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 Saaya Yosano - What doesn't kill you...

AnonymousInvitéInvité
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MessageSujet: Saaya Yosano - What doesn't kill you...   Saaya Yosano - What doesn't kill you... Empty30.06.14 13:20
SAAYA YOSANO

  Nom : Yosano
  Prénom : Saaya
 Age : 18 ans, bien qu'elle en fasse plus.

 Nationalité : Japonaise
 Orientation sexuelle : Heterosexuelle... paraît-il.

 Groupe : Fury is power / Life is Art / Why So Serious. Your choice.

 Classe : 3ème
 Club : Arts plastiques
 Situation financière : Riche. Enfin, sa mère l'est et lui donne un coup de pouce.
 Baito / Fonction : Elle expose et vend ses peintures dans une petite galerie d'art.
Logement : Pensionnaire

Personnage de l'avatar ? Naruto - Tayuya

Keep a secret ? N'essayez même pas de faire chanter Saaya ; elle est la fille la plus ouverte du monde et vous dira sans aucune honte qu'elle préfère le cuir au satin, que la plupart de ses tableaux sont faits avec du sang et qu'elle se balade souvent avec de quoi défoncer tout une classe sur elle... durant les 5 premières minutes de votre première rencontre.

Plus sérieusement, Saaya a un secret, comme tout le monde : le fonctionnement de sa maladie. Car si elle ne cache pas qu'elle n'est pas très saine d'esprit, personne ne sait qu'elle agit comme une rebelle car sa pathologie ne lui laisse pas le choix d'agir ainsi. Briser les règles est un besoin vital pour elle.

En apparence je suis ...
Saaya est de ceux dont l'apparence se remarque assez vite. Tout dans sa manière de s'habiller et d'être attire l'attention. Rien que ses cheveux rouges captent le regard. Ses habits souvent provocants, d'influences punk et goth, trahissent ses pulsions mieux que son comportement en public ne le fait à première vue. Pâle, les yeux charbonneux lorsqu'elle ne porte pas ses lentilles rouges, elle exhibe ses cicatrices sans honte (pratique vu le peu de tissu que constitue ses vêtements). En plus des quelques piercings qu'elle porte de temps en temps, elle s'est fait tatouer une nuée de papillons noires le long de sa colonne vertebrale jusqu'à son omoplate droite. Pour compléter cette apparence envoûtante et glauque, Saaya possède une gestuelle vraiment étrange pour ceux qui ne la connaissent pas. Elle rit souvent toute seule, roule des yeux, se montre très démonstrative... bref, une enfant dans le corps d'une poupée en cuir. Car oui, Saaya est plus maigre que mince et ses formes s'en ressentent. Si bien que, si elle ne s'habillait pas de manière aussi féminine, il serait facile de la prendre pour un garçon un peu efféminé.

Et à l'intérieur ...
Je vais vous confier quelque chose que comprendrez bien assez tôt : Saaya est complètement cinglée. Exubérante et extrêmement tactile, elle ne possède aucune mesure dans ses gestes ni ses comportements. Pas complexée pour deux sous, elle ne cache nullement ses perversions et en parlera même si vous lui faites clairement signe que cela vous gêne. Imprévisible, elle éclate souvent de rire à n'importe quel moment ou peut s'amuser à stopper une conversation pour partir. On pourrait la croire totalement folle mais ce serait une erreur : Saaya a pleinement conscience de ses actes. Elle a juste décidé d'assumer ses défaillances et d'embrasser pleinement la folie qui la consume.

A cause de sa maladie, Saaya éprouve un besoin pathologie d'enfreindre les règles et éprouve un plaisir presque malsain à se faire prendre (bien qu'elle sache aussi esquiver lorsque la sentence s'annonce trop pénible). Ainsi à chaque fois qu'elle entre dans un nouvel établissement, elle cherchera le meilleur moyen de défier l'autorité qui la gouverne. Certains la voient comme une idole rebelle alors qu'au final, Saaya ne fait que nourrir sa maladie.

Elle possède plusieurs obsessions : son art, son copain le rouge, le noir, le cuir, les papillons, la musique... elle-même.

Artiste jusqu'au bout des ongles, la jeune femme peint des tableaux très particuliers, formes abstraites ressemblant à des taches de Rorschach faites avec de la peinture mais aussi avec son sang (d'où les cicatrices), de l'alcool ou parfois déchirées violemment par ses propres ongles. Ses peintures connaissent un joli succès chez les amateurs d'art symbolique et contemporain, lui permettant de payer tous ses extras. La peinture est un des mécanismes de défense que Saaya a développé pour soulager sa conscience.

Sinon, une chose plus... intime mais qu'il est utile de préciser : Saaya ne doit pas toutes ses cicatrices qu'à son art. Adepte du SM, elle le pratique avec son copain, un dénommé Seiji qui la suit dans ses déplacements depuis des années. Sans lui, nul doute que Saaya serait bien plus instable qu'elle ne l'est actuellement.

Once upon a time ...
- Enfance -
Je suis malade.
Depuis ma petite enfance, je me sens coupable sans savoir pourquoi.
Au départ, l'enfant que j'étais, terrifiée par ce mal diffus, s'était mise à ne plus rien faire de ses journées pour éviter d'attiser ce sentiment déjà dévorant. Immobile dans un coin de la pièce, je ne bougeais plus, refusais de sortir et même de parler. Ma stratégie, en plus d'être inefficace, ne m'attira que des ennuis : effrayée par ce manque de vie, ma mère m'emmena de force chez le psy. Perplexe, ce dernier diagnostiqua ce qui s'apparentait alors à une schizophrénie catatonique juvénile. Au moment où le médecin commença à me prescrire des séances chez lui en plus de médicaments étranges, je me mis à rire et à parler comme si je n'avais jamais cessé de le faire. Perplexe, le type ne termina jamais son ordonnance.
Ma mère me ramena à la maison. Lorsqu'elle me demanda ce qui s'était passé, je haussai les épaules : la culpabilité n'avait pas disparu, il me fallut trouver une nouvelle stratégie de défense.
Je ne la trouvai que des mois plus tard.

- Pré-adolescence -
Je ne vivais pas de la même manière que les autres.
La nuit, la culpabilité me tenait éveillée. Souvent épuisée, la fatigue me faisait délirer. Malgré ce handicap que je peinais à cacher, je finis par trouver des amis aussi fous que moi. Ils s'appelaient Seiji, Akiya et Kitaro. Je fis leur connaissance lors d'une retenue pour les élèves les plus turbulents. Dans la petite ville où nous habitions, les gens se connaissaient souvent tous de vue.
Le fait d'enfreindre les règles me soulageait, donnant une justification à cette culpabilité maladive qui m'habitait. Lorsque je faisais le mal et le regrettait, je devenais une rebelle. C'est forte de cette constatation que je devins une rebelle qui refusait l'autorité et les lois. Si je m'en sortais, c'était bien. Mais le mieux était quand on me surprenait en train de commettre un crime : la sanction qui suivait prolongeait ma délivrance autant qu'elle me faisait souffrir. Profitant des changements que la puberté faisait subir à mon corps, je portai des tenues de plus en plus provocantes, finissant par teindre mes cheveux en rouge sang.
Ma couleur préférée.
Tout cela, je le faisais au détriment de ma mère. Je vivais seule avec elle depuis mes 4 ans, âge où elle et papa s'étaient séparés à grand coups de larmes et de drama. Dépassée par mes comportements déraisonnables et par mon manque de coopération, cette dernière décida de me laisser la liberté de faire mes propres erreurs. Cela ne l'empêcha pas de me punir de temps en temps... à ma grande satisfaction.
Un type avec des piercings partout me supplia de sortir avec lui, un soir après l'école. Nous restâmes ensembles 4 semaines avant que - lassée de lui - je ne le jette. La ville était petite, ma réputation était faite. Avec une nonchalance admirable, ma mère laissa les gens jaser, se contentant de me parler lorsque je franchissais des limites trop importantes. Pourtant, je n'étais pas encore passée "de l'autre côté".
Ce fût fait, un soir où Kitaro ramena dans son manteau des petits sachets remplis d'une substance d'un vert profond.
La limite était franchie. Entraînant les autres avec moi, je commençai à me droguer.

- Adolescence (1) -
Un an avait passé depuis ma rencontre avec Seiji, Akiya et Kitaro. Dans notre petit groupe de dissidents, des habitudes s'étaient mises en place. Souvent à l'écart des autres (Akiya surtout ne parvenait pas à s'entendre avec les gens "normaux"), nous étions de magnifiques loques liés par la drogue et l'envie de foutre le feu au monde. Bien que je ne sois plus vraiment en contact avec eux, je me souviens clairement du caractère de chacun.
Bien qu'étant le plus calme des 4, Kitaro était le plus infréquentable de tous. Défoncé à l'herbe 24h/24, il passait pour un enfant de choeur auprès de ceux qui ne le connaissaient pas bien.
Akiya était un mec doux et idéaliste, rendu fragile par l'amour qu'il portait à une fille qu'il refusait de nous présenter. Souvent tout seul, il aimait mélanger les médicaments comme des coktails sans sucres. C'était le plus détruit des 4.
Seiji était le cliché du beau brun ténébreux, en plus rock'n'roll. Traumatisé par un accent de voiture auquel il assista enfant, il évitait de parler de lui et possédait un sens de l'humour extrêmement tranchant.
Revenons à mon histoire. Le jour de mes 15 ans, je reçus de la part de mon père un kit de peinture comprenant un chevalet, une palette, des pinceaux et des pots de peinture. Il m'aida à installer un espace au milieu de ma grande chambre (comme tous les enfants de parents divorcés, j'avais été gâtée). Puis il me laissa seule face à la toile vide et à l'espace blanc que nous avions aménagé autour. Au dehors, le soir tombait.
On sonna à la porte, mais je ne l'entendis pas. Seule devant ce néant, je fus frappée d'une évidence aussi simple qu'atroce ; le mal continuait de me hanter, malgré ma nouvelle stratégie de défense. J'avais eu beau faire comme s'il n'existait pas, cette chose continuait de me dévorer le ventre. A demi-assommée par cette soudaine constatation, je fis un pas vers ma chaîne stéréo. Il me suffit que d'un geste pour enclencher l'appareil. La musique combla l'espace. Le coma s'était changé en transe. Je me replaçai devant la toile, me baissai et ouvrit violemment le pot de peinture rouge. Y plongeant un de mes pinceaux, je jetai un fil écarlate et suintant contre la toile désormais souillée.
- POURQUOI ??!
Au désespoir avait succédé la rage. M'adressant à cette culpabilité comme à une personne, je commençai à crier alors que mon pinceau jetait de longs fils de sang contre le blanc.
- J'ai tout essayé, TOUT et pourtant tu continues de me hanter !!! Pourquoi ?? POURQUOI ???
Ma voix se cassa. Envahie d'une rage qui n'avait plus rien de saine, j'arrachai à son tour le couvercle du pot de peinture noire.
- J'ai été SAGE, mais ça n'a pas marché !!
Je soulevai le pot, le tenant entre mes bras pâles.
- J'ai ENFREINT des LOIS, ça n'a PAS suffit !!!
J'envoyai alors contre le blanc-rouge de la toile une tâche noire immense, faisant sortir le noir à même le pot. Ma respiration s'était faite haletante, mon coeur battait à cent à l'heure. Dans la pièce, la musique trop forte faisait vibrer les murs, couvrant mes hurlements.
- DIS-MOI ce qu'il faut que je FASSE pour me DEBARRASSER de TOI ??!
La musique s'arrêta, mais pas la toile. Il fallait que je l'achève. En sueur, je saisis le coupe-papier posé sur mon bureau puis revint au centre de la pièce. Une tâche immonde, rouge et noire, s'était logée sur ma toile.
J'étais fiévreuse, mais pas au point de délirer. En réalité, je savais exactement ce que je faisais quand je fis glisser la lame avide à travers mon bras, faisant jaillir un flot de sang que j'orientai contre la toile. Libérée par cette douleur si forte qu'elle faisait partir le mal, je ne me rendis pas compte que la porte s'était ouverte et que quelqu'un s'avançait vers moi.
- SAAYA !
Moi, je plongeai mes bras dans la peinture fraîche avant de peindre avec mes paumes souillées. Le résultat de mes efforts était saisissant : ma toile, reflet de mon esprit malade, ressemblait à la plus atroce des tâches de Rorscharch.
Des bras me saisirent, me forcèrent à me tourner. En face de moi, Seiji avait presque les larmes aux yeux.
- Seiji ? De... depuis quand tu es là ?
Sans un mot, mon ami me serra dans les bras. Entourée par sa chaleur rassurante, je me laissai soudainement aller. Les paroles que je prononçai alors libérèrent en moi des flots de larmes.
- ... aide-moi.

- Adolescence (2) -
Personne ne sût jamais ce qui se passa après que Seiji m'aie découverte. Je me confiai à lui alors qu'il me portai jusqu'à la salle de bain : nous avions prévu de rejoindre les autres pour fêter mon anniversaire avec un gâteau à l'opium que m'avait préparé Kitaro. Alors que je me douchai, il observa mon tableau, le décrocha et le cacha entre mon armoire et mon lit. Je sortis, radieuse, le bras bandé, prête à faire la fête.
- Tu sais... peindre cette chose m'a vraiment aidée. Je ne me suis jamais sentie aussi bien.
- Il faut que tu le refasses alors. Mais pas sans quelqu'un pour t'aider.
Il m'entoura de ses bras.
- Tu serais d'accord de me laisser être cette personne ?
Les larmes me bloquèrent la gorge quand je vis que j'avais laissé du sang sur son pull.
-... oui. Oui, bien sûr.
Nous nous embrassâmes, maladroitement. Pourtant ce n'était pas grave : pour la première fois, je ne me sentais plus seule avec mon mal.
Seiji m'aida, à sa façon, en sortant avec moi.

- J'ai vu la toile dans ta chambre.
Ma mère se tenait dans l'encadrement de la porte d'entrée, me bloquant la sortie. Surpris, je ne pus rien dire d'autre que :
- Ah.
- C'est excellent... tu le sais, ça ?
Je ne sus que dire ; je m'attendais à une toute autre réaction.
- Tu en as d'autre comme ça ?
- Hé bien... oui.
- Ça t'intéresserait de les exposer ?
Mon coeur fit un bond dans ma poitrine.
- Heu...
Ma mère eût un sourire.
- La propriétaire de la galerie du centre ville est un vieil ami. Si tu veux, je pourrai lui présenter tes oeuvres.
Sur le moment, je ne sus que dire. Je l'enlaçai alors sans bruit, avant de m'en aller vers la fête à laquelle on m'avait invitée. Alors que j'avais fait 4 pas au dehors, la voix de ma mère résonna.
- Saaya ?
- Quoi ?
- Les menottes que tu as commandées sont dans ta chambre. J'espère au moins que tu te protèges.
Je marmonnai un remerciement avant de presser le pas.

Le sado-masochisme était, avec la peinture et les infractions, un moyen de faire taire la culpabilité. La première fois que je demandai à Seiji de m'attacher, il refusa vivement. Pourtant l'idée fit son chemin dans sa tête, et il finit par accepter de se prêter au jeu. Ainsi, à la fin de chacunes de mes séances de peintures, nous finissions par faire l'amour dans la violence et l'odeur de cuir.
Je vivais ainsi cette vie désastreuse et désaxée, mais cela ne suffisait pas totalement à faire taire le mal. J'avais pourtant presque réussi à l'enterrer. C'est alors qu'une idée pour l'achever fit son chemin dans ma tête.
Il me fallait commettre un crime si grand que la culpabilité serait pleinement justifiée. Puis je réparerai ce crime.
Cela n'a pas marché.

- Adolescence (3) -
Le bruit des pneus contre l'asphalte, de la pluie sur la voiture. Je suis assise sur la banquette arrière, à côté de mes deux grosses valises et de mon chevalet. Ma mère a les mains crispées sur le volant, je sens que pour la première fois depuis des années, j'ai mis sa patience à bout.
- Un internat ? Tu en es sûre ?
Elle hoche la tête. Le ton de sa voix me fait rire.
- Je pense que c'est mieux pour toi que tu te fasses de nouveaux amis.
Je ris. Elle ne sait pas que Seiji m'a promis de me suivre là-bas, près de cette école louche. Dès qu'il se sera trouvé un job aux alentours de Shibuya, sans doute.
Maman déglutit.
- Ils ont même un club d'art.
Je cesse de rire. La conversation me lasse déjà. Tout ça parce que j'ai tenté de faire taire la culpabilité en incendiant une école... personne n'en est mort. L'avocate engagé par ma mère a plaidé la folie pour me tirer d'affaire et... ça a marché. J'ai de nouveau envie de rire, tout ceci est tellement... absurde.

La voiture s'arrête devant les grilles de l'établissement. Alors que nous sortons, ma mère se penche vers moi.
- Ils ne savent pas... pour ton... "côté instable".
Je ne sais même plus auquel elle fait référence. J'éclate de rire sous la pluie battante, hochant la tête frénétiquement.

Et puis - de toutes façons, il le sauront bien assez tôt.

Le joueur
Prénom / Pseudo : Appelez-moi juste Saaya ♥
Age : 21
Ancien ou nouveau ? Pas tout à fait nouvelle mais chut. Je suis incognito... pour le moment ~
Comment avez-vous connu le forum ? SHS
as tu bien lus le règlement ? Il y a une faute d'orthographe dans cette phrase. Validé par Lisa


Dernière édition par Saaya Yosano le 02.07.14 21:45, édité 2 fois
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AnonymousInvitéInvité
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MessageSujet: Re: Saaya Yosano - What doesn't kill you...   Saaya Yosano - What doesn't kill you... Empty02.07.14 14:27
Hellow choupette

Comme je te l'ai dit, ta fiche ... je l'aime, tout comme ton perso.

Pour le secret et le groupe je vois ça avec le staff et je reviens vers toi pour te valider :3 soit patiente ^^
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AnonymousInvitéInvité
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MessageSujet: Re: Saaya Yosano - What doesn't kill you...   Saaya Yosano - What doesn't kill you... Empty02.07.14 14:32
Merci beaucoup Lisa, je serai patiente ♥
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Saitô HibikiSaitô HibikiGougnafier
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MessageSujet: Re: Saaya Yosano - What doesn't kill you...   Saaya Yosano - What doesn't kill you... Empty04.07.14 13:34
Bonjour et bienvenue chez nous
C'est moi qui me charge de te valider, sois fière xD

Je t'ai ajouté au groupe des méchantes Fury, et à la chambre 19 avec Arekushia Nagai
Tu es donc membre du club d'art, comme prévu.
Je ne te fais pas la visite guidée des lieux je présume... Wink

Si j'ai oublié un truc, préviens moi. Welcome back!
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AnonymousInvitéInvité
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MessageSujet: Re: Saaya Yosano - What doesn't kill you...   Saaya Yosano - What doesn't kill you... Empty04.07.14 19:10
Merci de la validation ! Je sens que je vais bien m'amuser avec cette nouvelle peau ♥
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Sky LeeSky LeeMa sorcière bien ratée
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MessageSujet: Re: Saaya Yosano - What doesn't kill you...   Saaya Yosano - What doesn't kill you... Empty05.07.14 10:10
Bienvenue!!!!! cheers
Toi.Moi.Lien.À mon retour.Je te veux. *^*

^^ amuse toi bien chouchou <3
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MessageSujet: Re: Saaya Yosano - What doesn't kill you...   Saaya Yosano - What doesn't kill you... Empty
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Saaya Yosano - What doesn't kill you...
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