Ren Misato
Nom : Misato
Prénom : Ren
Age : 17 ans
Nationalité : Japonaise
Orientation sexuelle : Hétérosexuel (Bisexuel refoulé )
Groupe : Super heroes!
Classe : 3ème année de lycée
Club : Basket-ball
Situation financière : Aisé
Baito / Fonction : Serveur
Logement : Pension
Personnage de l'avatar ? Kise Ryouta [Koruko no basket]
Keep a secret ? Blessure mal soigné à la cheville
En apparence je suis ...... de ce qu'on m'en dit tout du moins, je suis quelqu'un qui a du charisme. Un charme naturel dirons-nous. J'ai hérité de la couleur de cheveux de ma mère et les yeux de mon père. Un blond aux cheveux soyeux et souvent coiffé en bataille ainsi que des yeux noisette qui prennent la couleur du doré à la lumière. Je ne suis pas un spécimen à part, pourtant, ma beauté physique attire pas mal l'oeil des curieux/euses. Il faut dire qu'il me faut impérativement prendre soin de moi et ne pas me laisser aller aux vues de mon avenir. Voulant être basketteur professionnel, je n'ai d'autre choix que de parfaire ma musculature, c'est pourquoi j'attire la convoitise de certains/nes. Je ne suis pas parsemé de dessins musculaires, mais je suis tout de même bien battit. Du haut de mes un mètre quatre-vingts et d'un poids allant jusqu'à soixante-neuf kilos, l'on peut dire que j'ai tous les moyens qu'il faut pour tenter de décrocher mon rêve. Bien que je sois un grand sportif, ma tenue n'incite pas à ce que je sois toujours vêtu d'un débardeur, d'un short et de basket, je m'habille selon mon humeur, mes envies, mais aussi selon le temps! Je possède deux anneaux à chacun de mes lobes et compte bien plus tard me faire d'autres piercings à l'avenir. Physique de bad-boy?... Et si c'était cela finalement que je recherchais?
Et à l'intérieur ...... je suis comme qui dirait quelqu'un de dérangé, du moins, c'est ce qu'on en dit quand on tente d'en apprendre davantage sur ma personne. Je suis souvent à l'écart des groupes et ne cherche pas spécialement à en faire partie. De toute façon, le plus important pour moi c'est de me consacrer à ma passion: le basket! Alors oui, on me verra souvent faire mon jogging, m'entraîner sur le terrain et d'autres encore... Et bien que je sois seul et ne recherche pas spécialement à rencontrer du monde, j'attends plutôt que l'on vienne à moi. Il m'a toujours été difficile d'aborder un sujet de conversation, c'est pourquoi je suis peu bavard et me fait discret autour de moi. Je ne suis pas plus studieux qu'un autre, mais je veux réussir dans la vie! Je suis un battant, voir même un combattant! Et gare à celui ou celle qui oserait me piquer un peu trop de peur à ce qu'un semblant de colère ne naisse soudainement. Jamais je ne taperais une fille, mais si un élève ne se tient pas tranquille, je laisse trop souvent cette irritation déborder. Quand on me connaît bien, on sait que je ne suis pas un sale type, je reste quelqu'un d'abordable et d'aimable surtout! Par conséquent je peux être malgré tout quelqu'un de jaloux lorsqu'une personne extérieure s'attarde un peu trop sur les personnes que j'aime... et plus particulièrement avec la personne avec qui j'ai plus d'affinité. L'amour, on m'en a beaucoup parlé, ce sentiment qui vous transporte... Pas que je ne l'ai pas connu, mais je n'ai encore jamais ressentis un sentiment décrit avec autant de puissance. Sans doute cela ne concerne-t-il que les personnes sensibles. Mais quoiqu'il en soit, tant que je ne porte pas un panneau avec pour inscription "Attention chien méchant", il n'y a pas de quoi s'inquiéter, vous pouvez m'approcher.
Once upon a time ...Je suis né au sein d'une famille bourgeoise portant le nom de Misato. C'est entre les murs d'un manoir situé en bord de mer que j'ai poussé mon premier crie, un signe même de ma naissance. J'ai été choyé et idolâtré dés mes premiers instants de vie, j'étais le premier enfant de mes parents. Les employés de maison en étaient hystériques et avait un à un offert un présent à mon attention. J'allais vivre une vie comme les autres, enfin tout du moins, c'est ce que beaucoup pensait...
Mes premières années se passèrent au manoir. Les domestiques m'enseignaient les premières bases de la vie tout en m'amusant. L'enfance reste un monde bercé de contes et d'illusions pour vous emmener le plus tard possible dans l'univers de l'adulte. Et pour cause, depuis quelques jours déjà, mes parents font chambre à part. S'ils venaient ensemble s'occuper de moi, il n'en était plus à présent, ils ne me rendaient visite que tour à tour, leurs boulots respectifs étant assez chargé... Mais comment pouvais-je le remarquer à mon âge?
Mon temps libre, je le consacrais à m'amuser avec un ballon. Rien de bien extraordinaire en soit, mais pour moi, c'était plus qu'un simple ballon. C'était le seul jouet avec lequel je passais le plus de temps. Il rebondissait partout! Contre le sol, les murs, les portes... Il était pour moi un objet magique.
Ce n'est qu'à la rentrée au collège que je rencontrais pour la première fois des élèves de mon âge et un peu plus grand encore. Des filles et des garçons, quoi de plus banal? Pourtant, je ne me mélangeais pas parmi les autres. Je connaissais tout juste les établissements scolaires et m'y faire dans l'immédiat m'était impossible. Même si l'un de mes camarades parfois venait taper la causette, je restais assez réservé. Les seuls instants où j'osais faire plus connaissances étaient lors des activités sportives, et plus particulièrement lors des moments avec ce fameux ballon. A tout vous avouer, au départ j'étais dans le camp des plus mauvais. Il me fallait apprendre les bases! Cela paraissait facile à regarder faire, mais lors des jeux, je perdais tous mes moyens.
Au fil des années, je fais ma place au sein d'une équipe. Une équipe qui d'ailleurs est classée dans tout le Japon. Même si nous ne sommes pas d'un niveau extraordinaire, du moins pas autant que les adultes, l'on finit tout de même deuxième lors de la finale. Ceci se passa lors de ma dernière année au collège, et bizarrement, je voyais ma cote de popularité augmenter auprès de la gente féminine. Beaucoup de jeunes filles faisaient partie d'un club qui citait mon nom. J'en étais devenu l'effigie. Alors bien sûr, lors de ma dernière année, je sortis avec quelques-unes d'entre elles, pour leur faire plaisir, mais parce qu'aussi, je me sentais exister et aimé. Ce n'était pas avec le peu de présence de mes parents que je pouvais avancer.
Ma première année au lycée fut mémorable. J'avais été inscrit dans un établissement spécialisé pour les sections sportives. C'est ici d'ailleurs que tout commençait à se jouer! Le directeur avait vu mes résultats et avait ressentis ma motivation pendant mes matchs organisé au collège. Il avait contacté mes parents et leur avait fait part d'un avis qui était pour moi plus que réaliste et évident: Je devais devenir basketteur pro!
Il fallait que je donne le meilleur de moi-même, j'étais destiné dés le départ à le devenir. Mon avenir était tout tracé! Cependant, il y avait un détail qui gênait à ma progression: mon équipe. Pas que j'avais déjà l'âme d'un chef d'équipe, mais mes performances étaient bien au-dessus des leurs, si bien qu'ils ralentissaient à mon évolution. Il m'en fallait toujours plus, j'étais celui qui marquait le plus de paniers en plus des dunks incroyables que j'enchaînais.
Les années passent et le niveau reste stable. Mon coach me dit que j'en fais beaucoup trop et que je devrais laisser l'équipe prendre un peu la balle, mais je sais pertinemment qu'ils ne feraient que de me ralentir dans mon ascension . Alors, mon entêtement me valut la faute de me blesser et d'avoir une double fracture à la cheville... La seule chose qui anéantirait la montée vers ma carrière. Je pris soin de suivre les conseils du médecin les premières semaines: repos et calme devaient être de mise pour ma remise en forme. Seulement au bout d'un certain temps, je ne pus m'empêcher de reprendre le ballon et de jouer, continuellement, de plus en plus intensément. Et cela se remarqua à la dernière radiographie. Ma jambe était mal soignée. Des gestes et activités trop forcés me donnerait une atroce douleur. J'étais résigné à devoir partager mon jeu.
Lors d'un match, alors que je forçais sur ma jambe endoloris, l'un de mes co-équipiers me fit une remarque :
"Je n'sais pas ce que tu as aujourd'hui, mais au moins une chose est sûr! On peut enfin jouer nous aussi!". A ce moment précis, je regardais le tableau d'affichage qui indiquait que l'on perdait. Et, ne pouvant contenir la rage qui me rongeait de l'intérieur, je vins à lui décocher un coup de poing dans la mâchoire qui l’assomma... Et j'en gagnais le prix de devoir quitter l'établissement et d'en chercher un autre.
J'en étais à la troisième année de lycée, et heureusement pour moi, j'avais eut un peu de temps pour rechercher, en compagnie de mes parents, un établissement où je pourrais encore exercer un peu de ma passion. Bien sûr, ma fracture ne fut jamais mentionné dans mon dossier scolaire pour ne pas que cela atteigne à mon devenir et de façon à ce qu'on m'accepte dans un club semblable. C'est pourquoi, seul l'établissement Seika No Gakuen répondit positivement à notre courrier... j'allais enfin reprendre ma vie en main!
C'est à ce jour que j'entrais entre de nouveaux murs! Cependant je ne voulais plus dépendre de mes parents. La pension signifiait pour moi être plus responsable. Même s'il voulait m'aider pour me payer mes frais de scolarité, je voulais déjà gagner mon propre argent, commencer à me faire une vie d'adulte. C'est pourquoi j'avais postuler à un emploi en tant que serveur, et que ne fut pas ma surprise lorsque la réponse fut positive! "En manque de personnel" m'avaient-ils spécifié! Il était à moi le jour où je remettais ma vie à zéro!
Le joueurPrénom / Pseudo : Baka-kun!!?
Age : Hm hm... "Inconnu"!
Ancien ou nouveau ? Nouveau ~
Comment avez-vous connu le forum ? Google is my friend!
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