Carte ID Age: 24 ans Classe / Job: Policière Logement: Appartement à Shibuya
Sujet: Re: J'suis fakir , j'marche pied-nu sur des assiettes cassées P2 29.08.17 12:15
Flynn avait accepté plutôt rapidement, malgré une petite hésitation ; ce qui pouvait se comprendre. Après tout ils n’étaient que deux inconnus. Toutes les rencontres fortuites sont le fruit du hasard. Elle ne s’inquiétait pas quand à son intérieur : il était toujours parfaitement rangé. La rigueur et la droiture qu’elle avait apprise au karaté, elle l’appliquait dans sa vie de tous les jours, que ce soit pour le sport, le ménage, son régime alimentaire.
-Allons chez toi. Ce sera mieux si on veut discuter. Enfin, sache juste que je tenterais rien de chelou. De toute façon, je préféré les blondes, comme tu peux le voir.
Keiko hocha de la tête, puis répondit tout sourire :
- De toute façon, si tu tentes quelque chose, je te casse en deux.
Et elle était sérieuse. Elle n’avait aucun problème à maitriser un homme non sportif. Avec les sportifs, c’était beaucoup plus tendu. Toute une vie de karaté et de sports en tout genre l’avait endurcie. Depuis qu’elle était dans la police, elle apprenait le self défense et elle avait retenu des prises vraiment pas mal pour avoir le dessus.
Flynn appelle un taxi, du moins c’est ce qu’elle croit. Seulement, il ne semble pas payer la course. Un chauffeur personnel ? Cela ne l’étonnait donc plus qu’il ait sorti un paquet de yens pour ne pas avoir affaire à elle.
- Si tu as changer d’avis, c'est le bon moment pour le dire. C'est pas facile d'inviter un inconnu chez soit .
Keiko sorti de ses pensées.
- Non, non. Je ne suis juste pas hyper bavarde. Ne t’inquiète pas, je ne me force jamais quand je n’ai pas envie.
Depuis le viol, passé a phase de dénis, de dégout, de colère, Keiko tentait de vivre en harmonie avec elle-même, à défaut d’avec les autres. Aussi, elle s’efforçait de se faire passer en premier dans ses décisions. Elle badgea la porte d’entrée, puis prit l’escalier par habitude, même s’il y avait un ascenseur. Elle monta les étages, plutôt nombreux. Le sport, c’était un mode de vie après tout. A quoi cela servait de suer heures à la salle pour au final prendre l’ascenseur ? Elle pensa à Flynn qu’une fois arrivée en haut. Etait-il endurant ?
Keiko ouvrit la porte et la laissa ouverte pour qu’il puisse rentrer. Elle se déchaussa et Spark lui sauta dessus en japant.
- Du calme mon beau, du calme.
La japonaise lui fit un gros câlin, puis le traina dans le salon.
- Fais comme chez toi, il y a des trucs à boire dans le frigo. Je dois prendre une douche et me changer, lui indiqua-t-elle. Ca va aller ?
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Sujet: Re: J'suis fakir , j'marche pied-nu sur des assiettes cassées P2 15.09.17 20:27
Elle passe son badge sur la porte et entre dans le hall de l'immeuble en somme assez classique. Flynn jette un coup d'oeil autour de lui, toujours aussi peu à l'aise à l'idée d'aller chez une inconnue qu'il n'avait rencontré que quelques temps plus tôt. Il la suit dans les escalier et monte sans peine les étages. Il a lui-même l'habitude de courir et de monter des marches. Quoi qu'il ne soit pas particulièrement sportif, le jeune photographe avait tout de même l'habitude de se maintenir en forme, du moins ,il faisait du sport pour s'épuiser et s'endormir assez rapidement. Rien d'extravagant mais, cela lui permettait de dormir au moins quelques fois par semaines. Avec son travail prenant, ses beuveries et sa fâcheuse tendance à ressasser et trop penser, le jeune homme avait aggraver son insomnie déjà bien présente lors de son adolescente. Il arrives presque en même temps qu'elle devant la porte et à peine ouverte qu'un chien déboulait à l'entrée pour sauter sur la jeune policière qui à demi-souriante lui fait une caresse et lui demandes de se calmer . Flynn passe une main dans sa poche, droit comme un I, n'osant pas entré sans y être inviter, il reste à l'entré de l'appartement de la jeune femme. Un appartement assez classique , qui plu au jeune homme.
«-Fais comme chez toi, il y a des trucs à boire dans le frigo. Je dois prendre une douche et me changer,Ca va aller ? »
Le jeune homme hoche la tête et retire ses chaussures, laissant la jolie japonaise s'évanouir dans l'appartement. Il jette un coup d'oeil en direction de la salle de bain et soupire. Il regarde autours de lui et cherche des yeux la cuisine. Après avoir trouver le jeune australien file devant le frigo et l'ouvre , priant intérieurement pour une bière. Heureusement, il y en a. Il ne sait pas vraiment ce qu'il doit faire donc il s'assoit sur le canapé , dévisageant le chien assis en face de lui. Il le regarde avec un air bizarre. Cet air si commun aux chiens. Flynn aimait bien les animaux, mais les animaux ne l'aimaient pas vraiment. Il n'avait jamais vraiment su l'expliquer mais , son comportement peu chaleureux lui avait toujours valut de ne pas être apprécier par les animaux. Et évidemment, depuis , lui non plus n'étais pas très à l'aise avec les animaux. Lorsque petit, on lui avait offert un lapin, le petit garçon n'avait pas voulu le caresser , de peur de lui faire mal. On avait fini par le donner à l'un de ses cousin. Il avait été un peu triste que personne ne comprenne ses sentiments mais, comme le petit lapin ne l'aimait pas non plus, il avait compris que c'était mieux comme cela. Le chien l'observait et le jeune homme avait un peu peur de s'en approcher, se disant que s'il le mordait, il ne pourrait plus travailler. La pensée le terrifia. Il attrapa sa bière posée sur la table et en bu une gorgée, espérant qu'elle ne tarderait pas a sortir de la douche.
Il ne sait pas vraiment combien de temps il reste à fixé le chien qui s'est à présent endormi à même le sol mais ,lorsqu'elle revient, Flynn se sent lui-même presque endormi. Sa bière est finie en tout cas. Il lui fait un sourire et essaie de ne pas trop la fixé, ni d'avoir trop un air bizarre. Après tout, la jeune policière à quand même dit qu'elle "le casserait en deux " s'il était déplacé et quoi qu'avec sa condition physique il était de loin capable de la calmer si il le voulait, il n'avait aucunement envie d'avoir des problèmes avec une policière. Il tends sa bière vite vers la jeune femme.
«-Désolé , j'ai une bonne descente. Tu en veux une ? » Il sourit et se décale dans la canapé pour lui faire place. Toujours aussi peu à l'aise.
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Sujet: Re: J'suis fakir , j'marche pied-nu sur des assiettes cassées P2 19.09.17 13:14
Keiko prit des vêtements dans sa chambre, bien que d’habitude elle s’y réfugiait pour se sécher et s’habiller. Elle opta pour un pantalon noir en lin taille haute et un croc top blanc en dentelle . Elle n’aurait jamais pu imaginer il y a quelques années qu’elle serait plus à l’aise dans ce genre de tenues que dans un jeans – sweat shirt. La japonaise ne lava pas ses cheveux et fit un chignon avant de prendre une douche rapide. Elle n’entendait pas de bruit. Soit Spark l’avait mangé, soit ils étaient copains. Elle se fit quand même un petit gommage du visage, puis se rinça et se sécha.
La japonaise enfila ses vêtements et arrangea sa coiffure pour que son chignon soit coiffé-décoiffé mais plutôt coiffé quand même. Elle n’appliqua pas de maquillage, juste une crème hydratante anti-ride sur son visage et sortie de la salle de bain. Elle observa le jeune homme sur son canapé. Il ne sembla pas à l’aise, et elle pouvait se montrer elle-même très réservée quand elle n’était pas en confiance. Aussi, elle se dit qu’elle devait briser assez vite cette ambiance.
-Désolé , j'ai une bonne descente. Tu en veux une
- Ne t’excuse pas, y a pas de mal.
Elle lui fit un clin d’œil et retourna dans la cuisine, prendre quelques Asahi et des biscuits apéritifs japonais. Keiko posa le tout sur la petite table basse du salon et s’installa ensuite sur le canapé , à côté de Flynn. Elle lui fourgua une canette dans les mains et prit la sienne. Keiko la décapsula et trinqua avec lui.
- A nos malheurs, puisse-t-on trouver un jour le bonheur en amour !
Elle but une grosse gorgée de sa bière, puis une deuxième.
- Et sinon … Tu fais quoi dans la vie ?, demanda-t-elle histoire de lancer la conversation.