s'affaler sur son canapé devant des dramas romantiques.
Mais le jeu en vaut largement la chandelle. La sournoise Sakurako est enfin adulée et enviée de tous. Si le prix à payer pour être sous les feux des projecteurs et de cacher ses sarcasmes sous des sourires factices, croyez moi, ce n'est pas si cher payé.
Cependant, le fait qu'elle cache sa vrai personnalité est en quelque sorte un deuxième secret qu'elle a peur de voir dévoilé. La demoiselle a donc, bien l'intention de se tenir loin de ce charognard de The Watcher afin de protéger sa popularité durement acquise.
Once upon a time ...
Shanghai: Naissance et enfance
Par un froid et vigoureux hiver, Cheng Yi Fei et son épouse Kanako Fei, accueillir la naissance d'une petite poupée : Sakurako Fei. Ils avaient attendu cet heureux événement depuis près de trois ans. Bien que leurs chances d'avoir un enfant étaient minces, le couple n'avait pas perdu espoir. Leur attente avait fini par être récompensée. Leur petite Sakurako était donc un vrai miracle à leurs yeux.
Enfant unique, Sakurako fut gâtée et chérie de ses parents fortunés. Le père avait judicieusement investit dans la fabrication de porcelaine de Chine qu'il vendait dans de nombreux établissements du monde entier. Ses affaires étaient florissantes. Cheng Yi avait rencontré son épouse au cours d'un voyage d'affaire au Japon. La mère, d'origine japonaise, avait tout quitté par amour pour prendre un nouveau départ à Shanghai. Elle était désormais femme au foyer.
Avec des parents si soucieux de son bien être, la petite avait vraisemblablement tout pour être heureuse ou presque. Elle était malheureusement dotée de ce que les plus mesquins qualifieront comme un physique ingrat. Très jeune, elle se traînait déjà une carcasse trop grande et peu harmonieuse du à son manque de formes. Un visage asymétrique à l'ossature pointue ajoutait la touche finale à ce charmant portrait.
Cela n'empêcha pas Sakurako de développer une bonne confiance en elle, une certaine exubérance et un esprit des plus sarcastiques. Elle était encore à l'age innocent où le physique n'est pas source de moquerie. Ses géniteurs encouragèrent volontiers les manières un poil trop libres de la demoiselle. Qui aurait cru que cela puisse un jour lui porter préjudice ?
Encore une fois, son égoïsme et ses caprices furent alimentés par le laxisme de ses parents. Personne ne lui interdisait quoi que ce soit. Elle avait la liberté de dire tout ce qui lui passait par la tête. Comment faire comprendre à une gamine, n'ayant qu'à claquer des doigts pour recevoir une licorne, que tout ne lui était pas du ?
Ses amis enviaient sa richesse et faisaient tout pour rentrer dans ses bonnes grâces. Ils jouaient d'hypocrisie pour nourrir l’ego du capricieux paon. Sakurako aimait se sentir importante et qu'on la flatte. Elle avait l'habitude d’être au centre de l'attention et que rien ne lui résiste.
Le royaume de la petite princesse s’effondra néanmoins tel un château de cartes lors de sa quinzième année.
Shanghai : Émois collégiens
Au cours de sa dernière année de collège, Sakurako connu sa première « défaite ». Elle rencontra une rivale de taille en la personne de Dong Ta Hua. Ta Hua était ce que l’on pouvait considéré comme une parfaite Nadeshiko au naturel. L’adolescente avait tout pour elle et les gens gravitaient naturellement autour d’elle. Ils étaient semblables à des papillons attirés par une flamme. Ta Hua n’avait nullement besoin d’étaler sa richesse pour se faire apprécier, elle.
Bien que frustrée, notre petite princesse essaya de ne pas trop y prêter attention. Elle était toujours populaire auprès de son petit groupe et c’était tout ce qui comptait. Tant que sa rivale ne tentait pas de faire éclater sa bulle dorée, les deux pourraient coexister. Loin de Ta Hua l’idée d’essayer de marcher sur ses plates-bandes de Sakurako.
Ce fragile équilibre fut néanmoins brisé par l’arrivée, en cours d’année, du beau gosse de service : Aaron Cheng. Pour Sakurako ce fut le coup de foudre. A peine avait-il franchi le seuil de la salle de classe que la demoiselle était tombée sous son charme. Comment pourriez-vous résister à cet air de bad boy de pacotille, ces cheveux châtain filasses et décolorés et ce blouson en cuir digne d'une parodie de Grease?
Au cours des semaines suivant l’arrivée d’Aaron, Sakurako n’eut de cesse de trouver des moyens pour se rapprocher de lui. Le jeune homme, un peu surpris, accueillit cet empressement avec une certaine réserve. Le pensant timide, l’égoïste princesse ne se laissa pas démonter et se rapprocha de lui petit à petit. N’ayant pas l’habitude qu’on lui résiste, elle n’imaginait pas un instant qu’il puisse avoir d’yeux pour une autre.
Et pourtant… Le pauvre Aaron avait jeté son dévolu sur la discrète et délicate Ta Hua. Et oui, sans le savoir miss perfection faisait encore des siennes. Le jeune homme avait tout de suite été attiré par le charme et la maturité se dégageant de cette dernière. Il appréciait grandement Sakurako en tant qu’amie mais n’arrivait pas à la trouver attirante. Le fait qu’elle soit légèrement plus grande que lui ne jouait pas en sa faveur. Il la trouvait aussi un poil trop extravertie à son goût.
Face à la popularité grandissante du garçon, Sakurako rassembla son courage pour se déclarer. Elle lui laissa un mot dans son casier lui demandant de la rejoindre en salle de classe après les cours. Surpris de cette initiative et ne s’attendant pas le moins du monde à ce qui lui pendait au nez, le naïf Aaron se rendit tranquillement au rendez-vous. Il y retrouva une Sakurako dont le visage rivalisait avec la couleur coquelicot de son ruban d’uniforme.
Après maintes hésitations et autres bafouillages embarrassants, la demoiselle réussit à exprimer ses sentiments. Le jeune homme resta un moment interdit face à cette déclaration. Cherchant ses mots, il préféra jouer la carte de l’honnêteté. Il lui expliqua qu’elle était pour lui une amie importante mais qu’il était déjà amoureux d’une autre.
Sakurako, malgré son cœur meurtri, n’hésita pas à demander le nom de celle qui lui avait ravi cette place tant convoitée dans le cœur d’Aaron. L’air rêveur et le sourire mièvre du jeune homme au moment où il prononça le nom de Ta Hua furent semblables à des épines se plantant dans son cœur à vif. Sa haine envers sa rivale n’en fut que plus décuplée.
Aaron lui porta le coup de grâce en lui énonçant les multiples qualités de la belle. Sans le savoir, il les comparaient et blessait un peu plus l’estime de Sakurako.
Humiliée et profondément triste, Sakurako s’enfuit de la pièce en pleurs. Aaron passablement hébété n’eut pas le temps de la rattraper. En cet instant il ne se doutait pas qu’il la voyait pour la dernière fois.
La jeune fille rentra chez elle telle une furie. Elle se précipita dans sa chambre et brisa tous les miroirs à proximité. Elle ne supportait plus de voir son reflet. Pour la première fois, elle prit vraiment conscience de toutes ses imperfections. Jamais avant aujourd’hui elle n’avait autant détesté ses yeux de fouines trop enfoncés, son nez écrasé telle une patate ou sa bouche légèrement tordue. Même sa grande taille dont elle était autrefois fière devint l’objet d’un complexe.
Ses parents inquiets de la voir dans un tel état essayèrent de comprendre la situation mais Sakurako resta résolument muette. Pendant trois jours, elle ne parla ni ne mangea ou ne dormit. Son cerveau réfléchissait à plein régime. Elle tenta d’analyser point par point ce qui la séparait de la détestable Ta Hua. Elle en arriva à la conclusion erronée que pour pouvoir trouver l’amour et retrouver confiance en elle, elle devait changer sa personnalité et son physique.
Sakurako décida qu’elle serait encore plus parfaite que Ta Hua. Sa beauté et son comportement seraient inégalables. Ses parents lui apportèrent tout le soutien dont elle avait besoin. Ils ne regardèrent pas à la dépense et prirent rendez-vous avec un célèbre chirurgien plastique européen. Toutes les opérations se passèrent dans le plus grand secret. Le résultat était si parfait que le bon docteur dut être grassement payé pour éviter qu’il ne se vante de sa plus belle opération.
Grâce à ce nouveau physique, la belle reprit instantanément du poil de la bête. Pour qu’elle soit parfaitement heureuse, ses parents n’hésitèrent pas à déménager à Hong Kong pour qu’elle puisse prendre un nouveau départ dans l’anonymat.
Hongkong : Vie lycéenne
Sakurako se sentit de suite dans son élément à Hong Kong. Dès ses premiers jours au lycée elle devint la coqueluche de ses camarades de classe. Les garçons admiraient ses courbes et rêvaient de lui faire des choses pas très catholiques. Les filles au lieu de se montrer jalouses- enfin certaines ne pouvaient s’en empêcher- la prenait pour modèle et tentaient de lui ressembler.
La jeune femme mit un point d’honneur à ne faire aucun faux pas pendant toute sa scolarité. Elle s’engagea corps et âmes dans diverses activités pour lesquelles elle n’avait, il faut bien l’avouer, aucun intérêt. Un fan club fut même créer en son honneur. La narcissique Sakurako était aux anges.
Elle avait enfin la vie dont elle avait toujours rêvé. Ses efforts avaient été payants et elle pouvait jouir des fruits d’un labeur quotidien. Quand elle se sentait fatiguée de jouer un rôle elle se défoulait en jouant à un jeu vidéo ou devant un bon film. La meilleure des motivations restait tout de même cette reconnaissance de la part de ses pairs.
Un événement inattendu vint cependant bouleverser sa quiétude lors de sa dernière année de lycée. Les filles de sa classe avaient organisé une rencontre avec les garçons du lycée Xin Pu réputé pour ses canons de beauté. Sakurako avait cédé sous l’insistance de ses camarades et les avaient accompagnés.
La jeune femme eut la désagréable surprise de tomber sur un type bien lourd. Pour couronner le tout, ce dernier se trouvait être le cousin d’Aaron Cheng, son béguin du collège. Aaron avait raconté toute l’embarrassante histoire à son cousin et lui avait montré des photos de l’époque. Le cousin fit le rapprochement à cause du nom qui ne lui été pas inconnu. Il fut néanmoins surpris par la métamorphose de la jeune femme.
Bien qu’il ne fût pas une lumière, il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre ce qui s’était passé au vu de l’embarras grandissant de la belle. Sakurako prétexta une urgence pour fuir les lieux avant que son secret ne soit dévoilé.
Même en changeant de ville, on avait réussi à la percer à jour. Sakurako comprit que son secret ne serait jamais à l’abri en Chine. Elle décida de changer de pays et de mettre le cap sur le pays d’origine de sa mère. Bien que triste de se séparer de leur enfant chérie, les Fei la soutinrent dans ses projets . Ils l’auraient bien accompagnée, mais les affaires du père les retenaient en Chine.
Ils n’hésitèrent pas à mettre la main au portefeuille afin que Sakurako soit admise dans l’université d'élite de son choix : Seika. Elle étudierait là-bas en section journalisme. La jeune femme avait pour ambition de travailler à la télé. Elle pourrait ainsi briller et être adulée, de tous. Enfin ces motifs bien peu louables resteraient secrets. Elle trouverait bien une autre raison, un peu plus sérieuse, à son plan de carrière en temps voulu.
Le joueur
Prénom / Pseudo : Hélèni
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As-tu bien lu le règlement ? Bien sur j'en ai même profité pour siroter un jus de
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