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 j'aime le pouley •• nög

Nög ZavialovNög ZavialovTu me reconnais ?
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MessageSujet: j'aime le pouley •• nög   j'aime le pouley •• nög Empty30.08.15 17:00
LE POULET C'EST LA VIE DE NÖG ZAVIALOV

Nom ••Zavialov.
Prénom •• Nög.
Age •• 18yo.

Nationalité •• Suédo-Américaine, oui, ça existe, bitch.
Orientation sexuelle •• Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis.

Groupe ••  Me, Myself & I.

Classe •• 1ère année Prépa • Littéraire.
Club •• xxx
Situation financière •• J'suis rentière, okalm.
Fonction •• Une casse burne, une chieuse.
Logement •• Ginza

Personnage de l'avatar •• Cara Delevingne - Fanart.

Keep a secret ?
L'homme n'est que secret, mais si seulement Nög n'en avait qu'un. On pourrait faire une liste non exhaustive de toutes les choses qu'elle tient à garder pour elle. Mais on se contentera d'en citer deux ou trois afin de pas totalement déflorer son intimité. Alors Nög.. Nög c'est une nana qui a pour père Jacques Zavialov et pour mère Kate Zavialov, l'empire ArtZ qui est une pointure de le monde artistique et qui ouvrent de plus en plus de galerie, s'est fondé à toute vitesse mais sans que jamais personne ne comprennent d'où les deux guguses dénichent les fond, et pourtant rien de plus simple à comprendre? Cocaïne, MDMA, acid et héroïne sont leurs amis depuis toujours, comment on le sait? C'est une petite voix qui est venue nous le souffler dans la nuit, heureusement qu'il ne s'agit que d'une simple rumeur, vous imaginiez vous, la famille Zavialov en plein drame social pour trafic de stupéfiants. Nög, c'est aussi la grande soeur d'un petit garçon un peu différent des autres, le genre qu'on expose pas sur les photos pour ne pas faire tâche, parce qu'il rappelle que papa à le feu au fesse et que la gouvernante est sans doute plus appétissante que la maîtresse de maison. Ce secret s'appelle Scott et il a cinq ans, c'est sans doute une des rares personnes qui doit connaître Nög, ce secret vit avec eux, mais n'est pas avec eux, il est l'enfant d'une autre et la bête noire d'une femme frustrée d'avoir était tant de fois trompée. Et il y a encore une infime quantité de petits secrets embarrassants que vous aurez tout le luxe de découvrir un peu plus tard. Mais pour le moment vous connaissez déjà les bons gros secrets bien honteux de la famille Zavialov, entre dealer et coucheries on frôle un peu le scandale médiatique non?

Si nous partons tous du principe que nous avons un petit jardin secret qu'il serait impensable de se voir un jour révélé au reste du monde, si nous partons de ce principe là, considérons, que nous sommes tous dans une merde bien noir, car tout au tard, tout finit par se savoir.

En apparence je suis ...
Outside. Quand on sait que l'intérieur est pourrit, on part du principe que le physique ne va pas être bien beau, et pourtant, il suffit de regarder Nög pour se rendre compte que cette théorie n'est pas totalement vrai, parce que Nög c'est un mètre soixante treize de jambes infiniment longues, d'une taille finement sculptée uniquement dans le but de vous rendre fou, d'une peau d'opaline surmontée de quelques tâches de rousseurs par ci par là, d'une chevelure onctueuse et soyeuse à la couleur clair qui retombe en masse sur ses épaules, Nög c'est aussi un style bien propre, le genre dandy-princess, masculine-chic qui n'aime pas les pouffiasses salon de l'agriculture maquillées à la moissonneuse batteuse.

Nög c'est une fois encore une bonne dose d'égoïsme, je-m'en-foutiste, nonchalante, cynique à l'état brut. Elle n'a pour force que l'oseille de ses parents, c'est une fashion victime dramaqueen qui tuera quiconque osera toucher ses fringues, sans être une pimbêche mal lunée, Elle ne s'autorise jamais, au grand jamais une erreur d’association, partant du principe que tu es comme tu te présentes. En somme, la panoplie de la parfaite petite conne trône au dessus de sa belle gueule. Et belle gueule c'est encore faible. Mélange atypique d'un américain et d'une suédoise, elle a ce petit accent grave qui renverse les cœurs et cette voix légèrement rocailleuse qui ne colle pas à son physique de salope-pimbêche. Elle pose ce regard froid des bad boys dans les clips américains qui mériteraient de se faire démonter la gueule à coup de poings plutôt que de faire des musiques de merdes. Elle n'a pas cette posture de meuf bas de gamme qui se prends pour un déchet, elle pue la vantardise à des kilomètres, elle inonde le monde avec sa supériorité. Mais c'est pour ça qu'on l'aime.

Nög c'est aussi des prunelles d'un bleu azur alarmant, des mimiques insupportables, insupportables parce qu'elle louche, boude, mordille et gonfle toutes les parties possibles de son visage. Elle n'a pas de mal à faire l'imbécile, ça l'amuse, partant du principe qu'être intelligent permet de faire le con, alors que l'inverse est totalement impossible, et puis en parlant d'impossible, on en sait rien à vraiment dire de l'impossible la concernant, on sait seulement qu'on préfère ne pas le regarder dans les yeux, baiser la tête et fermer sa gueule.

Si tu la regardes bien tu ne remarques rien, elle a l'air un peu malade tu trouves pas? Avec sa peau blanchâtre là, opaline, elle donne l'impression de ne pas se nourrir, mais en fait cette impression est bien plus que ça, anorexique depuis ses jeunes années elle n'aime pas ce qui se mange, elle n'aime pas les gens qui mangent et encore moins ceux qui lui disent de manger. La nourriture c'est un truc qui la rend malade. Regarder les gens qui se goinfrent comme des porcs, ça lui soulève le cœur. Nög c'est une sale conne. Terriblement belle de l'extérieur mais qui tente  de se rendre laide, elle veut assortir le physique et le mental, elle veut faire en sorte de suivre sa ligne de mire de ne pas déroger de ce qu'elle est ou du moins de ce qu'elle croit être vraiment, de son but ultime; rester une belle connasse.

Elle possède cette démarche nonchalante à la limite du classieux frauduleux, le genre claque dans la gueule à chaque bouffée d'air infime qu'elle prend, en brûlant la vie des deux bouts, elle créait un style clope, jean trop petit et veste de dandy princesse, pour le plus grand plaisir des yeux, mais sans doute pas celui de l'esprit. Elle ne promet pas que son passage dans votre vie sera tranquille, non, car la vie n'est pas un long fleuve tranquille, mais cependant,comme la peste elle s'incrustera dans votre vie et bon  courage pour la déloger.

Et à l'intérieur ...
Son nom résonne dans la tête de beaucoup de monde, on a du mal à comprendre pourquoi tant elle est insupportable, tant elle est instable. C'est complètement stupide de vouloir s'approcher d'elle par envie, on le fait principalement par besoin. Trop exigeante avec les autres et sans aucun doute pas assez avec elle même, elle devient lentement la bête noire de ses semblables et s'enfonce dans l'auto-destruction pour le plaisir. Peu de choses lui tienne à cœur. Elle n'a pas pour leitmotiv l'amour trouvant sa futile, sa famille trouvant ça éphémère ou encore ses amis trouvant ça hypocrite, non rien de tout ça, Elle préfère faire son petit bout de chemin seule, les mains dans les poches et la clope en bec.

Nög, cette meuf c'est d'abord une bonne dose de franchise, cracheuse de vérités acerbes qui n'en finissent jamais, quand certains vous diront qu'elle est mauvaise langue, langue de pute, d'autres à l'inverse seront les premiers à vous dire que c'est une nana vrai, qui n'a pas peur de dire les mots. Impitoyable, tranchante, dure à la limite du méchant, elle reste une sorte de bavarde intarissable qui ne peut pas s'empêcher d'ouvrir sa gueule, intolérante face à la critique, elle aime prodiguer des conseils que jamais elle ne s'appliquera, dans le fond on peut se dire que c'est une chouette meuf, une chouette meuf qui prend un peu le melon et qui se fait sans doute un peu trop confiance. Alors, pourquoi est-ce que sa part en couille? Peut-être parce que c'est la petite fille à papa pétée de thune qui pense qu'elle peut vomir sur les sentiments des autres en les remplaçant par deux trois billets qui traînent par là? Nan.

Ça part en couille parce que ce qu'elle dit, ce qu'elle pense, ce qu'elle fait, c'est pas joli, c'est un peu sale, dégoûtant, moche. C'est une sale conne imbue d'elle même, égoïste, colérique, malsaine, égocentrique. Elle veut mener une vie compliquée, parce que s'ennuyer c'est trop facile, alors elle tombe dans l'excès, elle se détruit à petit feu, quand elle sentira qu'elle perdra votre attention elle sera attachante, délicate et la seconde d'après elle vous humiliera en vous crachant gracieusement au visage. Impossible de la suivre, elle va trop vite, elle est trop loin, sa vie c'est le bordel, un joyeux bordel organisé, divergente qui se fond dans une masse de gens plus stupides les uns que les autres. Elle veut vivre à cent à l'heure sans prendre le temps de profiter, elle veut tout sans rien faire. Ton bonheur elle s'en branle, il n'y a qu'elle, elle et encore elle à tout jamais, il n'y a toujours eu qu'elle et encore elle. Si elle peut te faire mal, te rendre triste, tellement triste, elle le fera, oui, jusqu'à ce que tu n'en puisses plus, toujours en gardant aux lèvres ce sale sourire de connasse qui la définit si bien.

Et pourtant alors que tu penses que c'est une salope sans cœur, une ordure, que tu la fixes en souhaitant que sa vie entière s'effondre, que tu vois le sourire tordu sur son visage de monstre.. là, tout au fond, demande toi si elle ne chiale pas un petit peu, si dans le fond, elle n'est pas malheureuse, un peu. Demande toi, si quand elle commence à aimer, quand elle commence à sentir une petite brèche dans son cœur, qu'elle sent que la garde qu'elle a mis tant de temps à construire est entrain de se casser la gueule, demande toi s'il n'est pas plus simple pour elle de fuir comme une lâche et de disparaître à jamais. Nög est lâche, oui c'est un tas de merde sur patte qui préfère fuir plutôt que d'assumer pleinement ce qu'elle ressent, elle craint trop la déception mais adore la distribuer à qui voudra passer du temps avec elle. En fait, dans le fond, quand on est gamin on a peur des monstres sous le lit ou encore de ceux qui se cachent dans les placards, on a peur parce qu'on les cherche mais un jour, un jour on arrêtera de les chercher, parce qu'un jour, un jour on aura compris qu'ils ne se cachent pas sous nos lits, mais qu'ils sont tout simplement, à l'intérieur de nous.

Once upon a time ...

j'aime le pouley •• nög 113129giphy

Gloussements.
Cliquetis du briquet.
Silence.

Elle me regarde les pieds dans l'eau et la cigarette à la main, le son m'agresse littéralement les tympans, cristallin à la limite de l'agaçant. Ma mère, Katharina, Kate. Une vie entière de mensonges, de secrets et de petites opérations pour cacher les vilaines traces du temps sur son visage. Parfois je me dis qu'elle a de la chance de ne pas prendre plus souvent l'avion, elle risquerait d'exploser avec l'altitude. Elle tient son cellulaire et discute de tout et de rien avec une pseudo amie surement aussi bottoxée qu'elle. Je suis affligée par la stupidité de cette femme et encore plus affligée de me dire que je lui dois la vie. Elle m'agace, je me lève, j'enroule une serviette autour de ma taille et rentre dans la villa familiale, cette villa que nous avons depuis peu de temps et devenu l'objet le plus fabuleux que mes parents ne cessent d'exhiber à tous les gens impressionnables de la ville. La ville, quelle ville d'ailleurs; Tokyo.

Tokyo c'est moche, c'est bruyant, l'air, les gens, la langue, tout est pollué. Lentement je m'avance à l'intérieur et pousse une grande porte en verre, le salon est immense, épuré, distingué, l'argent semble avoir donné à mes géniteurs un peu plus de goût que je ne l'aurais cru. Je longe un couloir large et clair qui mène à un escalier encore plus large et plus clair. La folie des grandeurs. Je monte les marches une à une, mollement. L'étage est aussi grand que le bas de la villa, aérien, ouvert. Ma chambre se trouve juste là j'y entre doucement et jette la serviette par terre. Ma chambre, mon antre, mon royaume, grande et sur deux étage elle offre tout le confort d'une appartement, en bat, une petite pièce avec télévision cocooning et canapé, un dressing assez grand, une salle de douche et une bibliothèque gigantesque, un petit escalier en bois blanc ouvert mène au reste de la pièce, je retire un à un les petits morceaux de tissu qui recouvre mon corps et me retrouve nue au moment de monter les marches, le soleil vient chatouiller ma peau une fois en haut.

La vue du haut de ma chambre est assez douce, légère. Comme la vue, je me meus avec une légèreté sans pareil, j'attrape sur mon lit de quoi m'habiller, je prends mon sac à main, je le jette sur mon épaule et dévale les escaliers comme à mon habitude, je laisse la serviette par terre, Tachana viendra la ramasser, je pose mon sac sur ma table basse et me dirige vers la salle d'eau. Odeur de fleurs et de savon me frappe au coeur quand j'ouvre la porte, je me met devant la glace, mouille un peu mon visage, le tamponne avec une serviette sèche en me regardant fixement, lentement je prends du mascara, j'en met un peu, un peu parce que trop ce n'est pas beau voyons. J'attache rapidement mes cheveux en un gros chignon désordonné, je suis adorable. Comme toujours. Je me demande vraiment comment mes parents on pu créer un chef-d'oeuvre pareil.

Prête et simple je file en prenant mon sac, mon père m'attend en bas des escaliers, au moment ou je lui adresse un petit signe de tête en guise de salue, une tornade brune me saute au cou. Petit monstre d'un mètre à peine suspendu à mon corps comme un ouistiti, posant ses petites mains dans mon cou pour ne pas se casser la binette. Scott, 5 ans, futur joueur de football américain. Mon cœur rate une mesure tellement le choc est rude. Mon père recule un peu, comme dégoûté par le spectacle. Le spectacle qu'il a lui même créé, j'ai envie de lui faire un doigt, sale et insultant, mais le gosse n'a pas à voir ça. Le gosse, son gosse, donc mon frère. Petit frère d'une autre mère. Petit frère quand même. Je l'embrasse sur la joue et lui dit un petit mot tendre, être une salope h24 n'est pas chose facile et encore moins quand on a un petit truc aussi mignon qui nous saute dessus, je ne m'autorise pas à aimer l'erreur de mon père, mais si j'avais le choix entre sauver sa peau ou celle de Scott, je vous laisse imaginer l'issue de la chose.

Le singe me lâche tout aussi vite, voir plus vite encore que quand il est arrivé et disparaît en faisant un bruit d'avion dans les larges couloirs de la villa, je redresse la tête vers mon père, il semble plus détend, rassuré de voir Scott partir, je lève les yeux au ciel et fait un moue d'incompréhension. Homme sinistre incapable d'assumer ses erreurs, même quand elles sont aussi adorables que Scott.

Je le contourne de l'épaule et me précipite presque vers la porte, chaleur oppressante qui monte en monte en moi quand je sens que le patriarche me suis des yeux, il a visiblement quelque chose à me dire et je n'ai visiblement pas envie d'entendre ce fameux quelque chose, l'air, j'ai besoin d'air. Je sors, la voiture m'attend devant, juste devant, le chauffeur n'a pas le temps de sortir, que j'ouvre moi même la portière, mon père m'a emboîté le pas, mais reste impuissant une fois hors de sa portée, il glisse ses mains dans ses poches, serre les dents, sa mâchoire carré se serre. J'ouvre la vitre, un petit tête brune passe l'encadrement de la porte et me fait un petit coucou, mon père se décale légèrement, écœuré. Je souris à Scott, qui fait des petits cœurs avec ses mains et qui m'envoie des bisous tout aussi adorable que lui... Je glousse sans bruit, je lui fais signe de rentrer, et le chauffeur démarre, les yeux froids de mon père m'interroge: où vas-tu, avec qui, pourquoi? Je vais loin, toute seule, pour être loin de toi. Mon cellulaire se met à sonner alors que nous roulons, je remonte la vitre, et décroche, la conversation est brève et claire, je raccroche. Le chauffeur me regarde dans le rétroviseur. Je crois que je lui plais bien, enfin je le sais, mais c'est plus marrant de faire semblant de ne pas le voir, j'esquisse un sourire, lentement nous nous rapprochons de la destination finale de mon périple. Il s'arrête et va pour m'ouvrir la porte, mais je sors avant qu'il est le temps de bouger et m'éloigne sans dire merci.  

- Ma douce, fit alors une voix.

Je me retourne, je vois le sourire d'un vieil homme dans l'encadrement d'une petit porte bleu décrépie, je souris de toutes mes dents en le voyant, je marche plus vite et le prends dans mes bras. Il sent le savon, le tabac et la lavande, une odeur que depuis toute petite j'affectionne, elle me rassure, m'apaise, me détend, l'homme me regarde, m'examine et secoue la tête un peu soucieux.

- Tu ne manges pas assez toi, rajouta-t-il alors.

- Grand-père...

Il sourit et me prend par la main, et lentement, je m'engouffre dans la petit maison bleu. Depuis maintenant cinq ans que la famille Zavialov a fini par poser ses valises au Japon, deux sortes d'individu on vu le jour entre nous. D'un côté mes parents, qui ne vivent que pour le paraître et de l'autre, mes grands-parents qui vivent pour la vie, tout simplement, quand je suis fatiguée et que faire la salope me bouffe la tête, je fonce chez mon grand-père, il n'est pas bien vieux, tout juste 65 ans. Avec sa femme qui n'est malheureusement pas ma grand-mère, il a racheté une petite ferme dans les campagnes un peu éloigné de la ville. Un coin de paradis en enfer. Le petit salon donne sur une cou bordée de lumière, Marta arrive et me sert un verre d'eau, elle ressemble à ces petites bonnes femmes dans les pubs, le genre bonne maman, mamie gâteau et clafoutis. Mon grand-père lui arrive avec une petite boite en carton perforée, je bois une gorgée d'eau, puis deux.

- Marta et moi, avons pensé qu'un peu de compagnie te ferai du bien, finit-il par dire en posant la petit boite en face de moi.

Je lève un sourcil d'incompréhension, puis ouvre doucement la boîte, j'ouvre des grands yeux, et en sort le contenu, un furet, un gros furet, mon grand père m'explique qu'il est dressé, il a un an depuis peu, vaccins à jour et docile à souhait, il ne lui manque plus que de l'amour. J'esquisse un sourire, pauvre furet, de l'amour, comme si j'avais ça en réserve. La petite boule de poils grimpe le long de mon bras me griffant au passage pour finalement se lover dans la chaleur de mon cou. Je soupire, un problème en plus.

Lentement, l'après midi ce passe, le dîner approche et contrairement à d'habitude, l'odeur de la cuisine de bonne maman m'appelle plus que les autres, elle a fait un poulet au curry, avec une salade, l'eau me monte à la bouche et le repas s'en suit, mon cellulaire vibre, mon père. Je le laisse sur la table sous le regarde de mon grand-père. Ils ne se parlent plus beaucoup, et même si mon père et mon grand-père ne sont pas d'accord sur grand chose, me concernant, ils se retrouvent sur presque tout. Je lui fais signe que tout vas bien, que je le rappellerai plus tard, mais le vieux me connait, et sais que je mens comme une arracheuse de dent. Le dîner sans suit et le sujet dont mon père voulait me parler avant que je ne m'échappe, finit subitement par me rattraper.

- Alors ma douce, comme ça on a été accepté à Seika? dit-il alors que je joue avec un morceau de poulet dans mon assiette, arrête de faire la bourrique idiote, tu rentres en première année de faculté, bientôt tu seras une adulte responsable, je n'ai qu'une petite fille, toi, j'ai en toi une confiance absolue ma chérie tu sais, il découpe un petit morceau de poulet qu'il agrémente d'une gorgée de vin, j'ai pas eu la chance de faire de longues études, c'est une chose que je regrette beaucoup, alors me dire que toi, tu as réussi à faire mieux que moi et dès tes jeunes années, ça me rend fier ma poule.

J'hausse les épaules, c'est dingue comme il me saoule, il me saoule d'avoir raison, il me saoule de dire ces vérités ennuyeuses, il me saoule. Je vais rentrée dans une des plus grosses écoles du Japon sans que mon père est dû me pistonner. Mon dossier est nickel, mes notes également, ça n'enlève en rien le prix du bordel, mais c'est dejà ça. Lécher le cul des professeurs j'adore, mais là, c'est différent. La prépa, c'est plus pareil, c'est la cour des grands, et je ne suis pas grande. La boule dans mon estomac se sert un peu plus, je ne finis pas mon assiette, le furet c'est endormi et mon grand-père commence à fumer sa pipe en me regardant. Lentement je me dirige vers le petit salon, j'allume la télévision, et je m'endors comme un tas de merde sur le canapé, une couverture vient se mettre sur mes épaules laissant juste comme indice, un odeur de savon, de tabac et de lavande.

Les jours passent lentement, lentement, lentement, petits à petits je m'enfonce dans la vie, dans la routine pesante, dans l'ennuie, je rêve d'évasions, de libertés et de passions ardentes. Pourquoi? Parce que je suis une sale conne qui ne profite pas de celle qu'elle a et qui envie principalement les voisinages sans prendre le temps de profiter de ce qu'on m'offre.

Mes parents ne se parlent plus, entre eux, avec moi, avec les, autres nous sommes une couverture, un manque évident de communication et juste une image qui ressort plus au moins bien en terme de marketing. Les Zavialov ne sont pas intelligents, ils sont fait pour être beau et se taire. Je soupire, lentement je me prépare à faire ma rentrée, je n'ai pas plus envie que ça, je n'ai envie de rien, juste de me la couler douce dans l'argent de papa et maman en sirotant une bière au bord de la piscine. La rentrée approche, nouveaux professeurs, nouvelles tronches de cons à devoir supporter sans relâche, nouveaux problèmes, nouvelle façade à devoir garder pendant encore un an. Je suis déjà épuisée avec que rien n'est encore en marche et pourtant je suis déjà dans la machine, je suis déjà en route pour cet abattoir remplit de suceur. Welcome Nög, welcome.

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Le joueur
Prénom / Pseudo •• Call me Nög.
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Comment avez-vous connu le forum •• En cherchant ?
As tu bien lu le règlement •• Non, j'me suis mis - Ok By Aléa - dans l'oeil, wsh.
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Nög ZavialovNög ZavialovTu me reconnais ?
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MessageSujet: Re: j'aime le pouley •• nög   j'aime le pouley •• nög Empty07.09.15 22:26
Désolée pour le double-post.
Mais je pense avoir fini.
Je m'excuse à l'avance pour cette merde.
Bon courage.
J'vous leuv.
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Fujiyori NakamuraFujiyori NakamuraDirecteur de Seika no Gakuen
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MessageSujet: Re: j'aime le pouley •• nög   j'aime le pouley •• nög Empty11.09.15 9:40

Ah mademoiselle Zavialov, enfin je peux vous souhaiter la bienvenue! Je vous prie d'excuser ce regrettable retard. Que voulez vous, l’administration de notre belle école ne prend jamais de vacances, il y a toujours tant à faire! Mais c'est justement pour le plaisir d'accueillir au mieux des demoiselles telles que vous! ArtZ est la référence artistique du moment et croyez bien que je suis fier de vous compter parmi nous!
Bien entendu, votre inscription  est validée.

Les cours n'ont pas encore repris pour l'heure, mais ceci vous donnera l'occasion de vous familiariser avec votre nouvel environnement dans un contexte plus détendu. Je suis persuadé que vous vous ferez vite bien des amis.

Vos attributions sont les suivantes:
- Fury is Power
- 1 ère prépa littéraire
- Voici les clés de votre somptueux appartement.

Je vous invite à générer votre carte ID au secrétariat et attacher toutes ces données personnelles à votre profile, dans le champ réservé pour ça.

En cas de question ou autre n'hésitez pas, je suis à mon bureau et la porte vous est  toujours ouverte, n'hésitez pas!
Bonne vacances et au plaisir!

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Nög ZavialovNög ZavialovTu me reconnais ?
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MessageSujet: Re: j'aime le pouley •• nög   j'aime le pouley •• nög Empty11.09.15 19:45
*fait une petite danse de la joie, tranquille*
♥ MEERCI.
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Sky LeeSky LeeMa sorcière bien ratée
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MessageSujet: Re: j'aime le pouley •• nög   j'aime le pouley •• nög Empty11.09.15 21:44
\o/ Yeaaaaaaaaaaaaah une furyy! Bienvenue ma jolie! :o
Ton personnage m'a tout l'air d'être haut en couleurs, voilà qui promet de chouettes rps ~
À très vite ! :Sky:
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MessageSujet: Re: j'aime le pouley •• nög   j'aime le pouley •• nög Empty11.09.15 23:37
Bienvenue poulette !
En espérant que tu t'amuses parmi nous ! ♥
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Yuu OtosakaYuu OtosakaVery Important Person
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MessageSujet: Re: j'aime le pouley •• nög   j'aime le pouley •• nög Empty12.09.15 0:52
Bienvenue à toi o/
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AnonymousInvitéInvité
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MessageSujet: Re: j'aime le pouley •• nög   j'aime le pouley •• nög Empty12.09.15 12:24
Bienvenue Miss!
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Nög ZavialovNög ZavialovTu me reconnais ?
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MessageSujet: Re: j'aime le pouley •• nög   j'aime le pouley •• nög Empty13.09.15 16:41
Merci à vous tous.
en espérant que je m'amuse bien ici ouiii!
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MessageSujet: Re: j'aime le pouley •• nög   j'aime le pouley •• nög Empty
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j'aime le pouley •• nög
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