AIICHIRO K. NAMBA 
Nom : Namba
Prénom : Aiichiro Keito
Age : 22 ans
Nationalité : Japonaise
Orientation sexuelle : Hétéro à priori, jamais testé autre chose.
Groupe : I'm working here ♥.
Situation financière : Juste de quoi payer les factures
Poste : Secrétaire
Logement : Un appart aux alentours ou dans l’enceinte de l’école
Personnage de l'avatar ? OC de creature13
Keep a secret ? Tu es né en prison puis tu en as toi-même fait après être tombé dans un piège.
En apparence je suis ...Tu n’as rien d’un canon de beauté mais eux ils disent quoi déjà ? Ah ouais, que tu as de la gueule… Tu ne sais pas trop si c’est un compliment ou si c’est juste pour causer. Au fond tu t’en fou pas mal ça ne t’as jamais empêché de draguer tout ce qui avait « cul-chatte-nichon ». Mais à présent tout ce que tu vois dans le miroir ce n’est rien d’autre que ta pauvre carcasse de 178 cm qui se traine jour après jour. Tu ne fais pas d’effort et pourtant tu arrives quand même à avoir du charme. Serait-ce dû à tes yeux aussi noirs que de l’encre ? Ou bien à ton demi-sourire arrogant ?
Ouais non en fait c’est surtout tes tatouages qui te donnent cet air badass. Et des tatouages ce n’est pas ce qui manque sur ton corps. Ton visage et ton cou sont les seuls centimètres carrés de ta peau que tu n’as pas recouverts d’encre. Tu en veux toujours plus, c’est un peu comme une drogue. Pourtant bizarrement tu refuses de te faire tatouer entièrement. Bah au fond quelle importance ? En tout cas ton succès auprès de la gente féminine ne vient surement pas de tes cheveux blonds décolorés qui justement auraient bien besoin d’une bonne coupe. Le look homme des cavernes made in prison c’est terminé et tu sais déjà comment y remédier. Un bon coup de tondeuse pour bien dégager les côtés tout en gardant l'arrière plus ou moins long. Tu comptes tout de même laisser une longue mèche sur un des côtés histoire qu'on ne t'appelle pas crane d’œuf.
Toujours une clope au bec, c’est ta fumée qu’on voit d’abord avant de t’apercevoir toi. Pourtant dieu sait que tu ne passes pas inaperçu. Bien que tes vêtements cachent souvent tes tatouages, ces derniers te confèrent un style androgyne bien particulier. Des piercings en tout genre viennent compléter ta panoplie de bad boy.
Et à l'intérieur ...On commence par quoi l’avant ? L’après ? Ouais non en fait tu n’aimes pas trop parler de toi. Tu te la joue mystérieux, ténébreux alors qu’en fait tu as juste la trouille qu’on t’apprivoise. Tu es pire qu’un animal sauvage, tu fais confiance à personne. En même temps là-bas tu as vite compris que la confiance ça n’existait pas. Tu aurais bien voulu t’en rendre compte avant, ça t’aurais évité pas mal de merde…
Maintenant c’est chacun pour sa gueule, œil pour œil dent pour dent. Pourtant tu n’es pas bien compliqué comme type. Tu es juste quelqu’un de prudent et de discret. Tu as eu suffisamment d’ennui alors tu restes tranquille. Ou disons surtout que tu as su te débarrasser de ta naïveté. Plutôt du style observateur, tu arrives assez facilement à cerner la personne en face de toi. Une attitude je-m’en-foutiste vient compléter le packaging.
Tu n’as pas toujours été comme ça pourtant. Fut un temps où tu étais un mec sociable et déconneur de service. Toujours entouré d’une bande de pote, prêts à faire les 400 coups. Ouais ça c’était avant. M’enfin c’était pas la vrai vie… Un petit séjour au frais et bizarrement tous tes potes ont subitement été frappé d’Alzheimer en même temps. Tous des crevards en vrai… Bah après tout mieux vaut tard que jamais hein ! Et puis tu t’es tout de même fait piéger… Bon pas par tous mais tu mets quand même ces autres dans le même panier vu que tu n’as pas de nouvelles. «No regrets. Suck my poison bitches. Fuck. » Ce sont même les mots que tu es allé taguer sur les maisons de cette bande de lâches. Après ça, tu es devenu un loup solitaire fuyant les meutes d’hypocrites.
Once upon a time ...« Ah parce que tu crois que t’as le choix peut-être ? Tu t’es cru en vacances ? Non ici c’est la zone comme vous dites, vous autres détenus. C’est le trou… Ici t’es rien, ni personne. T’es juste un numéro ! Et toi blanc bec ton matricule c’est 052… Vas-y imprimes ! Tu ferais mieux de t’habituer sinon tu te feras bouffer… »Ce sont les premières paroles que tu as entendu quand tu es arrivé ici. D’ailleurs ça fait combien de temps ? Deux semaines ? Un mois ? Plus ? Tu as perdu la notion du temps à la minute où tu as posé un pied dans cet enfer. Ta vie n’a pas été facile loin de là, mais ça c’est pire que tout ce que tu avais imaginé. Tu te croirais revenu à l’époque où tu avais peur qu’un monstre sorte de sous ton lit pour venir te manger une fois la lumière éteinte. Sauf qu’ici les monstres sont bien réels… Tu n’avais aucune idée de ce qui t’attendais avant qu’on te jette ici. Tu n’avais pourtant rien demandé à personne… Comment aurais-tu pu te douter que ton meilleur pote t’embarquerait dans un plan foireux ? Comment t’aurais pu deviner qu’on cherchait à te rouler ? Tu n’avais que 21 ans bordel… Encore un "gosse" mais légalement majeur depuis un an alors t’as pris plein pot… Tu as eu beau protester, clamer haut et fort ton innocence, personne ne t'as écouté. Ils t'ont même sorti le cliché du « telle mère tel fils ».
Le fait que tu sois né en prison n’était un secret pour personne… La nouvelle avait de suite fait le tour avant même la libération de ta mère. Cette dernière aurait pu décider de changer de ville mais elle ne l’a pas fait. Tu lui en as longtemps voulu d’ailleurs. C’était plus ou moins de sa faute si les autres te regardaient de travers. Ils attendaient tous le moindre faux pas de ta part. Toi tu avais toujours redoublé d’effort et joué l’enfant modèle. Ils avaient fini par abandonner et tu avais enfin eu la paix. Bon faut pas croire non plus que tu as toujours été un saint. Tu as toi aussi fait ton lot de conneries mais à la différence des autres crétins, tu t’arrangeais toujours pour être discret ou te sortir d’affaire. Enfin la roue a fini par tourner et tu t’es fait piéger… Personne ne t’a cru, et tous ont affirmé qu’ils savaient que cela arriverait.
Tu connaissais ton meilleur ami depuis la nuit des temps. Faut dire aussi que c’était ton voisin. C’est avec lui que tu avais fait la plupart de tes conneries d’ailleurs. Malheureusement, ta dix-huitième année donna naissance à votre plus grosse connerie. Depuis que vous aviez tous les deux trouvé un boulot, tu ne voyais plus beaucoup ton meilleur pote. De ton côté tu étais tatoueur pendant que lui était employé de banque. Naïf comme tu étais tu ne t’es pas douté un instant de ce qui t’attendais en acceptant de rejoindre ton pote à son travail. Tu étais juste content de pouvoir le revoir après trois mois sans aucunes nouvelles. Ce que tu ne savais pas c’est que ce dernier avait mal tourné… Il avait prévu de braquer sa banque à l'aide de sa bande de loubards et toi tu étais le parfait pigeon.
Le plan de ton "ami" était simple. T'appâter à l'intérieur de la banque pour une raison quelconque. Attendre l'arrivée de ses complices pour te jeter l'oseille comme si c'était toi qui l'exigeait. Profiter de ta confusion pour déclencher l'alarme et alerter le commissariat du coin. Puis te regarder te faire arrêter toi qui resterais comme un con alors que les autres auraient déjà pris la tangente. Le pire c'est que tout s'est passé selon leurs prévisions... Tu y es allé avec ton air simplet. Il était là devant toi l’air hyper nerveux à regarder sa montre toutes les deux minutes. Tu n’as pas eu le temps de poser de questions que des individus louche sont entrés dans la banque. Complètement dépassé, tu n’as même pas protesté quand ton prétendu ami t’a balancé un sac rempli de liasses. Le temps que tu ouvres la bouche, tu étais déjà encerclé par les cops. Ils ont mis deux minutes à te maîtriser. Deux minutes pendant lesquelles tu n’as cessé de regarder judas d’un air perdu. Ce crevard a tout simplement détourné la tête d’un air dégoûté alors qu’on te jetait à l’ombre…
Et ouais... Tu t'es fait coffrer pour avoir "tenté de braquer une banque". Le fait que ce soit plus ou moins ton "deuxième séjour" n'a pas joué en ta faveur, ça n'a fait que t'enfoncer. Voilà pourquoi tu en es réduit à être le détenu 052… Mais tu n’y accorde plus vraiment d’importance. Tu sais que ton cauchemar va bientôt prendre fin. Maintenant, tu commences à faire gaffe ! Les autres numéros n’attendent qu’une chose, que tu te lourdes et que tu prennes pour plus longtemps. Alors, non tu ne réponds pas à leurs provocations. Alors, oui tu serres les dents bordel. Faut les comprendre aussi ! Ils sont jaloux… Jaloux de ta libération anticipée pour « bonne conduite » comme ils l’appellent. Au fond peu importe le nom, c’est le résultat qui compte. Encore deux semaines et tu pourras dire adieu à l’enfer… On te promet pas le paradis mais franchement ça pourras jamais être pire qu’ici !
[…]
Enfin ils t’ont laissé sortir. Tu es là dans le vestiaire, prêt à te débarrasser de ta combi et de ton numéro… Ce putain de numéro qui t’aurait presque fait oublier ton propre nom. Ton nom c’est Aiichiro pas 052… Tu jettes ta tenue de détenu dans un coin puis tu t’avances. C’est bien toi ça là dans le miroir dégueulasse ? Tu n’es plus que l’ombre de toi-même… Y’a pas à dire, la taule ça vous change un homme. Bah tu ne t’en fais pas tu t’en remettras. Tout ce qui t’importe c’est que maintenant tu es libre ! Bon ok tu es en probation, mais ça ce n’est qu’un foutu détail. D’ailleurs en parlant de détail ! Ton contrôleur judiciaire n’arrêtait pas de te bassiner avant ta sortie pour que tu trouves un job mais tu ne t’inquiétais pas. Tu pensais être pépère tu avais tout préparé, minutieusement calculé, fignolé. Tu t’étais arrangé avec ton cousin pour recommencer à bosser dans son salon de tatouage comme avant d’avoir un casier. Mais non…
Tatoueur ça ne fait pas assez bien sur le papier, mais secrétaire à Seika no gakuen… Ouais secrétaire, tu te dis que c’est un taf pour les gonzesses ça. D’ailleurs ils avaient engagé une nana avant toi. Au fond tu ne sais pas vraiment pourquoi tu as fini par céder. Cet endroit qui pue le fric à 3 km ce n’est franchement pas pour toi. Puis tu n’as pas la tête de l’emploi comme ils disent et pourtant maintenant c’est là que tu vas bosser. Bah tu n’as pas le choix et eux non plus… « Décision de justice » tu parles d’une justification. Bref tu t’apprêtes à « reprendre ta vie en main » enfin façon de parler. De toute manière tu dois faire avec. Ton contrôleur judiciaire a été clair… Soit tu te ranges soit tu retournes en taule. Alors au fond tu la remercie un peu la vielle peau qui s’est fait la malle car elle ne supportait plus ces gosses de riches. De toute façon c’est temporaire non ? D’ici six mois, hasta la vista et à toi la belle vie !
Le joueurPrénom / Pseudo : BK
Age : 19 ans
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J'espère qu'Aléa va pas trop te faire chier à tenter de t'aider xDDD 
