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 Naoya Natsume

AnonymousInvitéInvité
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MessageSujet: Naoya Natsume   Naoya Natsume Empty29.10.13 0:38
Natsume Naoya
 
 Nom : Natsume
 Prénom : Naoya
 Age : 27

 Nationalité : Japonaise
 Orientation sexuelle :  I’m into plush toys, baby.  Tant que vous savez faire des peluches, vous pouvez tout aussi bien être asexuel que ça ne poserai pas de problème…
 Groupe : I'm working here ♥.


 Situation financière : Riche.
 Poste : Professeur de japonais. Et est-ce que je peux aussi être le professeur titulaire du club de théâtre ?
 Logement :  Appartement dans Shibuya.

Personnage de l'avatar ? Märchen von Friedhof - Sound Horizon

Keep a secret ?  Il est l’heureux possesseur d’une collection de peluches. Privée.

En apparence je suis ...

Dans le coin de la pièce se trouvait une peluche à l’œil de cristal. Dans celui-ci se reflétait la silhouette d'un homme, baignant dans la lumière ambiante et semblant se rapprocher de la peluche. Celui-ci, au beau milieu d'une routine quotidienne est porteur d'un vieux vêtement aristocratique, de style européen, même si il lui arrive aussi suivent d'être vêtu d'habits traditionnels japonais, ne portant qu’occasionnellement des vêtements plus représentatifs de la société actuelle.

Alors que l'homme continue à s’approcher, il devient possible, du fait de l'ameublement de la pièce, de s'apercevoir qu'il est légèrement plus imposant que le japonais de base, faisant cinq centimètres de plus que la moyenne nationale. Cependant, les traits se profilant ne laissent aucun doute quand à ses origines japonaise, tout comme le noir de ses longs cheveux qui lui voilent la face alors qu'il se penchait, n'étant pas encore attachés.

Son visage se rapproche de l’œil de la peluche permet de mieux distinguer ses traits et de se rendre compte de son âge, étant dans la vingtaine mais en dessous de la trentaine. Un reflet brun clair apparait soudainement dans le cristal alors que le frêle corps de la peluche est soulevé d'une main experte. Celui-ci appartient aux yeux de l'homme, s'accordant avec le teint pâle de sa peau.

Sa voix retentit, semblant lancée dans le vide, mais s'adressant au corps inanimé de la peluche et, alors que bougent les lèvres se reflétant dans les yeux de celle-ci, une voix grave emplit la pièce, avant d'être modelée, doucement, en un son plus cristallin, correspondant bien mieux à la poésie que l'homme déclamait en la regardant. Puis, un son brisa cette mélodie: une sonnette. Reposée précipitamment là ou elle était, la peluche vit la pièce se plonger dans le noir complet alors qu'un bruit de serrure que l'on ferme pouvait, péniblement, se faire entendre.

Et à l'intérieur ...

En tant que membre du personnel de Seika, Naoya se doit avant tout de tenir un rôle de professeur vis-à-vis de ses élèves, donc d'essayer de les faire progresser et les conseiller. Néanmoins, plutôt que de vouloir monter ses élèves au niveau attendu par le gouvernement, il est fermement décidé de ne pas instaurer de telles barrières et veut permettre à ceux-ci d'atteindre le plus haut niveau possible, qu'ils pensent en avoir les moyens ou non. De fait, Naoya a tendance à être à la fois strict et sévère lorsqu'il est face au fruit du travail d'un élève, en sortant les points positifs mais également chaque aspect du travail qui pourrait être amélioré et de quelle façon. Les copies sont donc notées de cette manière, présentant tout particulièrement le niveau de l'élève sous forme du cycle d'enseignement ou ce niveau serait attendu, espérant (vainement?) pouvoir monter jusqu'à un niveau post-universitaire dans l'étalage des notes.

Néanmoins, lorsqu'il s'agit de littérature, de l'utilisation de la langue ou tout simplement du bagage culturel nécessaire à la maîtrise du japonais, il a tendance à reporter cette exigence sur lui-même, ne serait-ce que par désir de pleinement guider ses élèves mais également par passion. Car si Naoya s'est lancé dans l'enseignement du japonais, c'est qu'il est avant tout passionné. Passionné par son pays, sa culture et sa langue au point de non seulement plonger dans la littérature classique, mais tenter une approche et une vision globale de la "culture otaku" qui ne peut qu'apparaître comme composante de la culture de son cher pays. Cependant, il est également passionné par une autre chose, ayant pris une place toute aussi importante dans sa vie, mais secrète.

En effet, cet adulte approchant de la trentaine adore les peluches. Mais pas d'un simple amour, non. De manière obsessionnelle. Pour une raison qu'il n'arrive pas à saisir pleinement (à part pour la beauté des peluches), il est fasciné par celles-ci et s'est mis à les collectionner, irrésistiblement. Même si il a conscience que cela peut vraiment sembler étrange et qu'il s’efforce d'en garder le secret, il ne peut pas résister à son envie d'en acquérir. Ce qui m'amène à un important défaut de Naoya.

Il a d'énormes difficultés à ne pas céder à la gourmandise lorsqu'on le met devant un plat délicieux. Ou tout simplement tout autre objet aussi attirant, se précipitant pour dévorer le malheureux livre vers lequel s'est dirigé son désir. On put également ajouter qu'il a tendance à être susceptible et donc aisément provoqué, voir blessé même s'il aura tendance à le cacher, sans en laisser une trace en maîtrisant son intonation et sa posture, ce qu'il a appris en participant à des débats dans le cadre de ses études universitaires.

Once upon a time ...

La naissance. Elle est commune à chaque être humain mais pourtant, différente pour chacun d'entre eux dévoile les traits de leur avenir, et fixe à la fois ce qu'ils sont et les attentes portées envers eux. C'est à travers notre venue au monde que l'on est pour la première fois défini en celui-ci. Naoya Natsume fut défini tel que le second fils d'une famille dont la richesse fût faite du fait de faits d'armes sous le shogunat; une famille emplie de noblesse et de traditions qui n'avait que peu d'attente de celui qui n'était pas leur héritier, ne l'obligeant ni à adopter les arts martiaux ni à viser l'excellence, pouvant rester dans l'ombre de son frère, véritable soleil de la maison.

Néanmoins, l’enfant se construit à travers les autres et à tendance à trouver un modèle dans son entourage et c’est tout naturellement que le jeune Naoya se mit à poursuivre ainsi l’idéal que représentait pour lui son frère, s’imposant de lui-même les exigences qui était demandées à celui-ci, même si nul ne l’y obligeait. C’est ainsi qu’il se forgea une volonté de réussir ses études sans toutefois savoir vers quoi se diriger. Du fait de son environnement, il s’intéressa néanmoins à la culture japonaise, et la société dans laquelle il évoluait, s’imprégnant des traditions au milieu desquelles il grandissait et se construisait.

C’est après son entrée dans l’un des collèges privés de Fukuoka qu’il prit le goût de la littérature et de la langue japonaise : grâce à ses professeurs et à la lecture des œuvres de Daizai. Se plongeant de plus en profondément dans les livres plus ou moins classiques de la littérature de son pays, le jeune adolescent appris à aimer poésie, théâtre, romans, et à s’ouvrir sur les évolutions culturelles de son pays, à travers les époques et la société japonaise elle-même. C’est à ce moment-là qu’il décida de consacrer son futur à ce domaine.

Suivant sa propre voie il s’imposa la rigueur et l’exigence qu’il avait acquis en suivant les pas de son frère, essayant de briller dans son domaine et, avec difficulté, entreprit de maîtriser sa langue, sa complexité et ses nuances dans le but de pouvoir réellement comprendre ce monde qu’il côtoyait et qui s’ouvrait devant lui avec, principalement la littérature japonaise. Celle-ci, mystérieuse l’attira toujours plus intensément, jusqu’à son entrée au lycée où il découvrit, par hasard une nouvelle passion dans son existence. Les peluches : étant membre d’un club de haïku  dans son lycée, il se vit contraint d’écrire un poème sur les peluches, le président ayant une passion pour des thèmes particuliers et déstabilisants.

Face à un tel sujet, lui qui n’avait jamais eu le plaisir de côtoyer de tels objets fût contraint de s’en procurer quelques exemplaires, pour les étudier et développa à partir d’ici une étrange fascination pour cet objet. Ses sentiments à ce sujet furent tellement forts qu’il ne réussit jamais à écrire ce poème, ne pouvant ni choisir un aspect à traiter ni comprendre les fondements de cette perfection, et décida de travailler à la publication d’un recueil de poèmes sur les peluches, sans toutefois avoir le courage de révéler aux autres son péché mignon. Il continua donc dans sa voie littéraire, au point de rentrer dans le département de langage et littérature japonaise de la faculté de lettres de Todai.

Ses années de faculté furent marqué, non seulement par des professeurs intéressants et passionnés qui renforcèrent son désir de poursuivre dans cette voie mais également par une importante implication dans la vie étudiante, rejoignant plusieurs cercles universitaire: théâtre, débat et écriture de nouvelles. Ces années universitaires furent les plus amusantes de sa vie et il y reçu le support de ses parents, pour survivre, dont il a encore conservé un coquette somme. Il y prit son indépendance et puisa dans cette réserve d'argent pour financer sa collection de peluches.

Il finit sont cursus universitaire en passant un doctorat de littérature, sur l'indicible dans la poésie avant de poursuivre en tentant la voie de la recherche. Il passa deux ans à travailler sur un sujet de recherche mettant en lien 'langage' et 'écriture' avant de s’apercevoir que ce n'était pas cela qui lui tenait le plus à cœur mais les quelques heures d'enseignement qu'il procurait en tant que chercheur. Il décida ensuite qu’il était plus important de former la nouvelle génération à un niveau pré-universitaire pour qu’ils aient les bases nécessaire à la compréhension et à la maîtrise de la langue japonaise et de ses auteurs, afin de pouvoir continuer dans cette voie sans soucis pour el reste de leurs études. C’est ainsi qu’il se retrouva à Seika.

Le joueur
Prénom / Pseudo : Si tu veux le savoir, donne-moi des cailloux ! *bâve*
Age : 18
Ancien ou nouveau ? Qu'est-ce que je suis supposé mettre là ?
Comment avez-vous connu le forum ? Grâce à mes relations géniales.
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Naoya Natsume
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