Reika Hikari Kazuto.

Reika H. Kazuto

Nom : Kazuto.
Prénom : Reika, Hikari.
Age : 19 ans.

Nationalité : Japonaise.
Orientation sexuelle : Asexuée. - Nan je déconne, juste pas intéressée.

Groupe : Why so serious ?

Classe : Prépa' littéraire.
Club : Fantôme du club de théâtre. Elle s’occupait de la musique au piano qui accompagnait certaine scène dans les pièces. Mais ça, c’était avant.
Situation financière : Riche.
Baito / Fonction : Hôtesse d’accueil dans un hôtel 3 étoiles.
Logement : Appartement personnel à Ginza.

Personnage de l'avatar ? Inori Yuzuriha – Guilty Crown.

Keep a secret ? Reika est en vérité une enfant illégitime. Sa véritable mère était en fait une femme de ménage de la famille Kazuto mais l’épouse ne pouvant pas enfanter, le père l’a fait adoptée. Par la suite, sa femme à tout de même donné naissance à un fils et la jeune fille fût alors considérée par sa « mère » comme un monstre qui n’aurait jamais dû exister.

En apparence je suis ...
Physiquement, la seule particularité que possède Reika, ce sont ses cheveux roses et ses yeux rouges. Evidemment que ce n’est pas naturel, qu’est-ce que vous pensiez ? La jeune femme est née avec des cheveux ébène comme ceux de sa mère biologique, une asiatique employée par la famille Kazuto. Mais plus tard, voulant plaire à sa belle-mère, elle a finit par renoncer à sa personnalité pour tenter d’être mieux acceptée. Elle a donc décoloré et retint ses cheveux en rose, pour que le caractère voyant de sa belle-mère puisse aller avec. Ses yeux rouges, eux, ne sont que pure fantaisie pour assortir les deux. Des fois, lorsqu’elle oublie ses lentilles, on peut voir ses yeux noisettes, semblable cette fois à ceux de son père.

Autrement, la jeune femme possède une silhouette svelte, qu’elle prend soin d’entretenir. Elle ne fait pas vraiment de sport mais garde une alimentation saine et variée. Les gens qui la croise ne se diraient jamais qu’elle est trop grosse ou trop maigre. En fait, elle pourrait passer facilement inaperçu dans la foule si elle le voulait. On ne se retournera pas forcément sur son passage en se disant qu’on oubliera jamais une fille comme celle là.

Son visage lui, est rond et doux. Elle est heureuse d’avoir passé l’adolescence pour ne plus devoir se tartiner la tête de crème diverse. Oui, elle n’a pas toujours eu la chance d’avoir une peau lisse et cela lui valait parfois des soucis au collège. Mais maintenant, c’est passé. Ses yeux, son nez et sa bouche forme un ensemble harmonieux et sans disgrâce, certains la qualifie même de mignonne à l’occasion quand elle croise leur regard. Malgré son air presque parfaitement neutre en toute circonstance.

Ses bras et ses jambes sont parfaitement proportionné par rapport à son corps et la jeune femme s’habille souvent de manière variée. Elle aime les couleurs comme les tons sombre et adapte ses vêtements selon la saison. Pas question de paraître débraillée lorsqu’elle sort et qu’elle pourrait rencontrer des gens. Chez elle par contre, elle sera plus facilement en pantoufle et pyjama qu’autre chose. Cet endroit où elle n’a pas besoin des apparences, ou elle peut être simplement ce qu’elle est.

Et à l'intérieur ...
Renfermée, maligne, inexpressive et pas particulièrement intéressante. C’est ce qu’on pourrait dire en la côtoyant un minimum. Les gens s’arrête souvent à cela car la jeune femme est une grande introvertie. Même si ce n’est pas vraiment le cas, on a toujours l’impression que la demoiselle affiche des airs nonchalants et qu’elle se moque ouvertement de ce qui pourrait arriver autour d’elle. Mais la réalité est toute autre. En fait, Reika à toujours une oreille qui traîne et est très attentive à ce qu’elle entend. Même lorsque les murmures s’accordent pour dire qu’elle est certainement une tueuse en série asociale ou autre.

Et oui, la vie est dure dans le milieu scolaire quand on affiche quelques particularités mais qu’on ne se fond pas dans la masse des jeunes filles bruyantes et fan des nouvelles icônes qui apparaisse de jour en jour. Les jeunes filles oisives, ce n’est pas son truc, comme elle a dorénavant un petit frère, elle doit elle-même trouver une façon de vivre sa vie. Petite, elle ne manquait de rien et son père cédait presque à tout ses caprices mais depuis, les choses ont bien changé, poussant la jeune demoiselle dans ses retranchements.

Pas particulièrement malheureuse, elle n’est cependant pas heureuse de la vie qu’elle mène, elle aurait préféré vivre modestement avec sa mère qui est maintenant disparue. Elle a surtout été écartée pour ne pas ébruiter l’affaire en moyennant une grosse somme d’argent. Reika n’a que très peu de souvenir de sa mère mais suffisamment pour que cette dernière lui manque. Cependant la peur l’a toujours empêchée jusqu’ici de faire des recherches à son sujet. Elle espère cependant qu’elle est heureuse et à refait sa vie avec un autre homme. Elle aussi mérite le bonheur.

Avec ses rares amis, elle se risque parfois à sourire mais souvent le cœur n’y est pas. Elle est douce, gentille, compréhensive et elle est plus à l’écoute qu’encline à se confier. Chacun ayant ses propres problèmes, elle ne veut jamais inquiéter ses amis et affiche alors un masque qu’elle porte en permanence, seul deux personnes ont à ce jour réussi à percer cette carapace et savoir ce qu’abrite le coeur de la jeune femme. Ce sont ses meilleurs amis.

Le soir, elle est souvent seule dans l’appartement payé par les soins de papa. Et elle peut se donner à coeur joie. Musique à fond, fête. Tout ce qu’elle veut, elle peut le faire en réalité mais souvent, elle reste seule devant la télé à regarder en boucle ses films préférés en mangeant de la glace. Oui, le genre pyjama dans le canapé et boite de kleenex à moitié vide.

Once upon a time ...
L’histoire à commencer lorsqu’une jeune femme, bien sous toute apparence rencontra un homme riche et séduisant. Il la courtisa longuement et elle finit par craquer devant ses allusions de plus en plus soutenue. Ils se mirent en ménage et l’entreprise du père connu soudain une envolée magnifique dans le monde des affaires, ce qui plaisait énormément à son épouse qui s’empressa d’exiger de lui un héritier. Malgré des dizaines ou des centaines de tentative, la jeune femme demeurait incapable d’enfanter ce qui commençait à énerver Daiki Kazuto, riche propriétaire d’une entreprise florissante. Les disputes au sein du ménage créèrent des tensions et à cause de la faiblesse des hommes, un soir, le jeune homme rentra à moitié ivre et l’une des servantes sur laquelle il avait déjà eut quelque œillade se montra toujours aussi gentille et au petit soin. L’homme en profita bien sûr et la jeune femme, déjà amoureuse de lui – ou de sa réussite – depuis longtemps, l’accompagna jusqu’à sa chambre.

Environ huit mois plus tard, la jeune femme déposa un congé maternité. Elle n’en avait parlé à personne mais le patron finit par la prendre et la convoqua pour s’assurer que cet enfant était le sien ou celui d’un autre. Déboursant une fortune pour pouvoir faire un test malgré la mère qui s’y opposait en promettant de ne jamais rien dire, il s’avéra en fin de compte que l’enfant était bien de lui. Secoué par cette nouvelle, il s’arrangea pour que la jeune femme fût accueillie dans les meilleurs hôpitaux pour permettre à sa fille à naître d’avoir une croissance adéquate. Le plus dur restait à faire, pousser sa femme à accepter l’enfant. L’histoire ne fit qu’un tour au sein de la famille et les négociations prirent plus d’un an et demi. Ce qui fait que lorsque Daiki récupéra sa fille, elle avait déjà près de deux ans et l’accord tacite passé avec sa femme impliquait que jamais plus elle ne reverrait sa mère.

Reika passa contrairement à ce qu’on pouvait croire, une enfance heureuse. Gâtée et choyée, elle était une enfant vive et pleine de vie. Mais les progrès de la médecine étaient tels que sa belle-mère pu quelques années plus tard enfanter d’un fils. Daiki accueilli cet héritier mâle d’un mariage légitime comme un cadeau des dieux et Reika fût par conséquent mise sur le côté. Là où elle avait toujours fait l’unanimité dans la famille, elle n’était plus maintenant qu’une renégate. Fini les cadeaux et tout ce genre de chose, tout le monde la voyait maintenant comme une erreur qu’on aurait du effacer avant la naissance ou laisser pourrir avec sa mère. Même si les adultes étaient cruels dans leur sentiments et paroles à son égard, son père, lui venait encore parfois lui rendre visite et la rassurait en disant qu’elle était sa fille et qu’il ne l’abandonnerait jamais.

En quête d'un minimum de reconnaissance perdue, la jeune demoiselle se mit à prendre des leçons de piano pour plaire à sa belle-mère, elle-même pianiste de renommée. Mais malgré tout ses efforts, la fillette ne recevait jamais d'encouragement d'aucune sorte, la matriarche de la maison l'écoutant à peine et critiquant toujours quelques chose, que ce soit les notes ou la position de ses doigts par rapport aux touches. Son professeur, lui par contre ne faisait que l'encourager, la touchant parfois de manière inappropriée au niveau des hanches ou des épaules. La jeune fille finit par ne garder qu'une aversion pour le piano, le professeur fût renvoyé et elle ne toucha jamais plus un piano en présence de quelqu'un ce qui attira quelques rumeurs quand elle refusa de faire les musiques au club de théâtre qu'elle déserta de plus en plus sans jamais se désinscrire.

Mais le travail étant ce qu’il est, le père du travailler de plus en plus et de plus en plus laissant la jeune femme seule à la maison pendant la pire période de sa vie : l’adolescence. Victime de brimade sur son apparence excentrique, le caractère de la jeune femme changea et se modifia, ce n’était plus la souriante petite fille qu’elle était mais une femme à jamais couverte par une carapace de solitude. Mal dans sa peau, elle pleurait parfois, seule le soir et souffrit pendant quelques temps de dénutrition. A cette période, son père prit des vacances et la situation se redressa légèrement, dans quelques mois, la jeune fille fêterait son dix-huitième anniversaire et il lui offrirait son propre appartement à condition qu’elle se trouve un petit emploi. Le marché fut accepté à l’unanimité par toute la famille excepté son petit frère qui en fait, adorait sa sœur et ne voulait pas qu’elle s’en aille.

Mais quand elle décrocha un petit boulot d’hôtesse d’accueil, son père tenu sa promesse et lui paya un appartement en lui faisant tout de même promettre de continuer ses études. Chose qu’elle fit. Les promesses, elle est du genre à les respecter coûte que coûte. Elle voulait rendre son père fier même si tout ne s’annoncerait pas facile dans un lycée où tout le monde est à l’affût et au courant de toutes les rumeurs.

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