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 Aya | Finie~

AnonymousInvitéInvité
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MessageSujet: Aya | Finie~   Aya | Finie~ Empty02.09.14 18:52
AYAME MEISHI
 
 Nom : Meishi.
 Prénom : Ayame, mais plus communément appelée Aya.
 Age : 29 ans.

 Nationalité : Japonaise.
 Orientation sexuelle : Bisexuelle tendance lesbienne.


 Groupe : I'm working here ♥.


 Situation financière : Aisée.
 Poste : Directrice adjointe.
 Logement : Dans les alentours de l'école - Appartement, seule.

Personnage de l'avatar ? Zero de Drag-on Dragoon.

Keep a secret ? Terrifiée par les orages.

En apparence je suis ...
Pas très petite, pas très fine ni très enveloppée non plus ; une taille moyenne (pas loin d'1m80 en comptant les 10 cm de talons) un poids moyen (on ne demande pas le poids d'une femme...). En somme une femme d'apparence banale, comme l'on en croise à tous les coins de rue. Mais cette brève description ne saurait rendre justice à ta petite personne. Aux épais cheveux décolorés que tu portes en cascade jusqu'au bas du dos, parfois détachés, parfois tressés pour plus de commodité. Sans oublier cette petite mèche qui barre presque entièrement le côté droit de ton visage, du côté opposé de ton front jusqu'à ta joue, en diagonale, et que tu coinces derrière ton oreille pour la maintenir en place. Une longue chevelure auparavant châtaine puis blond délavé, désormais abîmée par les trop nombreuses décolorations, ce qui te vaut de longues heures d'attente chez le coiffeur... Au moins cette nuance de blanc s'accorde parfaitement avec ton teint pâle, réfractaire à la bronzette que tu es. Une taille marquée mais sans plus, des jambes joliment galbées, de petits seins haut perchés souvent exhibés à la vue de tous dans de profonds décolletés. A peu près le seul atout que tu mets en valeur – la mode, c'est tellement pas ton truc. On peut également remarquer de fines cicatrices ici et là, parcourant ta peau diaphane comme de minuscules fils dans le dos principalement, mais aussi le long de tes bras et de tes mollets. Souvenirs d'une enfance agitée, une chute mal contrôlée après avoir grimpé à un arbre, les ronces qui déchirent ton pantalon et griffent tes jambes. Sans compter cette dent brisée nette que tu as dû aller faire réparer... Et ton œil, ton œil droit perdu à tout jamais, dissimulé par ta mèche désormais. Parfois lorsque tu t'observes dans le miroir tu en viens à regretter d'être aussi téméraire – et puis ce sentiment s'envole presque tout de suite. Le mieux que tu puisses faire dorénavant, le cacher et puis ne plus y penser. Te concentrer sur l'autre, qui possède une si jolie teinte après tout. Du caramel sur le point de brûler, un marron subtilement ambré, qui transmet tout à fait cet état d'esprit. Un miroir renvoyant l'image d'une femme forte, d'une ironie sans nom et d'un caractère tout aussi mauvais que tes mains sont délicates. Ou même tout le reste de ton corps ; structure osseuse qui semble presque fragile. Une petite poupée de porcelaine toute vêtue d'habits raffinés et de bon goût, dans des tons plutôt clairs afin de rester en adéquation avec le reste. Pourquoi se priver de la qualité, quand on a les moyens de se l'offrir.

Mais malgré la détermination moqueuse qui traîne au fond de ton iris, tu gardes toujours une apparence des plus soignées, toujours tirée à quatre épingles comme on dit. Calme, une expression sereine sur le visage et les membres bien détendus. Avec un petit sourire affable étirant tes lèvres colorées de rouge, en prime. Enfin, affable jusqu'à ce que tu ne t'énerves... Mais tu évites, parce que se foutre en colère ou faire la gueule ça donne des rides. Bah quoi, t'es plus toute jeune et toute pimpante non plus...

Et à l'intérieur ...
Ambitieuse. Ça, c'est rien de le dire. Tu ne te laisses pas marcher sur les pieds. Tu sais ce que tu veux, et tu le veux tout de suite de préférence. Ambitieuse et intraitable, car les deux vont de pair. Le doute tu ne connais pas, tu ne te remets jamais en cause même. Tu dois prendre des décisions, et tu les prends vite. Si certains ne sont pas contents, ils n'ont qu'à... la fermer, grogner dans leur coin ? Ce n'est pas comme si tu te souciais de leur avis après tout. Et s'ils osent te contredire... à leurs risques et périls. Tu sais te montrer très vicieuse parfois, un vrai petit démon. Pauvres « eux ». Ils ne voient en toi qu'une petite chose fragile, une demoiselle en détresse uniquement destinée à se faire sauver. Un truc que tu aimes pas, ça... L'idée de se faire entretenir par un homme juste parce qu'il a un chromosome Y et pas toi t'est insupportable. Non, tu ne cesses de vouloir imiter ta mère pour cela ; froidement brillante, autoritaire et portant la culotte dans son couple. Ton père et ton frère n'avaient qu'à bien se tenir. Parlons de ce dernier justement... Tu lui voues une haine immense, intense, une colère sans nom. Chaque réunion de famille devient la proie de querelles incessantes entre vous deux, un moment de pure tension montrant toute l'étendue de ton sarcasme et de ton ironie. Très gênant – pour eux, pas pour toi. Pas très curieuse, en général tu te contentes d'exiger un minimum d'explications avant d'agir. Ce qui fait fuir d'éventuel(le)s amant(e)s (pour une nuit, pas plus, faut pas rêver) ou même de simples amis... Ils préfèrent fuir plutôt que t'affronter. Réaction normale après tout. Mais cela ne te dérange pas, tu es une solitaire. A un point que tu détestes te faire dévisager ou te faire toucher sans raison, les tentatives de séduction n'en parlons pas, tu leur rirais au nez. Malgré tout cela tu restes le plus souvent calme et sereine -ou du moins, tu essayes-, détendue comme si tu n'étais pas affectée par la conversation en cours. Ah et, patiente, ne l'oublions pas. Si tu pètes les plombs c'est pour une bonne raison, pas toujours évidente certes. Ouais, une véritable petite poupée fragile et délicate... jusqu'à ce que tu ouvres la bouche.

Tu n'aimes pas beaucoup de choses, ou du moins tu ne partages ça avec personne. La franchise, tu apprécies vraiment, car tu essayes de l'être le plus souvent possible en retour. Les défis ! N'importe lequel, sur n'importe quel sujet, peu importe l'importance ou ce que ça te coûtera, tu le feras. Un petit faible pour les fleurs et plus particulièrement les roses, et même si tu es capable de t'en offrir toute seule, c'est le cadeau parfait si on veut te faire plaisir. Les autres, direction poubelle sans passer par la case départ. Un point qui te fait presque honte ; ta « légère » phobie des orages. Petite déjà tu te réfugiais dans le lit de tes parents à chaque éclair aperçu, pelotonnée sous les couvertures à trembler à chaque grondement venu du ciel...

Once upon a time ...
Son sourire, le bleu pétillant de ses iris, cet air satisfait lorsqu'il présentait ses ambitieux projets concernant ses études futures. Rien de plus exaspérant que cet adolescent –homme désormais-, ce frère détesté. Bien qu'aujourd'hui encore reste uniquement gravé dans ta mémoire le souvenir d'un grand dadais d'à peine dix-huit ans, te toisant avec cet air méprisant que tu as appris à redouter... Peu importe le nombre d'années passées alors, la situation n'a toujours pas évolué. Toujours ces mêmes chamailleries incessantes d'enfants blessés, des douces taquineries lentement métamorphosées en rancunes tenaces au fil des ans. Comment cela avait-il pu dégénérer ainsi ? Un point de départ si infime, si quelconque que personne ne s'en était aperçu avant que cela ne devienne si compliqué. Dangereux, même. Enfin, peut-être est-ce un bien grand mot pour désigner cette rivalité tendue et acharnée que vous entretenez avec soin depuis une vingtaine d'années maintenant ? Tant de temps à se détester, à se montrer aussi indécent et vicieux l'un que l'autre, et tout cela uniquement afin de recevoir l'entière attention des parents. C'en deviendrait presque maladif. Et vos parents, parlons-en ! L'une quasi-perpétuellement absente, occupée par son travail – son « deuxième mari » comme elle le dit si bien. Une avocate, et brillante d'autant plus ; une source de fierté à tes yeux surtout, et malgré qu'elle soit obnubilée par ses clients, tu sais bien qu'elle t'aime. Ne serait-ce qu'en observant ce doux prénom qu'elle a choisi à ta naissance : Ayame. « Parce que tu es si jolie et rayonnante, comme une petite fleur, ma chérie. » C'est cela oui... Mais ton avis tu l'as gardé pour toi, tu ne voulais pas blesser ton modèle d'autorité. Ta génitrice est une battante, une vraie, pas une pleurnicharde ; et tu as toujours voulu l'imiter sur ce point, quitte à avoir quelques mésaventures. Pas de place aux sentiments mielleux et et dégoulinants de guimauve au petit goût Bisounours. Tu laisses ça aux faibles – et accessoirement, à ton père. Jamais d'ailleurs tu n'as compris pourquoi ta mère, si brillante et si délicate, s'était amourachée d'un tel homme. Un homme de loin le seul à ne posséder aucun esprit de compétition dans la famille. Serveur dans un petit restaurant de la ville voisine et ce depuis des lustres, et c'est le seul fait notable de son existence. Même pas le mérite d'être un peu plus mignon que la norme, non, rien. Incompréhensible. Puis ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants, blablabla (enfin, seulement deux, et c'est déjà bien assez suffisant).

Cette enfance que vous partagiez, ton frère de deux ans ton aîné et toi, était des plus exemplaires. Élèves sérieux et appliqués, polis et peu rebelles, de parfaits rejetons en somme. A cette époque c'était la belle vie, de longues heures à s'amuser tous les deux, sagement installés dans la chambre de l'un ou de l'autre... Le rêve. Puis cette rivalité commença, un beau jour. C'était à qui ramènerait les meilleures notes malgré la différence entre vos cours, à qui se précipiterait en premier pour effectuer toutes les tâches ménagères et avoir le plus gros argent de poche pour le mois. De petits trucs sans importance, quoi. Parallèlement, ces petits gages que vous vous jetiez dans le dos des parents, pour savoir qui serait le plus courageux. Car avouer ses peurs c'est avouer que l'autre détient tous les pouvoirs sur vous, et ça tu te le refusais clairement, leçon tacite de ta mère qui t'est rentré dans le crâne sûrement. Tu le refuses toujours d'ailleurs, relevant chaque défi même aujourd'hui, avec un petit air plein d'effronterie et de suffisance. Comme avant. Quoi qu'il en soit, un beau jour où vous vous étiez rencontrés comme d'habitude après l'école derrière la maison – vous deviez avoir quoi, lui 13 ans, toi à peine 11 ? Encore tout jeunes, tout innocents. Un défi de trop, sûrement – qui te mena directement à l'hôpital. Diagnostique rapidement établi suite à cette malencontreuse chute... un œil blessé, éraflé par une pierre un peu trop pointue. Mort. S'en suit une longue période de vide émotionnel, un total blackout, uniquement perturbé par les petits bips stridents mais réguliers des machines de l'hôpital. Pas comme si tu avais réellement besoin de rester ici... C'était plus une excuse pour ne pas avoir à supporter la mine apitoyée des autres. De ta famille, de tes amis... de ton frère. Ce fut finalement lui qui finit par te tirer hors de cet hôpital moisi près de six mois après l'accident, te forçant à reprendre une vie sinon normale, plus adaptée à une fillette de même pas 12 ans.

Ainsi s'enchaînent les années suivantes, monotones, presque uniquement rythmée par de violentes disputes avec ton « sauveur », comme il se plaît à te le rappeler chaque jour. Le retard accumulé pendant l'hospitalisation a été tel qu'il avait bien vite été décidé de reprendre une nouvelle année de cours l'année suivante, creusant un peu plus encore le fossé avec lui. Cependant le reste de tes études se passe presque aussi bien, malgré que tu sois relativement plus secrète et renfermée, presque muette parfois. Blasée. Et Lui qui te nargue sans cesse, t'obligeant à te montrer de moins en moins aimable envers lui mais aussi envers les autres, toujours plus sarcastique. Essayant de te tirer une réaction ou un sourire ? Tu aimerais bien le croire, qu'il a un bon fond malgré tout - mais non, tu préfères le haïr et lui tourner le dos. Tellement étouffée par toute cette colère monstrueuse que tu ne te préoccupes que de lui, et de personne d'autre. Pas d'amies qui pourraient craquer sur cet idiot de première classe et venir te demander une "autorisation" ou quoi que ce soit d'autre. Pas de compagnons de classe avec leurs sourires niais au possible... Ah si, une fois, vers tes 16 ans il y en a bien eu un qui a tenté de te faire sa déclaration. Tu revois encore son sourire timide et ses grands yeux remplis d'espoir se ternir face à ton air dédaigneux... Et tu es partie comme ça, sans un mot. L'ignorant purement et simplement. Le pauvre, il attend encore sûrement ta réponse pourtant évidente. Quoi qu'il en soit, tu obtiens tes diplômes avec succès, sans autres accidents notables heureusement. Ton choix de carrière ? Le droit, bien entendu, et dans une université le plus loin possible d'eux. Tu veux ressembler le plus possible à ta génitrice et réussir comme elle - parce que les deux hommes de la famille, ce sont des bons à rien. Cependant tu peines à terminer ton année, les disciplines proposées ne te plaisent pas. Alors tu commences à sortir avec certaines personnes qui comme toi ont totalement décroché. Loin de ton frère tu es plus relaxée, plus détendue et presque souriante. Et ça doit plaire puisque les coups d'un soir s'enchaînent dans ton lit, une dizaine d'hommes et autant si ce n'est plus de femmes après un énième pari. Des relations brèves, débridées, intenses mais sans plus. Hors de question de se revoir un jour, tu y mets un point d'honneur.

29 ans, bientôt 30. Les années défilent avec une telle vitesse, quand on y pense... Fillette malicieuse, adolescente rongée par une vengeance meurtrière, adulte blasée mais plus agréable malgré tout. Assagie, sûrement - non, tu as tout simplement grandi. Un diplôme de gestion en poche sur les conseils -les ordres- de ta mère qui a finalement décidé de gérer ta vie à ta place, pour s'assurer que tu aies un bon boulot « plus tard ». Qu'est-ce que tu ferais sans elle... Tu lui es éternellement redevable, et elle le sait. Quelques notions de psychologie par là, sans oublier des stages intensifs avec une amie de la famille infirmière. Rien de quoi te donner un quelconque titre, mais assez pour que tu saches te débrouiller dans n'importe quelle situation en cas d'urgence. Elle a réussi par dieu sait quels moyens à t'offrir cette formation des plus complètes, te dégoter un poste de directrice adjointe -certainement grâce à ses relations- dans une école prestigieuse... Une raison de plus de l'admirer éperdument. Et surtout, ne pas la décevoir - un but que tu défends encore et encore avec ferveur.

Le joueur
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as tu bien lu le règlement ? OK --Saitô
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Ludwig AckermannLudwig AckermannHaunted by Nightmares...
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MessageSujet: Re: Aya | Finie~   Aya | Finie~ Empty27.09.14 13:51
Hello!
Premièrement, je m'excuse platement du retard pris, je m'occupe donc de la pré-validation de ta fiche.

Alors tout est bon, à quelques détails près...

Alors déjà ton secret, peur de l'orage, je suis un peu mitigé parce que je peux pas franchement dire que ça a quelque chose de franchement dérangeant pour ton personnage, mais vue de son caractère cela peut se justifier.
Dans n'importe quel cas, tu n'en parle de toute façon pas dans ton histoire d'après ce que je l'ai (a moins que tu le sous-entends dans la partie où elle a 11 ans, mais dans ce cas il faudrait plus de détails)

Il y a des fautes minimes mais rien de bien grave, je te rassure.

Je laisse donc quelqu'un passer derrière (au cas où) et donc faire les modifications nécessaire.
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MessageSujet: Re: Aya | Finie~   Aya | Finie~ Empty30.09.14 15:36
Bonjour Aya et bienvenue !

Des nouvelles à propos de ta fiche ?

Comme l'a dit Lud, il serait bien que la partie "secret" soit au moins étoffée si tu veux garder celui-ci : quel influence cela a sur sa vie ? Comment elle le gère ? Pourquoi est-ce un secret ?

Merci de nous indiquer quand ces modifications seront effectuées Wink
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MessageSujet: Re: Aya | Finie~   Aya | Finie~ Empty06.11.14 10:37
Bonjour Aya,

Nous n'avons pas de nouvelle de ta fiche depuis le 27 septembre, pourrais-tu nous indiquer si les modifications ont été effectuées (ou si tu comptes le faire) ?

Dans la négative, ta fiche sera classée dans les fiches rejetées ce samedi 15 novembre. Tu auras la possibilité de la récupérer en m'envoyant un mp Wink

En espérant te revoir bientôt !
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Keiko KiyoshiKeiko KiyoshiStar ★
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MessageSujet: Re: Aya | Finie~   Aya | Finie~ Empty15.11.14 9:26

Suite au message précédent, ta fiche est déplacée dans la partie "Fiches rejetées et Personnages supprimés". Tu pourras la récupérer en m'envoyant un mp Wink

Si nous n'avons aucune nouvelle d'ici le 29 novembre 2014, ton compte sera supprimé lors du recensement.

Bonne journée.
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MessageSujet: Re: Aya | Finie~   Aya | Finie~ Empty
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