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 Isao Fushi [100%]

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MessageSujet: Isao Fushi [100%]   Isao Fushi [100%] Empty04.04.14 20:03
Fujiyori Nakamura
 
 Nom : Fushi
 Prénom : Isao
 Age : 25 ans

 Nationalité : Japonaise
 Orientation sexuelle : Bisexuel (Bien qu'il ne le sache pas encore!)


 Groupe : I'm working here ♥️.


 Situation financière : Il à l'aide de sa famille et de sa belle famille, même s'il a un peu de réserve de côté.
 Poste : Surveillant
 Logement : Autour de l'école de façon à intervenir si besoin est.

Personnage de l'avatar ? Fuwa Kento [Tokimeki Restaurant]

Keep a secret ? Il est veuf. Il cache précieusement son alliance et la photo de sa femme décédée dans son porte-feuille. N'arrivant pas à surmonter cette étape tragique de sa vie, il cache aussi toujours une bouteille de wiksy dans ses affaires personnelles lorsqu'il replonge dans ses souvenirs douloureux.

En apparence je suis ...
Un corbeau... Ou peut-être, le Maître Corbeau?
Il paraît tellement solitaire et renfermé sur lui-même que l'on pourrait penser qu'il porte son propre fardeau. Il ne respire pas réellement la joie et la bonne humeur la première fois qu'on le rencontre. Il est plutôt fade, mystérieux et lourd, comme s'il portait tout le poids du monde sur ses épaules. Un être malheureux. Voilà ce qu'il est réellement. Il n'a plus jamais vraiment tenté de se montrer sous son meilleur jour depuis la mort de sa femme. Il transpire le mystère et la solitude. Comme un oiseau venant passer un message avant d'annoncer une fin toute proche... Le Corbeau...
Par ailleurs, il n'y a pas que sa démarche qui démontre qu'il ne vit qu'à l'aide de quelques fils qui le guident vers son chemin. Ses cheveux couleur jais ne sont que le reflet de son coeur, sombre et froid. Ses yeux sont d'un bleu d'encre et ne laisse paraître que peu de choses, si ce n'est une profonde tristesse qu'il tente de cacher parfois par un simple sourire de bon comédien. Il est plutôt rare d'ailleurs de le voir sourire. C'est une chance que peu de personnes peuvent avoir en sa compagnie. Ne miser pas sur cet espoir dès la première fois, vous seriez rapidement déçus.
Son teint légèrement bronzé prouve qu'il vient bien d'un pays occidental, cette couleur se mêlant parfaitement à celle de ses yeux et de ses cheveux. Pour un jeune homme de son âge, il est plutôt grand et quelque peu musclé, de quoi égayer un peu l'assemblée. S'il est aussi bien bâtit, c'est grâce aux heures de musculation. Il n'a jamais vraiment aimé être aussi mince qu'une tige et préférait de loin la force d'une branche de bambou.
N'ayez pas peur de vouloir parler à une ombre, car la personne à qui elle appartient pourrait un jour se révéler sous une forme bien plus agréable ~

Et à l'intérieur ...
¤Froid: Il n'est pas du genre à montrer qui il est vraiment au premier abord. Il se cache derrière cette facette d'homme fier et froid pour tester la personne qu'il a face à lui. Si celle-ci se trouve assez courageuse pour lui parler, il se laissera aller petit à petit, alors que si on ne fait pas le premier pas, il restera refermer sur lui-même. C'est une carapace qu'il s'est forgé pour ne plus avoir d'attaches avec qui que ce soit.
¤Méfiant: Qui a dit que la confiance règne? La confiance chez Isao n'existe plus depuis longtemps. Au contraire, la méfiance règne. Vous n'oserez d'ailleurs pas lui avouer quelque chose de part son caractère douteux. Un premier sourire chez la personne qu'il croise et il peut être sûr qu'il devra faire attention à cette personne. Mais si vous savez vous montrez discret, il n'aura aucun doute envers vous.
¤Exigent: Poussière? Saletés? Mauvaises odeurs? Mais quelle horreur! Jamais vous ne verrez ce genre de choses chez lui, bien que se soit aussi un gros fumeur. Il est aussi maniaque qu'une bonne femme! Gare à vous si vous entrez avec des chaussures qui salissent son sol, ou vous subirez de terribles remontrances de sa part!
¤Inspiré: Bien que ce jeune homme ait un simple travail en tant que gardien de pension, il a comme passion la musique. Joueur de guitare, et auteur compositeur à ses heures perdues, il lui arrive de part le temps, l'humeur ou la situation qu'il soit inspiré et qu'il l'interprète à sa façon par ses notes de musique. Amateur ou non, ne surtout pas le déranger en ce temps de décontraction.
¤Affectueux: Si au départ on le trouve terriblement ennuyeux et peu bavard, au fur et à mesure, on se rend compte qu'il en est tout autre chose. Il lui faut montrer combien il peut-être aussi affectif quand il le veut : caresses, câlins, baisers... il saura combler la personne qu'il apprécie par ses attentions tactiles.
¤Timide: Un gros bourrin? Quoi, lui? Ah si seulement vous saviez... Bien au fond de lui se cache une certaine timidité, même s'il veut paraître fort aux yeux de tous. Qui n'a pas sa petite faiblesse après tout?
Quoi? Vous voulez en savoir encore plus? C'est quoi d'abord cet interrogatoire? Non non non je laisse le reste en suspens! C'est à toi de découvrir qui est vraiment Isao Fushi!

Once upon a time ...
On ne rencontre pas forcément toujours de bonnes personnes sur la route de la vie. On ne choisie pas non plus sa famille. On passe et trépasse devant multiples murs offensifs. On subit certains échecs mais qui ne sont nullement insurmontables... Et puis un jour, on rencontre une lumière éclatante sur son chemin. Cette lumière qui ne vous veut que du bien et qui vous attire vers elle, vous enveloppe dans ses rayons avec douceur pour vous promettre une vie meilleure... Le chemin de l'amour!

A l'époque, j'étais plutôt un "Bad-boy" des quartiers chics... Très contradictoire certes, mais je devais avouer que je ne faisais pas grand-chose. Je séchais beaucoup et traînais la plus grande partie de mes journées avec ma bande, ici et là. On était une petite troupe qui ne passait pas inaperçue. On mettait de l'ambiance un peu partout et nous étions fiers d'entendre parler de nous un peu dans chaque petits coins de la ville. Les petites troupes de midinettes ne nous résistaient pas très longtemps non plus. En grande partie, c'était la belle vie! Après venait la sentence et les leçons des parents qui la jouaient bienfaiteurs alors qu'ils avaient certainement dû être aussi infernale que moi. On n'héritait pas de l'un de leurs gênes d'ailleurs? ~

Ce n'est que quelques temps après que mes parents m'obligeaient à être plus sérieux. Mes notes étaient pour le moins catastrophiques et il me fallait impérativement au moins posséder mon diplôme de fin d'année pour avoir la paix: "Ta mère et moi sommes d'accord. Si tu nous montres un peu de bonne volonté, tu auras le droit à ton propre appartement en centre-ville! Mais fait tes preuves!".
C'était l'occasion rêvé! C'est pourquoi je m'étais activé et repartais du bon pied pour leur prouver de quoi j'étais capable.
C'est alors que je la rencontrais pour la première. Une petite nouvelle. Une étrangère. Une étudiante qui venait de loin pour apprendre le japonais et tenter de se faire une vie dans le pays. Elle était très banale à première vue: propre sur elle, mignonne, polie, souriante... Une fille comme une autre en soi. Ce n'était pas le genre de fille qui m'intéressait. J'aimais beaucoup les filles pulpeuses, qui avait un certain bagou et qui n'avait pas peur de hausser le ton quand il le fallait. Elle s'appelait Edith et elle venait d'Australie.

Cela faisait maintenant quelques mois qu'elle suivait notre cursus scolaire et j'avais l'impression qu'elle avait déjà compris comment un japonais s'occupait dans sa journée. Elle avait intégré un petit groupe de filles insignifiantes du lycée, chose qui ne l'aidait pas vraiment à se faire connaître, mais au moins, elle n'était plus seule. Pas populaire, mais pourtant, certains des étudiants avaient tenté leurs chances auprès d'elle. Mais à chaque coup, elle les repoussait, gentiment. Qu'est-ce qu'elle avait donc de si intéressant pour qu'on en vienne à vouloir flirter avec elle?
Malgré tout, je continuais mon petit train train de vie bien que les périodes de fêtes et de sorties avaient bien ralentis.
Et c'est un jour où je pensais pouvoir sortir entre amis que la petite troupe de lycéennes inexistantes vinrent à nous: "Isa-kun! Isa-kun attend! Il y a quelqu'un qui aimerait te parler!". Je m'arrêtais donc tandis que ma bande était déjà parti un peu plus loin. J'attendais de voir de quoi il s'agissait avant de m'apercevoir qu'Edith se tenait face à moi, les joues aussi rouge qu'une tomate qui venait de mûrir. C'est à ce moment-là que je sentis comme une flèche me transpercer le cœur. Elle était... tellement naturelle... tellement belle. Comment décrire l'instant que je vivais? Il fallait être à ma place pour comprendre ce qui m'arrivait. J'étais tombé carrément sous son charme, en un claquement de doigts. C'est avec un petit accent japonais qu'elle tenta de me dire quelque chose: "I-Isa-kun... Je... J'aimerais... J'aimerais apprendre à te connaître...". Que pouvais-je dire à ça? Comment ne pas résister à un tel effort, à un tel combat contre soi-même pour arriver à demander une telle chose? C'est avec un sourire que je lui répondais "Bien Edith-chan! Je suis d'accord!" je lui avais alors tendue la main pour prendre la sienne et avait rajouté "Faisons connaissance!"

Quelques mois plus tard, nous nous annoncions réciproquement nos sentiments l'un envers l'autre. J'avais lâché petit à petit ma troupe de façon à passer tout mon temps-libre avec Edith. J'avais pour idée de finir mes études et d'atteindre mon diplôme pour pouvoir vivre avec elle, dans l'appartement prévus si j'avais mon diplôme en poche. C'était sans compter sur son aide d'ailleurs. Elle venait peut-être d'un autre pays, mais elle s'était vite habituée à notre langue et à notre façon de vivre. Ce qui pour ma part était plus difficile, car la langue américaine n'était pas ce qu'il y avait de plus simple. Pourtant, à force d'entraînement, j'y parvenais, pour son plus grand plaisir.

Chose promise chose dû! C'était avec mon diplôme avec mention en poche que j'emménageais dans mon appartement, situé vue sur mer, en plein centre-ville. J'avais présenté quelques temps avant cela ma petite amie à mes parents qui la jugèrent très agréable. C'était donc un petit bonus pour pouvoir leur annoncer que j'allais officiellement vivre avec elle.
Les jours, quant à eux, ne se ressemblaient plus. Je vivais dans un petit confort auquel je n'aurais jamais pu penser, si un jour elle n'était pas venue me chercher. Ma Edith... Ma si belle et douce Edith...

Seulement voilà, les jours heureux ne durent qu'un temps... Ils ne sont jamais éternels.
Edith avait contracté un cancer... Un cancer de l'estomac. Depuis quelques temps déjà, elle se plaignait d'avoir des douleurs au ventre et sans m'en rendre vraiment compte auparavant, elle avait un manque d'appétit et avait perdu un peu de poids. Le médecin avait pensé au départ à de simples crampes d'estomac, rien de bien méchant en effet... mais le traitement proscrit ne lui convenait pas et rien ne s'arrangeait. C'est lorsqu'il exigea une fibroscopie que l'on eut quelques doutes. Ce fût à ce simple résultat que l'on découvrait son cancer. L'horrible nouvelle était que la cellule cancéreuse avait prit bien trop d'ampleur pour que l'on procède à quoique ce soit qui pourrait la sauver...
Nous étions dépités. Les larmes étaient devenues quotidiennes et le soutien de ma famille avait changé: "Ne reste pas avec elle ou tu en souffriras!", "Tu sais qu'elle va mourir et tu continus de la faire espérer que tu seras toujours auprès d'elle? Jusqu'à la fin?", "Ne gâche pas ta vie. Il n'y a plus aucun espoir et tu le sais. Laisse-la partir!". Je le savais... Je savais tout ça. Mais je l'aimais... Comment pouvais-je laisser Edith dans un tel état? Comment pouvais-je être aussi insensible? Non il était hors de question que je l'abandonne! Pas dans un moment où elle avait le plus besoin de moi! C'était impossible!

Et c'est un soir où je rentrais du travail que je la vis sur le seuil de la porte, fatiguée et bagages en main. Elle voulait partir... Elle n'en pouvait plus de me voir lui venir en aide lorsqu'elle en avait besoin. Elle ne voulait plus me voir pleurer pendant qu'elle souffrait. Elle ne voulait pas me voir aussi démuni face à sa maladie. C'est pourquoi je tentais le tout pour le tout : "Edith... Marrions-nous!" Elle ne comprenait pas et s'emportait tout à coup, pensant à une mauvaise blague avant que je ne lui demande de prendre définitivement la porte. Mais je la retins et lui expliquait :"Je sais que tu n'as pas la vie devant toi. Et je sais que ce n'est pas la vie dont tu rêvais d'avoir. Cette putain de maladie t’emportera loin de moi un jour, je le sais, je ne suis pas naïf. Je te perdrais... Mais ça ne se produira pas maintenant. On a encore un peu de temps devant nous pour vivre des choses incroyables. On sait qu'on ne vivra pas éternellement, on sait que la vie est courte et dégueulasse parfois... Mais je peux te promettre une chose. Le reste de ta vie, je veux le passer avec toi. Je veux que tu sois mienne, que tu sois ma femme jusqu'au bout. Je ne te promets pas les couleurs de l'arc-en-ciel, je ne te promets pas que des jours fabuleux... Mais je te promets de t'aimer jusqu'à la fin... Alors s'il te plaît Edith... Épouse-moi!"

Un mois plus tard, sa famille rejoignait le pays. Sa sœur et ses parents étaient au rendez-vous. Cependant, je décidais de définitivement couper les ponts avec les miens et de ne pas les inviter à mon mariage. Désormais, ils nous fallaient nous débrouiller pour payer l'appartement, mais ce n'était pas un soucis étant donné que je travaillais. La famille Crowel était sympathique. Ils m'avaient expliqué combien Edith parlait de moi en bien auprès d'eux et qu'ils leurs tardaient de me rencontrer. Ils étaient forts charmants et me remerciaient pour le cadeau que je leurs offraient en épousant leur fille. Ils nous avaient même invités à les rejoindre en Australie lorsque nous nous serions reposé du mariage. Chose qui fût d'ailleurs entendu!

Malheureusement le cancer d'Edith prit beaucoup d'ampleur... Elle ne mangeait presque plus rien, se plaignait sans cesse de ses maux de ventre et maigrissait à vue d’œil. Je me sentais inutile face à sa détresse. Elle souffrait et je ne pouvais rien y faire à part pleurer avec elle. Elle me quittait, lentement et péniblement. La mort la chatouillait, elle était là, toute proche et elle le savait. Elle allait bientôt partir... Mourir à l'âge de seulement vingt-deux ans...

C'est un matin pluvieux que je me rendis compte que le corps d'Edith était sans vie. Pas un au revoir, ni un adieu... Nous avions vécu notre dernière soirée comme d'habitude. Je l'avais simplement enveloppée entre mes bras pour la rassurer, la réconforter, la guérir de la douleur à ma manière, la faire oublier un tant soit peu qu'elle était à l'agonie. Je l'avais gardée entre mes bras pendant plusieurs heures avant de craquer. Mes nerfs me lâchaient et la fatigue avait prit le dessus. Ma femme n'était plus et je me retrouvais seul...

J'étais devenu dépressif avec le temps. Mon caractère avait changé. J'étais devenu une personne égoïste. Les autres m'importaient peu, seul ma belle-famille restait ma seule pré-occupation. Quelques temps après l'enterrement d'Edith, mes beaux-parents m'avaient fait la proposition de vivre en Australie, auprès d'eux. Bien que j'avais toujours mes parents, je savais que plus rien ne m'attendais au Japon. Pas un boulot stable, aucune connaissance... Il pouvait m'arriver n'importe quelle connerie dans l'état où je me trouvais. C'est pourquoi j'acceptais leur invitation, le cœur lourd. Mais une chose était sûre, je n'étais plus seul.

Les années passèrent sans que rien ne change vraiment. J'avais forgé une sorte de carapace qui me permettait de ne plus m'attacher à quelqu'un. Aimer pour souffrir... À quoi bon? Ce n'était plus au goût du jour. L'Australie ne m'apportait pas un grand changement, tout ressemblait à ma vie d'avant. Le Japon me rappelait aujourd'hui pour deux choses: Les bons moments de passés avec Edith et la fin de vie de mon père. Depuis que j'étais partis et avais décidé de ne plus donner de mes nouvelles, il avait atrocement chuté autant physiquement que mentalement. Si je n'ai pas été là pendant un moment dans leurs vies, il me fallait tout de même admettre qu'ils avaient été là pour moi... C'est donc avec tristesse que je quittais les Crowel, ceux-là me promettant que leurs maison était aussi la mienne et que je pouvais revenir quand bon me semblerait.

Ré-installé depuis peu au Japon, je décidais de chercher un boulot pas trop pénible et qui me permettrais de gagner un peu d'argent pour vivre non loin de chez mes parents. Les retrouvailles avec ma famille furent pénibles mais aussi clémentes. Encore jamais je n'avais ressentis un tel attachement de la part de mes parents, et j'avais finit par craquer entre leurs bras, tout comme eux. Je m'étais installé dans un appartement, non loin d'un pensionnat qui justement recherchait du personnel. Un poste de surveillant était suffisant. Le salaire n'était pas au rendez-vous, mais tel un tel établissement, j'étais certain de ne pas trop user de ma bouteille et de laisser mes souvenirs me submergés. Le pensionnat Seika.. Allait-il être mon lieu de remise à zéro?....

Le joueur
Prénom / Pseudo : "Ren" x3
Age : 26 ans
Ancien ou nouveau ? Ancien qui refait un perso Very Happy
Comment avez-vous connu le forum ? Je n'sais plus ça fait longtemps maintenant '-'


Dernière édition par Isao Fushi le 15.07.14 17:01, édité 3 fois
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AnonymousInvitéInvité
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MessageSujet: Re: Isao Fushi [100%]   Isao Fushi [100%] Empty14.04.14 15:19
Hellow !!

Ta fiche me semble correcte pour le moment, j'ai hâte de lire l'histoire de ce beau garçon qu'est notre nouveau surveillant *-* *bave*

Courage pour la suite Renchou :3
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MessageSujet: Re: Isao Fushi [100%]   Isao Fushi [100%] Empty27.04.14 13:40
Voilà voilà j'ai finis :3
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AnonymousInvitéInvité
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MessageSujet: Re: Isao Fushi [100%]   Isao Fushi [100%] Empty03.05.14 16:43
OH MON DIEU JE VEUX UN LIEN! /PAN/ (Quoi ? Ce n’est pas ici qu’on demande ? Sérieux ? Ah bon bah... M’EN FOU JE VEUX LIEN !)

Écoute pour moi ta fiche est parfaite, je n’ai pas grand-chose à redire. C’est bien écrit, tu garde une certaine part de mystère dans le comportement de ton personnage et je trouve ça agréable (c’est bizarre j’ai toujours un truc a redire de ce coté là mais là non.)
Ta fiche est très bien j écrite, l’histoire d’Isa est très touchante et j’apprécie vraiment la façon dont tu nous narre tout ça. La seule chose que je te demanderais de modifier est l’appellation BAC. Car ce diplôme n’existe pas dans le pays du soleil levant. Tu peux remplacer par un diplôme de fin de lycée ou quelque chose de ce genre là. :3

Voila sinon encire bienvenue et je veux un LIEN !
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AnonymousInvitéInvité
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MessageSujet: Re: Isao Fushi [100%]   Isao Fushi [100%] Empty09.05.14 13:22
Voilà mademoiselle, c'est rectifié! n_n
Tu voudrais quoi comme genre de lien? /BAM/
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MessageSujet: Re: Isao Fushi [100%]   Isao Fushi [100%] Empty09.05.14 23:00
Bah heu à choisir grand frère ou papa de cœur ? ** /VLAN/

Sinon j’ai l’immense plaisir de te dire que tu es VALIDE ! OMEDETOOOOOOOOOOOOOOOOO !

Ton logement est créé ici
Tu peut maintenant accéder à al zone rp. Tu peut poster une demande de rp ici et faire ta fiche de lien

Voila voila, bon rp a toi! *^* ♥


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AnonymousInvitéInvité
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MessageSujet: Re: Isao Fushi [100%]   Isao Fushi [100%] Empty10.05.14 15:02
Félicitation pour ta validation !!!

Je viens de recenser ton avatar, Bon rp parmi nous :3
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MessageSujet: Re: Isao Fushi [100%]   Isao Fushi [100%] Empty
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Isao Fushi [100%]
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